tristan_70 On n'en meurt pas c'est vrai, mais vivre, est-ce juste se contenter de pas mourir ? Le jour on nous privera de rapports sexuels, on n'en mourra pas non plus. Ce n'est pas un exemple si extrême qu'il en à l'air. La nouvelle loi française sur la "#bioéthique" est un premier pas vers là et pas que. Le problème, c'est qu'on nous accoutume petit à petit à perdre des choses et des valeurs essentielles, du coup on a tendance à oublier qu'elles le sont et je crois bien que c'est fait pour.

Et la qualité de la vie dans l'histoire ? Je trouve qu'elle tombe de plus en plus bas, et très très vite.

fleurbleue20 c'est gentil ça, bisous sur les deux joues toi aussi ;-)

Cella pourrait expliquer pourquoi certains obtempèrent aussi facilement en effet. "De toute manière ça ne change rien pour moi.". Mais ils doivent être rares quand même ceux qui ne reçoivent jamais de bisous. Et puis c'est fort égoïste comme raisonnement.

Mais je crois que même ceux-là se trompent. Parce qu'il n'y a pas que les bisous. Une simple cordiale poignée de mains et surtout voir les expressions faciales de ses congénères sont essentielles. Un aveugle n'en meurt pas, heureusement, mais je ne pense pas qu'il puisse dire qu'il est heureux de ne pas voir, je me demande même si il n'est pas au contraire, le mieux placé pour regretter qu'on prive les autres d'une partie de leur perception...

C'est quand même important aussi ! ;-)