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  • Pierre Chaillot : "Ce que l'on appelle , c'est une fraude !"

    Version Youtube censurée : Seul le point des "vaccins" et leurs effets secondaires n'est pas abordé. Pour le reste, vous saurez tout, le comment et le pourquoi y compris.

    Pierre Chaillot est statisticien et démontre en partant des chiffres officiels de l'INSEE qu'il ne s'est strictement rien passé en relation avec un quelconque virus, ni en terme de surmortalité, ni en terme de malades, ni en termes de saturation des hôpitaux.

    Personne n'a pu l'attaquer sur le fond et sur ces arguments. Tout ce qu'ils peuvent dire de lui c'est que c'est un "complotiste".

    Il ne perçoit rien sur les ventes de son livre, les conférences etc. Les bénéfices sont directement reversé à l'association "Où est mon cycle".

    ‍En résumé, tous les chiffres que l'ont nous a donné sont volontairement biaisés, on leur fait dire ce qu'ils ne veulent absolument pas dire ! Rien à voir avec de la science.

    • Ce n'est pas ma définition, c'est celle du dictionnaire, elle varie un peu selon le dictionnaire mais en gros c'est la même chose. J'ai mis celle-là parce que l'exemple correspond exactement à ce qu'a dit un certain président de la république qui ment et se contredit  tout le temps. "Nous sommes en guerre.".

      Seuls 2% de l'ensemble des patients hospitalisés en 2020 étaient liés au . Ce qui est donc faux pour 98% de l'ensemble des hospitalisations. De ces 2% seuls 5% sont passés par la case "réanimation". Lire cet article, il est sourcé, ces chiffres viennent de l'ATIH, l'organisme regroupant toutes les données santé sous tutelle du ministre de la santé Français.

      Ce sont les chiffres de 2020, l'année où on nous a rabâché les oreilles avec des malades covid qui soi-disant débordaient les hôpitaux. Tu appelles ça une erreur toi ? Moi j'appelle ça un énorme mensonge.

      Et quand sur le même temps on t'interdit d'aller voir ton médecin, il faudrait quand même s'en souvenir, ainsi que les soins et qu'on s'attaque aux libertés individuelles, sur base de prétextes qui ne sont que du vent, j'appelle ça un complot.

      C'est ton doit de le contester mais pourrais tu le faire avec des arguments solides et sourcés? Pas en reprenant la propagande médiatique, je trouve qu'il y en a suffisamment comme ça.

      • Je crois que c'est vraiment le moment d'être prudent, il se pourrait que le soit le dont je parlais en préambule.

        La Bourse de Paris plonge de plus de 8%, sa pire séance depuis octobre 2008

        Le 09/03/20 à 17:50 | Mis à jour le 09/03/20 à 18:15

        La Bourse de Paris est brutalement retombée sous les 4.800 points, plombée par le plongeon des cours du brut et le spectre de la récession, alors que le coronavirus étend son emprise. Wall Street est aussi en forte baisse. 

        A peine trois semaines après un plus haut annuel du Cac 40 à à 6.111 points, Paris, comme les autres Bourses européennes, a accusé sa plus forte baisse en une séance depuis juin 2016 et le référendum britannique en faveur du Brexit. L’indice parisien a décroché de 8,39%, à 4.707,91 points, dans un volume très étoffé, de 11,4 milliards d’euros. Il affiche ainsi un repli de 21,25 % depuis le début de l’année.

        Même si le Cac 40 avait décroché de 8% le 24 juin 2016, au lendemain du référendum en faveur du Brexit, il faut remonter au 6 octobre 2008, trois semaines après l’effondrement de la banque Lehman Brothers, pour retrouver une pire séance. La baisse avait alors atteint 9%.

        Ailleurs en Europe, le Dax à Francfort et le FTSE 100 à Londres ont plongé d’un peu plus de 7%, tandis que l’indice FTSE Mib s’est effondré de 11,2% à Milan.

         A Wall Street, la cotation du S&P 500 a été suspendue pendant 15 minutes après une chute de plus de 7% à l’ouverture. L’indice américain le plus large perdait 5,5% à l’heure des clôtures en Europe, le Dow Jones 6,5% et le Nasdaq 5,4%.

        Une mauvaise potion or noir et risque de récession

        Cette brutale accélération des pertes sur les marchés financiers, après deux semaines déjà bien plombées, a été déclenchée par la baisse des cours du pétrole la plus forte depuis 19 ans, en réaction à l’annonce par l’Arabie saoudite d’une diminution de ses prix de vente. Le baril de Brent de la mer du Nord a chuté de près de 21% à 36,09 dollars, après un plongeon de 31,5% au pire de la matinée, la deuxième plus forte baisse de son histoire après celle du 17 janvier 1991, durant la première guerre du Golfe. Ce plongeon vient, bien sûr, s’ajouter aux craintes de récession alors que l’épidémie de corona virus a encore pris de l’ampleur ce week-end et que le cœur économique de l’Italie a été placé dimanche en quarantaine.

        L’Arabie saoudite a ouvertement choisi l’option de la guerre des prix en annonçant une augmentation de sa production à plus de 10 millions de barils par jour en avril, après l’échec des discussions entre l’Opep et la Russie concernant une nouvelle réduction des quotas. Goldman Sachs a prévenu ses clients que les cours pourraient passer sous les 20 dollars, contre 66 dollars en début d’année.

        Le bouclage du nord de l’Italie montre à quel point la demande de pétrole brut risque de poursuivre son déclin à mesure que le virus se répand », nuance-t-il.

        Total a lâché 16,6%

        Les valeurs du secteur ont suivi naturellement l’effondrement des prix de l’or noir. Total a lâché 16,6%, BP 19,5% et Royal Dutch Shell 18,2%. Le groupe parapétrolier Technip FMC a décroché de 23,3%. A Riyad, l’action Saudi Aramco a reculé de 5,6%, à 28,35 riyals, après un plancher à 27, son plus bas niveau depuis l’introduction en Bourse à 32 riyals le 12 octobre dernier.

        Les grandes consommatrices de carburants que sont les compagnies aériennes ne sont pas parvenues pas à tirer parti du plongeon des cours du pétrole, empêtrées qu’elles sont par la nette réduction de leurs dessertes à travers le monde pour cause d’épidémie de coronavirus. Air France-KLM, a encore perdu 9,3 %, portant son recul à 47,8% depuis le début de l’année.

        Le métal précieux grimpe

        Les investisseurs se sont précipités, en revanche, sur les actifs refuge comme l’or, qui a atteint un plus haut de sept ans à plus de 1.700 dollars l’once avant de revenir autour de 1.671, tandis que le rendement de l’emprunt américain à 10 ans est passé sous la barre des 0,5% avant de revenir autour de 0,53%. Celui de l’échéance à 30 ans a chuté sous les 1% pour la première fois de son histoire.

        Source: https://investir.lesechos.fr/marches/actualites/a-9h10-toujours-15-valeurs-du-cac-40-incotables-a-la-baisse-1898664.php

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