• Je n'irais pas jusque là. Déjà il faut distinguer psychologues et psychiatres. Tu as des pathologies comme la schizophrénie par exemple pour lesquels il existe  des traitements relativement efficaces, il faut bien quelqu'un pour les prescrire. Les psychologues, je suis plus réservé. Ils peuvent être utiles, il y a des personnes qui sont dans un profond mal-être et qui n'en connaissent pas la ou les causes où plutôt qui les connaissent mais qui ne veulent pas les voir. Ils peuvent être utiles à aider à ouvrir les yeux.

    Les psychologues peuvent aider a démêler tout ça, je les vois un peu comme des enquêteurs qui cherchent le coupable ou dans des cas moins graves, un ami a qui parler. Parler ça ne fait jamais de tort évidement. Par contre, je crois qu'il en existe aussi pas mal qui devraient changer de boulot et qui comme je l'ai dit sont là pour vider le portefeuille de leurs patients.

    Donc encore faut-il tomber sur un bon. Je pense que bien trop souvent ils appliquent des principes et des théories dont ils ne sortent jamais, ceux là font bien souvent pire que rien. Quand il  un mal-être il y a une cause, si on ne peut pas éliminer la cause, bien souvent seul le temps peu guérir, et dans ce cas là le psy est juste là pour faire passer le temps.

    Si je prends l'exemple  de la schizophrénie, c'est parce que ayant un proche qui en souffre, c'est un cas que je connais bien. C'est une pathologie tellement vaste avec des degrés tellement divers, que la plus part des psy devrait refuser le patient en leur disant "je ne suis pas spécialiste de la schizophrénie, je ne peux rien pour vous". Dans les faits ça n'est pas ce qui se produit, ils prennent le patient et l'argent qui va avec et font pire que rien. Pas toujours de mauvaise foi, beaucoup pensent que ce qu'il ont appris à l'école va leur suffire.

    Donc tous bon à jeter non, mais méfiance avec tout ça. Je ne sais pas si c'est encore le cas aujourd'hui, mais "être suivi" un moment donné était une mode. Je crois que ça l'est toujours, au moins dans les milieux de la bourgeoisie.

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