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Covid-19 - Les chiffres officiels concernant les hospitalisations 2020 sont ridiculement bas

Le rapport officiel de l'analyse de l'activité hospitalière 2020 a été publié sur le site l'AHTIH, il révèle des chiffres qui ne correspondent pas du tout à la propagande médiatique et gouvernementale.

Qu'est-ce que L'ATIH ?  

C'est l'agence technique de l’information sur l’hospitalisation, fondée en 2000, et donc un établissement public de l’État Français à caractère administratif placé sous la tutelle des ministres chargés de la santé, des affaires sociales et de la sécurité sociale.

Que nous apprend ce ?

Beaucoup de données très intéressantes et des statistiques très détaillées, mais voici le point le plus important.

Seuls 2% de l'ensemble des patients hospitalisés en 2020 étaient liés au . Ce qui est donc faux pour 98% de l'ensemble des hospitalisations.

En outre, seulement 5% de ces 2% sont passés par la case réanimation.

Donc l'impact du -19 et la saturation des hôpitaux est insignifiant. 

Cela n'a rien strictement rein à voir avec ce qu'on nous disait en 2020, à savoir que les malades du Covid-19 étaient responsables du débordement des hôpitaux. 

  • L'impact du Covid-19 sur la saturation des hôpitaux est insignifiant.
  • Aucun d'entre-nous, masqués ou pas n'a jamais été responsable d'un quelconque débordement hospitalier.
  • Seul le démantèlement du système de santé par nos gouvernements est en cause.
  • C'est argument pour imposer toutes les mesures que nous avons connues est un faux argument !

Nous en avons maintenant la preuve indiscutable il me semble, qu'en pensez-vous ?

Sources : https://www.atih.sante.fr/analyse-de-l-activite-hospitaliere-2020

Le PDF de l'étude complète est en pièce jointe.

Pièces Jointes

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Réponses (36)
    • C'est bien beau, mais malgré cela, ils ont le e culot de parler de cinquième vague. Qqn peut-il me rappeler quand a eu lieu la quatrième ? Moi, je ne l'ai pas vue. On aura surement les  mêmes chiffres pour l'année 2021. Sauf que sur le moment présent, les politiques, les médias et surtout les médecins du terrain transmettent de faux chiffres. La corruption est telle que la vérité émerge très peu. 2 ans qu'ils crient au loup et la plupart y croit encore. Les hôpitaux commencent soit disant à être surchargé, c'est normal qu'en même temps on va mettre des milliers de personnes au chômage parce qu'ils ne veulent pas de leur potion magique? Et quand le personnel restant sera lui même malade, qui va donc soigner ceux qui en ont besoin? Même nos chers politiques, que feront ils quand ils auront besoin d'une chimio, d'une transplantation, d'une opération etc s'il n'y a pas assez de personnel. Ils scient eux même la branche sur laquelle ils sont assis. 

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      • Je ne sais pas, mais dans l'ensemble les gens ne bougent plus depuis belle lurette. Là pour l'instant, les compagnies aériennes ne tournent encore qu'à 50% de la normale. Tous les Indiens retournent une fois par an dans leur familles en Inde, donc le virus devrait logiquement y être depuis longtemps. Y a pas de cas, y a pas de morts, y a pas de vaccins.

        Si il n'y avait pas une volonté politique de terroriser les gens comme on l'a fait, il ne se passerait rien ici non plus. Je ne crois pas qu'il faut chercher plus loin. Personne n'a jamais eu peur d'attraper la Grippe. Tu ne serais même pas au courant qu'un virus circule.

        • Difficile d'en juger.

          • Mais non, cela dépend de ce que tu regardes. En Suède, quand tu parles du Covid, on te répond que c'est de la vielle histoire. Il ne sont pas traumatisés et lobotomisés  comme nous le sommes. C'est la science et la médecine qui ont géré la crise de 2020, pas la politique. Il n'y a jamais eu d'obligations de rien, et seuls les touristes portent encore un masque. Pas de conseils de défense occultes. Donc non ça n'est pas difficile d'en juger. Ils ont compris que ça n'était pas grave. D'ailleurs, on évite soigneusement d'en parler.

            Y a beaucoup de touristes en Suède. Et pour te le dire franchement, si je devais partir en vacances c'est bien là que j'irais ! Un mois sans covidisme, ça doit te changer la vie !

            • Momotchi qui vit en Suède nous l'a appris hier. La Suède va mettre aussi en place un pass sanitaire alors que tout va très bien là bas. On n'est à l'abri nulle part. Ils ont placé des pions partout

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              • C'est ce que j'allais ajouter, SI le gouvernement ne cède pas à la pression, comme l'ont fait d'autres pays. Rien ne justifie un changement de politique. Elle doit être terrible ! (la pression)

                • La densité de population y est moindre. Ça peut jouer un rôle.

                  • Je sais tu me l'as dit il y a deux ans. Bien que la population est plus concentrée sur quelques grosses villes. Mais soit. Je fais l'inverse de ce que font les médias, je compare des pommes et des poires, uniquement là où il n'y a pas de problèmes quand eux le font là où il y en a.

                    Avant de me poser des questions sur la densité, il faudrait déjà savoir combien ils font de tests, comment ils les font, et à partir de quel seuil ils considèrent un positif.

                    • En Belgique on est que 374 habitants au km² au total, rien qu'à Tokio ils sont près de 6 000 personnes au kilomètre carré.

                      Y a pas de cas, pas de morts au Japon, ils attendent toujours la première vague. Donc tu vois bien que la densité n'a rien à voir.

                      • Vu sous cet angle, en effet. Se pourrait-il que la nutrition (assez différente entre l'Europe et je Japon il me semble) joue un rôle?

                        • Je ne sais pas, des tas de facteurs peuvent intervenir, la moyenne d'âge, le nombre de tests; le nombre de cycles de leur tests etc etc.

                          Mais  même en jouant sur les facteurs, ce qui est étonnant c'est pas tellement que c'est plus ou moins grave dans certains pays, ce qui est vraiment étrange c'est que certains pays soit carrément totalement épargnés.

                          D'autant qu'ils sont plus proches de la source que nous. Dans le cas de l'Afrique et l'Inde, on le sait ils ont traité. Le  Japon je ne sais pas ce qu'ils ont fait ou pas. Mais ce dont je suis de plus en plus convaincu c'est qu'ici c'est très vite devenu une maladie "psychologique". Si ça n'était pas le cas, on aurait probablement des courbes aussi plates, puisqu'il n'y aurait pas de tests et donc pas de cas.Je l'ai dit souvent, je suis persuadé que si on pistait la grippe avec ces tests là, on aurait le même genre de courbe.

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                        • Ça y est l'Autriche est le premier pays à mettre en place l'obligation vaccinale. Je pensais que Macron serait le premier. D'ici qq mois ils vont l'imposer partout en Europe. C'est pas ça qui me fera aller à un centre de vaccination pour autant. C'est leur dernière mesure pour faire peur aux derniers qui iront d'eux même se faire injecter et aux autres de prendre leur troisième dose. Je le répète, si les doubles doses refusent leur troisième dose, tout s'arrête. Ils pourront nous confiner derrière, diminuer nos libertés mais en attendant l'économie ne tournera pas et le tout s'écroula alors. Vous préférez quoi vivre en cage ou libre mais dans l'incertitude ? Nous n'avons plus rien à perdre que l'on soit vaccinés ou non vaccinés. Nous ne valons rien à leurs yeux. 

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                          • Comment peut-on croire une seconde à un quelconque problème de santé. Physique en tout cas, un problème mental, ça c'est de plus en plus évident.

                            • Quel altruisme !! 😁 

                              • Ah ça, il pourrait me pousser des ailes de civisme. Par contre pour la crédibilité de l'injection, je pense pas que ça aide.

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                              • Cette situation ils l'ont créée de toute pièce, c'est exactement comme le chômage, créé et soigneusement entretenu. De ces deux groupes on a fait des parias, quelque chose de honteux, de détestable.

                                On sait à quoi sert le chômage, à maintenir les salaires bas et à faire travailler les autres dans de mauvaises, voir très mauvaises conditions. Si instantanément le chômage disparaît, instantanément les gens demandent une augmentation et ils l'obtiennent comme c'était le cas pendant les 30 glorieuses.

                                Je ne sais pas encore à quoi servent les "non-vaccinés", mais je suis certain qu'ils ont leur utilité. Voici une piste.

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                                • Un peu d'info en plus, un vrais spécialiste et pas un Troll

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                                    • Pour revenir sur les 2% même Blachier est obligé d'admettre qu'il y a un problème et qu'on est très très loin de ce qu'on nous a dit, à savoir que les patients Covid empêchaient les autres de rentrer. C'est pourtant un "expert"' qui fait partie de ceux qui ont envahi les plateaux et on ne peut pas dire que dans le genre alarmiste il n'a pas fait fort. Je me demande si ces gens utilisent internet et savent qu'il est possible de retrouver facilement leurs propos. Apparemment non.

                                    • La « cinquième vague », nouvel épisode d’un feuilleton qui a trop duré

                                      Laurent Toubiana

                                      Depuis quelques jours, la petite musique tant de fois entendue d’un nouvel épisode du feuilleton sanitaire en France se fait de nouveau entendre. Ce nouvel épisode s’appelle la « 5e vague ». Depuis plus d’un an et demi, la population française est soumise à un flot quasi continu de mauvaises nouvelles dont l’un des acteurs principaux est un virus du nom de Sars-Cov-2. Nous voici donc entrés dans une nouvelle zone de turbulence.

                                      Évolution du taux d’incidence hebdomadaire pour 100 000 habitants de malades du Covid-19 et des décès liés au Covid-19

                                      Source : Réseau Sentinelles, Santé Publique France, mise en forme IRSAN (https://covid.irsan.eu)

                                      Champ : France métropolitaine

                                      Note de lecture : la courbe rouge montre l’évolution hebdomadaire pour 100 000 habitants de malades du Covid-19 selon le Réseau Sentinelles (échelle à droite en rouge de 0 à 120). En mars 2020, cette courbe montre un maximum avec 140 nouveaux malades en une semaine pour 100 000 habitants. Lors du 4ème  « pic » de cette courbe (début août 2021), l’incidence est de 31 nouveaux malades en une semaine pour 100 000 habitants.(0.031 %)

                                      La courbe noire montre l’évolution du nombre hebdomadaire de décès testés positifs au Covid-19 pour 100 000 habitants - Source Santé Publique France (échelle à droite en noir de 0 à 10). Le point maximum est au début de la courbe avec 9,7 décès en une semaine pour 100 000 habitants début avril 2020 (0.0097%).

                                      Le scénario est maintenant bien rodé. En amont, il commence par des avis de scientifiques qui, alors que tout est supposé « sous contrôle », annoncent la possibilité du retour d’une nouvelle vague épidémique. Ces oracles sont bientôt confirmés par des données venant de pays plus ou moins lointains ; tout va bien en France, mais ailleurs c’est très grave. Les hypothèses de nos scientifiques s’avèreraient donc exactes. Les articles de presse pleuvent sur la panique engendrée dans ces pays et les mesures très dures en passe d’être mises en œuvre. Ces mesures nous paraissent démesurées, mais une petite voix nous dit qu’il faut se préparer à ce que ce soit bientôt notre tour. Enfin, Santé Publique France donne l’estocade et annonce à son tour une élévation « inquiétante de l’incidence » sans vraiment expliquer ni de quoi il s’agit exactement, ni en quoi elle est inquiétante. Cette information est immédiatement relayée par de puissants organes médiatiques. Elle est ensuite reprise par les autorités qui remettent en place des mesures contraignantes (masque obligatoire dans toutes les écoles et dans la rue de départements de plus en plus nombreux). « En même temps », le porte-parole du gouvernement nous assure de ne pas nous inquiéter. Cela inquiète encore plus car, à chaque fois qu’il ne faut pas s’inquiéter, nous pouvons être sûrs du contraire ; cela est en général confirmé quelques jours plus tard. Le nombre d’articles publiés sur la prochaine vague augmente et prépare le terrain. « Quelques dissidents » sont invités à s’exprimer pour faire bonne mesure car nous sommes en démocratie,

                                      juste le temps de les décrédibiliser incompétents, naïfs, inconscients, irresponsables, dangereux, complotistes. Depuis toujours, une épidémie se caractérise essentiellement par le nombre de malades et de morts qu’elle provoque. Ainsi, ce que l’on appelle normalement « incidence » est le nombre de nouveaux malades en une semaine rapporté à la population, lequel permet d’évaluer la dynamique d’une épidémie de maladie transmissible à évolution rapide. L’arrivée des tests et la massification de leur utilisation dévoyée à partir d’août 2020 a permis de redéfinir l’essence même de la définition classique de l’épidémie. 

                                      Dans le cadre de l’épidémie de Covid-19, les estimations de l’incidence à destination du grand public ne se réfèrent plus aux nouveaux malades ou morts engendrés par le virus mais à des porteurs de virus qui, à plus de 80 %, ne sont pas malades et ne le seront jamais. De fait, le nombre de porteurs de virus est beaucoup plus important que le nombre de malades ou de morts. Il est donc fallacieux d’utiliser le même mot « incidence » pour représenter une réalité différente de la définition communément admise par les épidémiologistes, l’incidence d’une pathologie. Pourtant, l’incidence d’une pathologie est un outil élémentaire utilisé pour le suivi de toutes les épidémies sous surveillance depuis des dizaines d’années (dont la plus emblématique est celle des syndromes grippaux). Pourquoi n’est-il pas appliqué pour l’événement épidémique du siècle ? Probablement parce que les incidences de la maladie covid-19 (et non des tests positifs) sont tellement faibles qu’elles ne peuvent être décemment invoquées pour justifier les mesures de contrôle qui apparaîtraient à l’évidence disproportionnées : confinements généralisés de la population, port du masque obligatoire dans la rue, taux de couverture vaccinale aberrant, passe sanitaire. Si l’incidence « classique » était utilisée, les populations n’auraient plus peur et n’accepteraient pas ces mesures considérées dès lors comme extravagantes.

                                      Justement, quelles sont les valeurs de l’incidence du Covid-19 ? En France, sur les 90 semaines depuis le commencement de la crise du Covid-19, la plus forte incidence a été observée entre le 23 et le 29 mars 2020, au tout début de la crise (cf. fig. 1). Lors de cette semaine paroxysmique, 140 nouveaux malades pour 100 000 habitants ont été estimés par le Réseau Sentinelles (premier réseau de surveillance de maladies transmissibles en France) ; les autres sources de médecins généralistes de terrain, dits de premier recours, sont concordantes. Pour fixer les idées, 100 000 habitants, c’est environ la population d’une préfecture importante (Caen, Nancy, Avignon...). À titre de comparaison, le même réseau de médecins estimait dans les mêmes conditions à plus de 600 malades de syndromes grippaux en une semaine pour 100 000 habitants en moyenne lors des pics épidémiques des années antérieures depuis 20 ans. Pourtant, connues depuis des siècles, les épidémies de grippe ont toujours été désignées comme des épidémies « banales » alors que le tableau clinique de la grippe est considéré comme touchant les individus plus durement que celui du Covid-19 dans la plupart des cas. Depuis mars 2020, aucune autre semaine n’a montré une incidence du Covid-19 supérieure. L’amplitude des pics saisonniers de l’incidence du Covid-19, fin octobre 2020, fin mars 2021 correspondant à ce qui a été improprement appelé « vagues » n’a cessé de décroître. Pour la dernière, dite 4ème vague, début août 2021, l’incidence du Covid-19 a atteint le chiffre dérisoire de 31 nouveaux malades en une semaine pour 100 000 habitants (cf. fig. 1).

                                      Il en va de même pour les hospitalisations et les décès. 31 nouvelles personnes avaient été hospitalisées et 9 sont décédées pour 100 000 habitants au cours de la semaine la plus impactée en 1 an et demi de crise. Ces chiffres sont à peine crédibles tellement ils sont faibles. Toutefois ils sont cohérents avec ceux qui ont été publiés par l’ATIH et qui indiquent que seulement 2 % de l’activité des hôpitaux ont été consacrés au Covid-19 en 2020. Par ailleurs, il a été établi que cette période de crise sanitaire prétendue « majeure » n’avait provoqué aucune surmortalité pour les personnes âgées de moins de 65 ans, soit 80 % de la population française, et une surmortalité de moins de 4 % pour les autres. De nombreux articles scientifiques ont montré que, sans pouvoir limiter l’épidémie, les mesures prises ont eu de nombreux effets délétères directs et indirects sur les individus et les populations. Ceux-ci ne font que commencer, comme la dégradation de l’état psychique, notamment chez les jeunes, la baisse du niveau scolaire ainsi que les conséquences sur la santé de la dégradation économique du pays suite à la politique du « quoi qu’il en coûte » décidée pour mettre en place le premier confinement et que les Français subissent du fait de l’augmentation de la facture énergétique. Quant au taux de couverture vaccinale aberrant avoisinant les 90 % de la population des plus de 12 ans, les autorités l’ont imposé aux populations en usant de méthodes d’intimidation ou de culpabilisation au motif de les protéger collectivement. Nous venons de montrer que l’impact réel en termes de morbidité et mortalité a été extrêmement faible. Mais cela ne suffit toujours pas : les populations, ayant déjà beaucoup souffert des mesures censées les protéger, doivent encore endurer un nouvel épisode de ce feuilleton insupportable.

                                      Tous les chiffres cités sont disponibles pour le grand public, accessibles sur Internet. Ils crèvent les yeux mais décidément, ils semblent difficiles à voir.

                                      Un journaliste de Mediapart a demandé à republier cet article, ce qui a été fait puis censuré très vite après sa republication, cependant l'article original est toujours disponible sur le site de l'IRSAN. L'original est en pièce jointe.

                                      Source : http://recherche.irsan.fr/fr/documentation/index/voir/159-Analyse-17-novembre-2021-:-la-cinqui%C3%A8me-vague-un-feuilleton-qui-a-trop-dur%C3%A9

                                      • J'ai constaté tout ce que tu viens de dire en allant faire les courses tantôt. Je n'avais plus vu autant de gens masqués dehors depuis plusieurs mois. On est proche du 100%. Ca montre que leur plan est bien rodé et surtout marche. Moi, je n'arrive pas à comprendre. Ils ont tout acceptés : deux doses sans savoir le contenu pour lesquels on leur avait promis la lune, des confinements, plus de loisirs, port d'un masque en papier qui ne sert à rien, vivre avec un pass avec le retrait du secret médical, la vaccination des adolescents, etc  et malgré ça, avec ce que j'ai vu tantôt, je sais que la majorité va courir chercher sa troisième dose. Avec tous leurs mensonges, ça devrait être l'inverse. Ca fait deux ans qu'on crie au loup et surtout qu'on propose toujours les mêmes solutions. Malgré ça, rien ne bouge. On parle de flambée alors que dans 4 mois on va virer les soignants qui ne veulent pas se faire injecter et personne ne fait le rapprochement. Moi, je suis sidéré et désespéré. Je sais vers quoi on va et c'est pas terrible. Là, ils manipulent pour faire vacciner les 5-11 ans. Et ça va marcher, la majorité vont le faire. C'est horrible quand on sait et qu'on ne sait rien faire. Bien sûr, après ce sera les 0-4 ans. Triste destin que cette humanité. On se demande ce qu'il s'est passé au moment de l'affaire julie et mélissa pour que tant de monde se mobilise.

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                                        • Bonne question: " On se demande ce qu'il s'est passé au moment de l'affaire julie et mélissa pour que tant de monde se mobilise."

                                          C'était plus simple, il n'y avait qu'un seul et unique ennemi public, même si ça n'est sans doute pas la vérité. Là nous avons affaire à une véritable guerre psychologique, comme je pense il n'y en a jamais eu dans l'histoire, en tout cas pas à une échelle mondiale.

                                          Plus je réfléchis et plus je me dis que le but est de repérer et neutraliser les plus réfractaires. Mais rien à voir avec les injections, ça c'est juste le révélateur, les réfractaires à l'ensemble des idées qui nous mènent peu à peu dans le nouveau monde qu'ils nous ont prévu. Ceux-là, il faut s'en souvenir, étaient déjà debout et étaient déjà passé à l'action  AVANT le Covid. Il faut se souvenir que juste avant, en France, tu étais verbalisé pour avoir porté un gilet jaune, et même un masque, un comble, et que ces mouvements étaient en train de "contaminer" la planète entière.

                                          Il faut vraiment de se souvenir de ceci, ça date de décembre 2018 : Il y avait déjà des mots clé dans l'air, tel que "restrictions" et remarque à quel point les "méthodes" étaient déjà en place, les médias cherchaient déjà à dissimuler, tronquer la réalité, discréditer par le n'importe quoi et les polices avaient déjà sorti l’artillerie, il y avait déjà de nombreuses arrestations...

                                          Quand on relit cet article on se rend mieux compte de la panique que ce mouvement à provoqué dans le monde.

                                          Le Covid a stopper net, et comme par hasard, les réunions sont devenues illégales, mais au final ça n'aura duré qu'un temps, au bout duquel tout n'a fait qu'empirer. Regarde ce qui se passe actuellement en Guadeloupe. Quels médias en parlent et de quelle façon ? Allez, on va utiliser leurs termes, c'est l'épicentre actuel d'un combat généralisé qui a repris son cours et même si ce sont les "mesures" qui ont servi de détonateur,  comme le prix  à la pompe avait servi de détonateur au GJ, c'est encore et toujours un mal-être bien plus profond dans la réalité.

                                          Et si on réfléchi bien, ce qu'il ont mit en oeuvre pour contrer tout ça, n'a pas l'air d'avoir d'avoir enrayé leur panique, c'est bien dans la panique qu'on fait du grand n'importe quoi.

                                          Par curiosité, j'ai regardé quel pourcentage de résistants il y avait en 40-45, et bien j'ai été surpris de voir qu'on les estime entre 12 et 15%. C'est peu, très peu, mais ils ont changé le cours de l'histoire. Dans le pourcentage restant, il y avait des collabos bien sûr, des traîtres, des délateurs etc..., mais pas que, il y avait surtout des gens qui ne voulaient pas prendre de risques pour éviter les représailles.

                                          Est-ce que ça a réellement changé ? Je ne crois pas... j'y vois même beaucoup de similitudes, dans les différents comportement en tout cas, dans les proportions, les causes et mêmes dans certains faits bien sûr, malheureusement.

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                                          • Je pense que les diktats religieux fonctionnaient bel et bien comme des guerres psychologiques (sauf qu'on ne savait pas encore que ça s'appelait "psychologie"). Je pense à l'idée qu'il n'y a qu'une vérité et gare à ceux et celles qui n'y croyaient pas. En Europe, c'était la torture voire le bûcher. Autres pays, autres méthodes...

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                                            • Tu emplois exactement le terme qu'à employé un capitaine de gendarmerie à la retraite, il parlait aussi d'une guerre psychologique pour qualifier la situation actuelle. J'ai justement écouté son interview hier. A cela comme d'habitude, on nous dira que c'est exagéré, que ce n'est pas comparable. Sans doute oui, mais aucune guerre n'est comparable à une autre, les armes et/ou les causes, et/ou les conséquences ne sont jamais identiques.

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                                            • Dés que l'on est précis et méthodique avec les chiffres, ils montrent tous la même chose. Si on fait une simple comparaison entre le nombre de décès de Grippe de 2017 et ceux du Covid-19 en 2020, on obtient un peu plus de morts du Covid, 1.8%. C'est peu, mais pas insignifiant.

                                              Mais faire cette simple comparaison est idiot, parce que 3 ans plus tard, non seulement nous sommes plus nombreux, mais en plus on a plus de vieux à cause du baby boom.

                                              Si on fait une transposition, c'est à dire que l'on imagine, que la Grippe de 2017 avait eu lieu en 2020, ça se calcule, on trouve alors 8500 décès en faveur de la Grippe. En voici la démonstration, c'est facile à comprendre.

                                              • Tout ça pour ça ? Ceux qui ont encore peur de mourir du Covid ( en orange) devraient réaliser qu'ils ont infiniment plus de chances de mourir d'autre chose ( en bleu ) et tout le temps.

                                                Vous retrouverez ce graphique sur le site de Sciensano : https://epistat.wiv-isp.be/momo/

                                                De plus maintenant, comme c' est le cas chez les Anglais, ils reconnaissent que dans les morts du Covid il y a des cas confirmés et des cas possibles. Les anglais eux,  pour la seconde fois ont sorti tout un lot, de personnes décédées AVEC le Covid et non du Covid.

                                                Page 21 de leur rapport ci-joint, sous ce tableau détailler on peut lire ceci:

                                                Les décès hospitaliers sont notifiés par les hôpitaux via le “hospital surge capacity survey”. Au départ, seuls les décès de cas confirmés avec un test de laboratoire ou sur base d’un scanner thoracique compatible avec la présentation clinique évocatrice du COVID-19, ont été notifiés. Depuis le 5 mai 2020, les décès des cas possibles en hôpital sont également

                                                pris en compte. Les décès des cas possibles concernent des patients qui n’ont pas bénéficié d’un test diagnostique pour le COVID-19, mais qui répondaient aux critères cliniques de la maladie selon le médecin. Les décès extrahospitaliers (maisons de repos, autres collectivités résidentielles, domicile, autres lieux) sont notifiés par les autorités régionales et représentent les décès des cas confirmés et possibles.

                                                Ce qui explique bien pourquoi la surmortalité globale est statistiquement insignifiante. Vous voyez donc que petit à petit on minore de plus en plus cette "pandémie", presque 'insidieusement oserais-je dire.

                                                Pour celle et ceux qui ne seraient pas encore convaincu, lisez ce qu'il est écrit ici :

                                                Les chiffres provisoires de la mortalité affichent une hausse modérée en 2021

                                                La mortalité grimpe de 2,5% par rapport à la moyenne de 2017-2019

                                                L’impact de la pandémie de COVID-19 sur les chiffres belges de la mortalité semble nettement moins prononcé en 2021 qu’en 2020. Un peu moins de 112.500 décès ont été provisoirement enregistrés en 2021. Cela représente quelque 14.500 décès de moins qu’en 2020, la première année de la pandémie de coronavirus. Par rapport à la moyenne de la période 2017-2019, qui a précédé la pandémie de coronavirus, on observe une hausse modérée d’environ 2.700 décès (2,5%) en 2021. Cette hausse est nettement plus faible que l’an dernier. En 2020, une augmentation d’environ 17.000 décès (15,7%) avait été enregistrée.

                                                Non seulement c'est peu, mais comme d'habitude quand on parle mortalité globale on donne les chiffres bruts, non standardisés Il faut les ramener au nombre total d'habitants et tenir compte de la pyramide des âges que j'ai trouvé ici pour la Belgique.

                                                https://statbel.fgov.be/fr/figures/pyramide-des-ages

                                                Il est évident que chaque année nous avons de plus en plus de personnes en âge de mourir, Le premier cercle est la tranche 90-94, ils sont à peu près 90.000 aujourd'hui, dans quelques années ils seront 375.000. 

                                                Il ne reste plus qu'à rappeler que l'espérance de vie est de 81 ans et que virus ou pas virus, quoi qu'on y fasse se nombre ne va cesser d'augmenter dans des proportions importantes.

                                                Avancer des chiffres sans en tenir compte n'a aucun sens et surtout aucune signification. C'est pourtant ce qu'ils font.

                                                • Beaucoup se réjouissent de la levée des restrictions dans beaucoup de pays. Il y a les pays nordiques, la Suisse et beaucoup d'autres que j'oublie. A court terme, c'est très bien. Mais à moyen et long terme, je ne le sens pas du tout. Déjà, tous les pays arrêtent d'eux même sans réel retour de pouvoirs au peuple. Avec les mêmes zozos au pouvoir, il est clair que rien ne va changer. Ensuite, toutes les lois liberticides qui ont été votées n'ont été nulle part abrogées. Ça veut bien dire que tout ce cirque peut recommencer dès demain. Le pass sanitaire a été prolongé par le parlement européen jusqu'à l'été 2023. Ceux qui disent qu'ils le retirent me font bien rire. Ça aussi, ce n'est pas pour rien. Pour moi, s'ils arrêtent tous en même temps, c'est que leur plan se passe à merveille et vont pouvoir passer à la suite en laissant une petite période de pause pour se faire un peu oublier. 

                                                  Avez vous vu déjà ce petit boîtier supplémentaire sur la borne de paiement à une pompe à essence ? Ça fleurit un peu partout. Pour moi, c'est un futur lecteur pour lire le QR code. J'espère me tromper.

                                                  • marc801 du tout, c'est bien un lecteur de code-barre/QR code ... car tu peux utiliser ton smartphone pour payer (QR code généré par l'application de ta banque) donc les cartes plastique risquent bien de disparaitre ... (tout comme ton smartphone 😁 )

                                                    • Lever les mesures ne me rassure pas non plus, parce que ça veut dire qu'on peut les remettre n'importe quand pour n'importe quoi. Je ne serai rassuré que lorsqu'elles seront légalement abrogées et ça c'est autre chose.

                                                      En France par exemple, ils ont beau dire qu'ils comptent les lever fin mars (LOL) pour les élections, il n'empêche qu'elles restent dans la loi jusque fin juillet, elles sont donc ré-activables et ça ne ratera pas si c'est Macron ou son clone, la Pécresse, qui passe.

                                                      En Suisse ils ont voté ça pour 10 ans !

                                                      • Ben oui, l'UE ne s'en cache pas puisqu'ils veulent créer un profil numérique unique reprenant toutes tes données, identitaires, bancaires, sanitaires et tout ce qu'on veut. Bref, un truc dont tu ne pourras plus te passer pour sortir, ainsi il sera quand même plus pratique de le mettre sous la peau.

                                                        Et ça sera reparti pour un tour, certains le feront pour être "tranquilles" et puis il y à nouveau des parias, probablement les mêmes.

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