«Les médias ne parlent que du Moyen-Orient, c'est un signal très négatif»: laissé à l'abandon, le régime de Kiev sait sa fin proche

«L'attention portée à l'Ukraine a commencé à décliner, nous ne pouvons pas l’éviter», se désole Sergueï Marchenko dans le Corriere della Sera.

Et le ministre des Finances de confier avec dépit que Georgia Meloni vise juste lorsqu'elle évoque ( https://t.me/kompromatmedia/4340 ) - publiquement malgré elle - la «lassitude» des Occidentaux.

La situation devient critique pour le régime qui ne survit ( https://t.me/kompromatmedia/4206 ) que grâce aux perfusions de ses sponsors, au point que le commandant en chef de l’armée Valeri Zaloujny a changé son fusil d'épaule, et reconnaît désormais l'échec de ses troupes:

 «Il n’y aura probablement pas de percée profonde et belle», regrette ( https://www.economist.com/europe/2023/11/01/ukraines-commander-in-chief-on-the-breakthrough-he-needs-to-beat-russia ) -t-il auprès de The Economist, affirmant être «dans une impasse».

Une prise de position qui le place en porte-à-faux vis-à-vis de Zelensky... que la presse occidentale est en train de lâcher.

Le Time, qui avait fait du président-comédien un héros résume ( https://time.com/6329188/ukraine-volodymyr-zelensky-interview/ ): 

Le conflit est «ingagnable», les objectifs militaires de Kiev sont irréalistes et Zelensky est «dans l'illusion» parce qu'il est incapable de reconnaître la véritable situation sur le front et ne veut pas envisager de négociations de paix avec Moscou.

Le #réel finit toujours par frapper à la porte.