Le système économique est à bout de souffle - Des signes qui ne trompent pas !
La Fed a injecté plus de 270 milliards de dollars sur les marchés monétaires en une semaine. La Réserve fédérale américaine est intervenue vendredi, pour la quatrième fois de la semaine, à hauteur de 75 milliards de dollars !
Pourquoi nos #banques ont-elles si peur ? Que savent-elles (et pas nous) qui les mettent dans une panique telle qu'il faut leur donner 270 milliards pour apaiser leurs craintes ? Pourquoi ne sommes-nous pas au courant ? Que nous cachent les banques et la Réserve Fédérale Américaine ? Pourquoi la #Fed (Réserve Fédérale Américaine) doit-elle voler au secours des marchés financiers #injectionsmassives de dizaines de milliers de dollars, plusieurs jours de suite, en catastrophe. Pour quelle raison injecter un total de 270 milliards de dollars dans une économie qui nous dit-on va bien et se relève ?
Tout va bien, c'est ce que disait aussi Christine Lagarde juste avant la crise de 2008, Christine Lagarde qui n'est pas plus économiste que vous et moi, mais qu'on à mis à la tête de la BCE après l'avoir mis à la tête du FMI. A croire qu'il faille absolument des gens qui n'y connaissent rien, sans doute parce qu'il sont les plus aptes à marcher dans un système qui n'en finit pas de faire semblant.
Parce que c'est bien de ça qu'il s'agit. 2008, nous n'en sommes jamais sorti, pourtant nous avons payé cher, très cher et nous n'avons eu en retour que des illusions et rien que cela.
Et comme en 2008 le marché #interbancaire se bloque, parce les banques ne se font plus confiance et refusent de se prêter de l'argent ce qui provoque des manques de liquidités. Il suffit d'observer le gigantisme des montants injectés pour se rendre compte de la taille du problème.
Bizarre, on nous dit que la croissance est là à portée de main, enfin c'est ce qu'on ne dit depuis 2008. Mais on a jamais rien vu venir.
Et Là encore nos "experts" de la télé ne voient rien venir. ils ne voient pas que tout le système est complètement vérolé et plongé dans une spirale infernale => Injection massive => taux négatifs => injection encore plus massive, dont ils ne pourront jamais sortir mais qui permet de gagner du temps et de maintenir le système sous respiration artificielle. En réalité nous sommes déjà morts.
Sauf que... ça commence à devenir très difficile de ne pas le remarquer, d'autant que depuis le temps qu'on pratique, la croissance reste invisible et ça fait flop tout le temps. Hier, Deutsche Bank, aujourd'hui Thomas Cook c'est du réel, les experts pourront trouver tous les prétextes qu'ils voudront, on ne sort jamais d'un problème avec de faux diagnostiques, c'est pourquoi des pans entiers et de plus en plus importants de l'économie mondiale ne vont pas cesser de s'effondrer et un de ces 4 matins, vous trouverez toutes les banques fermées et tous vos comptes seront siphonnés sans que l'on vous demande votre avis comme le prévoit d'ailleurs la directive UE de 2016.
Conseil d'ami: Sortez votre argent de banques
De toute manière cela ne vous rapporte plus, au contraire cela vous coûte. Liquidez vos plans d'épargne pension si vous y arriver et vos obligations si vous en avez. Gardez à la maison de quoi tenir quelques mois. Et si possible encore mieux, convertissez vos économies en valeur sûres comme de l'or, de l'argent. C'est ce que font la Chine et la Russie.
Demandez-vous combien de temps dure une partie de Monopoly si l'on décide à un moment donné que les joueurs peuvent imprimer leurs billets de façon illimitée et ce qui se passe dans ce cas là.
Je sais, j'avais déjà fait ce genre de post "alarmiste" sur TFL il y a quelques années et certains me diront avec raison, qu'il ne s'est encore rien produit. Et bien justement, je n'en fini pas de sous estimer le niveau de démence de ces gens qui décident de tout mais ne contrôlent plus rien et qui sont en train de rendre la chute vertigineuse, juste parce qu'ils ne veulent pas sauter et se faire mal à leurs propres petites chevilles.
Le grain de sable
Le problème c'est qu'en l'état, il suffit d'un #graindesable pour faire chuter tout le système. La question n'est plus de savoir si ça arrivera ou pas, mais quand ? Et quel sera ce grain de sable? C'est sidérant de constater que l'on attend qu'il se passe une bricole pour que l'on imagine que ça puisse arriver. Pourtant c'est déjà arrivé, en 2008, mais aujourd'hui le système est infiniment plus fragile, les conséquences seront donc forcément bien plus terribles.
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Les intérêts pour les épargnants sont inférieurs à l'inflation. Épargner revient donc à donc perdre de l'argent. Ce système s'appelle la répression financière. En d'autres termes, voilà plus de dix ans que les épargnants sont en train de payer le sauvetage les banques, suite à la crise de 2008, banques dont certaines font déjà de forts bénéfices, à l'avantage de leurs actionnaires...
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D'après ce que je comprends, mais c'est compliqué, on en est à un point ou le système ne peut plus supporter de taux d'intérêt positif. Question, dans ce joyeux nouveau monde, avec quoi survivent alors les banques ?
Question n°2. En 2008 ne fallait-il pas laisser mourir celles qui devaient mourir ?
Question n°3. Où acheter de l'or ?
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Je ne sais pas pour l'or Emma, je suis en train de creuser la question. Il ne faut pas acheter n'importe quoi à n'importe qui, c'est comme le vin, il 'existe de l'or "frelaté", impur quoi. Je cherche quelque chose comme ça:
1 once = 1424.50 euros
Parce que retirer son argent des banques c'est bien, mais :
La valeur de la papier-monnaie a été entièrement décimée, ces cent dernières années, depuis la création de la Fed, en 1913. Le graphique ci-dessous, nous montre comment la papier-monnaie a perdu sa valeur par rapport à la “vraie monnaie”, c’est-à-dire l’or. Toutes les principales devises ont perdu 97% à 99% de leur valeur par rapport à l’or durant cette période. Il ne leur reste plus qu’à perdre 1-3% avant d’atteindre ZÉRO. Mais, en partant du point actuel jusqu’à zéro, cela représente pour nous une autre chute de 100%, ce qui sera désastreux pour le monde et engendrera un effondrement économique, ainsi que de l’hyperinflation.
Dans un ultime effort pour sauver le monde, les gouvernements vont imprimer des quantités illimitées de monnaie. C’est ce qui rendra la papier-monnaie sans aucune valeur – elle atteindra zéro ! Bien sûr, cela n’est pas nouveau dans l’histoire. Les gouvernements l’ont toujours fait. Les Romains l’ont fait, et plusieurs gouvernements l’ont fait depuis. Je ne sais pas combien de fois j’ai cité Voltaire, ces dernières 17 années, mais je vais encore le faire, car cela en vaut la peine. Voici ce qu’il a dit en 1729 :
“Une monnaie papier, basée sur la seule confiance dans le gouvernement qui l’imprime, finit toujours par retourner à sa valeur intrinsèque, c’est à dire zéro.”
J'aurais plutôt tendance à croire ce qu'à dit Voltaire. Donc retirer son argent des banques ne suffit pas, SURTOUT quand celui qui l'imprime c'est la BCE et surtout quand elle le fait comme elle le fait, par trains entiers depuis des années. C'est la même chose pour le Yuan et le $.
MarcusAntonius peu importe, le taux négatif est la preuve ultime de l'insolvabilité globale d'un système. Cela veut simplement dire qu'il ne peut même plus rembourser la charge de sa propre dette. Cette insolvabilité généralisée était prévisible depuis au moins dix ans, il n'y a pas un économiste qui ne nous a pas prévenu. Je ne parle pas des grands prêtres du système, ceux qui ont droit à la parole, tel que les fossoyeurs du monde comme Alain Minc, Attali, BHL etc.. ceux qui nous disent encore aujourd'hui que le système ne marche pas parce qu'il n'y a pas assez de système, ce qui revient à dire qu'il suffit d'ajouter des pages à un mauvais livre pour qu'il se vende mieux, tous soutiens de l'UE, de la mondialisation, de Macron etc...
Dans le genre signes avant coureurs remarquez qu'on les entends beaucoup moins ceux-là pour l'instant.
MarcusAntonius Qu'est-ce qui te fait penser ça ? Je veux bien croire qu'ils perdent leur premier rang et encore, mais de là à ... Où se trouve notre argent sinon là ? Il est vrai que c'est moins facile qu'avant, mais tant qu'ils seront maîtres de nos téléphones portables, de nos pc, des data-centers et des moteurs de recherche que nous utilisons, et accessoirement de leur main mise sur l'UE, je ne vois pas comment ils n'auraient plus rien à dire...
Bientôt les Etats n'auront plus rien à dire
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Je crois que c'est vraiment le moment d'être prudent, il se pourrait que le
#covid19 soit le#graindesable dont je parlais en préambule.La Bourse de Paris plonge de plus de 8%, sa pire séance depuis octobre 2008
Le 09/03/20 à 17:50 | Mis à jour le 09/03/20 à 18:15
La Bourse de Paris est brutalement retombée sous les 4.800 points, plombée par le plongeon des cours du brut et le spectre de la récession, alors que le coronavirus étend son emprise. Wall Street est aussi en forte baisse.
A peine trois semaines après un plus haut annuel du Cac 40 à à 6.111 points, Paris, comme les autres Bourses européennes, a accusé sa plus forte baisse en une séance depuis juin 2016 et le référendum britannique en faveur du Brexit. L’indice parisien a décroché de 8,39%, à 4.707,91 points, dans un volume très étoffé, de 11,4 milliards d’euros. Il affiche ainsi un repli de 21,25 % depuis le début de l’année.
Même si le Cac 40 avait décroché de 8% le 24 juin 2016, au lendemain du référendum en faveur du Brexit, il faut remonter au 6 octobre 2008, trois semaines après l’effondrement de la banque Lehman Brothers, pour retrouver une pire séance. La baisse avait alors atteint 9%.
Ailleurs en Europe, le Dax à Francfort et le FTSE 100 à Londres ont plongé d’un peu plus de 7%, tandis que l’indice FTSE Mib s’est effondré de 11,2% à Milan.
A Wall Street, la cotation du S&P 500 a été suspendue pendant 15 minutes après une chute de plus de 7% à l’ouverture. L’indice américain le plus large perdait 5,5% à l’heure des clôtures en Europe, le Dow Jones 6,5% et le Nasdaq 5,4%.
Une mauvaise potion or noir et risque de récession
Cette brutale accélération des pertes sur les marchés financiers, après deux semaines déjà bien plombées, a été déclenchée par la baisse des cours du pétrole la plus forte depuis 19 ans, en réaction à l’annonce par l’Arabie saoudite d’une diminution de ses prix de vente. Le baril de Brent de la mer du Nord a chuté de près de 21% à 36,09 dollars, après un plongeon de 31,5% au pire de la matinée, la deuxième plus forte baisse de son histoire après celle du 17 janvier 1991, durant la première guerre du Golfe. Ce plongeon vient, bien sûr, s’ajouter aux craintes de récession alors que l’épidémie de corona virus a encore pris de l’ampleur ce week-end et que le cœur économique de l’Italie a été placé dimanche en quarantaine.
L’Arabie saoudite a ouvertement choisi l’option de la guerre des prix en annonçant une augmentation de sa production à plus de 10 millions de barils par jour en avril, après l’échec des discussions entre l’Opep et la Russie concernant une nouvelle réduction des quotas. Goldman Sachs a prévenu ses clients que les cours pourraient passer sous les 20 dollars, contre 66 dollars en début d’année.
Le bouclage du nord de l’Italie montre à quel point la demande de pétrole brut risque de poursuivre son déclin à mesure que le virus se répand », nuance-t-il.
Total a lâché 16,6%
Les valeurs du secteur ont suivi naturellement l’effondrement des prix de l’or noir. Total a lâché 16,6%, BP 19,5% et Royal Dutch Shell 18,2%. Le groupe parapétrolier Technip FMC a décroché de 23,3%. A Riyad, l’action Saudi Aramco a reculé de 5,6%, à 28,35 riyals, après un plancher à 27, son plus bas niveau depuis l’introduction en Bourse à 32 riyals le 12 octobre dernier.
Les grandes consommatrices de carburants que sont les compagnies aériennes ne sont pas parvenues pas à tirer parti du plongeon des cours du pétrole, empêtrées qu’elles sont par la nette réduction de leurs dessertes à travers le monde pour cause d’épidémie de coronavirus. Air France-KLM, a encore perdu 9,3 %, portant son recul à 47,8% depuis le début de l’année.
Le métal précieux grimpe
Les investisseurs se sont précipités, en revanche, sur les actifs refuge comme l’or, qui a atteint un plus haut de sept ans à plus de 1.700 dollars l’once avant de revenir autour de 1.671, tandis que le rendement de l’emprunt américain à 10 ans est passé sous la barre des 0,5% avant de revenir autour de 0,53%. Celui de l’échéance à 30 ans a chuté sous les 1% pour la première fois de son histoire.
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Et donc la personne qui aurait eu les moyens de suivre le conseil ci-dessus quand il a été donné et qui aurait acheté 1 kg d'or pour une valeur de 45.633 euros aurait pu le vendre 50.204 euros seulement 3 mois plus tard. Pas mal hein ?
Pourtant, je n'y connais strictement rien en bourse, par contre je ne suis pas mauvais du tout en logique. Quand tout devient dangereux, tout le monde plonge sur une valeur refuge sure et quand il y a de la demande, le prix monte.
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Faites attention, les mauvais signes se multiplient. Je serais vous je prévoirais du liquide à la maison.
Si on réfléchit bien, que la valeur de l'euro tende vers zéro, où que les prix s'envolent à tout jamais et sans limites revient exactement au même.
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Les métaux c'est bien, mais la valeur de l'or, l'argent, le platine, etc, ... sont purement spéculatifs, c'est-à-dire que ce n'est pas la valeur réelle, mais une valeur gonflée par la demande, donc gare à la chute. Ce n'est pas qu'il ne faut pas acheter des métaux, mais il ne faut pas tout mettre là-dedans. Personnellement j'ai investi dans les métaux, mais aussi dans les cryptomonnaies. Et choisir plutôt des cryptos qui ne sont pas contrôlées par un état ou une société, comme le Bitcoin. Bien sûr, rien n'est sans risque, mais comme on dit, ne jamais mettre ses œufs dans le même panier permet d'éviter de tout perdre. Sinon l'immobilier est une valeur très intéressante bien entendu.
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Oui certes, on peut même dire que le cours de l'or est manipulé, comme tout le reste, mais globalement, c'est quand même un métal qui a su conserver une valeur élevée au travers des âges et des guerres. Mais je suis d'accord avec toi, le principe de ne pas mettre tous ses oeufs dans le même panier est toujours pertinent.
Ce que je voulais surtout dire, c'est qu'à peu près n'importe quoi est plus sûr que que des euros sur un compte en banque en gardant un grand principe en tête, c'est que ce qui fait la valeur de quelque chose, c'est sa rareté.
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J'ai bien faillit le dire pour rire, ça va peut-être devenir vrai... même du rouble...mais bon, là faut aimer prendre des risques...
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Gare à la ruée dans les banques ! - 25-03-23
Il ne manquait plus que ça. Après la récession historique provoquée par la pandémie de Covid-19, après le choc énergétique et inflationniste sans précédent déclenché par la guerre en Ukraine, c'est le spectre d'une crise bancaire généralisée que les annonces, quasi simultanées, de la faillite de Silicon Valley Bank (SVB) et des déboires de Credit Suisse ont fait resurgir. Avec l'angoisse de voir se répéter le scénario d'apocalypse financière qui avait suivi en 2008 la chute de Lehman Brothers : contagion à l'ensemble du secteur ; défaillances en chaîne d'établissements dans un effet domino ; paralysie complète du marché du crédit aux conséquences dévastatrices sur l'économie réelle.
D'après le commentaire du Point, on dirait que tout arrive par hasard, que c'est la faute à pas de bol. Mais est-ce monsieur "Pas de bol" qui a décidé d'arrêter l’économie et de fermer tous les commerces ? C'est Monsieur "Pas de bol" qui a décidé d'acheter pour des milliards de "vaccins" et de masques dont on savait qu'ils ne serviraient à rien ?Est-ce que c'est lui aussi qui a décidé d'imprimé des trains entiers de faux billets de banque pendant quasi 10 ans ?Est-ce lui aussi qui désindustrialisé nos pays ? Est-ce lui qui a refusé de négocier avec la Russie nous privant d'une énergie bon marché ?Est-ce lui qui a déclaré qu'il ferait n'importe quoi pour sauver l'euro, autorisant du coup tout le monde à faire n'importe quoi ?Regardez la date de la pièce jointe ci-dessous, c'est le même jeu de domino que l'on voit dans la vidéo du "Point". La publication date pourtant du 13 mars 2020. Qu'on ne vienne pas dire maintenant que c'est pas de bol !
