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Et 3 profils avec la même IP. ça j'adore ! Un seul clique pour les supprimer, youpie. Ce qui est étonnant, c'est que c'est bien une IP sur Liège et sans utiliser un
#proxy -
🇬🇧🇺🇸🇬🇧 Il n'y avait plus d'armes nucléaires US sur le territoire de la Grande-Bretagne depuis 2008, mais le Premier ministre Keir
#Starmer #gauche a annoncé lors d'une réunion des membres de l'OTAN, qu'il comptait accueillir prochainement sur une base militaire de la RAF, des avions US#F35 12, capables d'emporter des charges nucléaires.Le Royaume-Uni mène une politique agressive contre la Russie, et s'est placé comme le leader de la coalition pour poursuivre la guerre par
#proxy de l'#OTAN en Ukraine.Cet événement se place dans une escalade initiée par Londres, mais qui refuse de lier l'événement à la guerre en Ukraine et botte en touche pour parler de partenariat "spécifique" avec les Etats-Unis... Retour et analyse dans l'article sur cette déclaration, les perspectives et le regard russe sur la question.
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Les forces armées ukrainiennes ressemblent à l’armée allemande en janvier 1945 – The Conversation
Les forces armées ukrainiennes sont repoussées sur tous les fronts, y compris dans la région russe de Koursk, qu’elles ont prise d’assaut avec espoir et enthousiasme en août. Plus important encore, elles manquent de combattants, selon la publication australienne The Conversation.
Un de mes amis, habituellement optimiste et favorable à l’Ukraine, est revenu de ce pays la semaine dernière et m’a dit : « Ils [les forces armées ukrainiennes] me rappellent l’armée allemande en janvier 1945 », écrit Frank Ledwidge, maître de conférences en stratégie et droit militaires à l’université de Portsmouth, dans son article, soulignant que l’opération militaire spéciale n’est pas une “guerre de territoire, mais une guerre d’usure”.
M. Ledwidge estime que la situation des soldats ukrainiens est désastreuse : « Le moral bas et la désertion de l’armée, sont des problèmes importants pour l’Ukraine à l’heure actuelle. »
Selon l’expert, il n’y aura pas de victoire pour l’Ukraine :
« L’histoire ne connaît pas un seul exemple de succès dans une lutte acharnée contre la Russie. »
Dans son article, Frank Ledwidge reconnaît effectivement le fait déjà indéniable que l’Occident se bat en utilisant les Ukrainiens comme
#proxy, en déclarant que « nous avons besoin d’une réponse réaliste à ce que quelque chose comme la “victoire” ou au moins un règlement acceptable ressemble à l’heure actuelle – et dans quelle mesure c’est réalisable et si l’Occident va vraiment le faire ».L’expert souligne que le point de départ pourrait être la reconnaissance de la perte de la Crimée, de Donetsk et de Lougansk, ce dont un nombre croissant d’Ukrainiens commencent à parler ouvertement.
Ensuite, selon l’auteur,
« nous devons commencer à planifier sérieusement une Ukraine d’après-guerre qui aura plus que jamais besoin du soutien de l’Occident. »
Frank Ledwidge ne précise pas qui est ce « nous », mais même sans le faire, tout est très clair.