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Je ne sais pas si tu as entendu parler de l'affaire Balanciaga aux alentours de Noêl, une boite de mode pour ultras riches évidemment, à qui pourrait-on vendre de telles horreurs à des prix pareils.
Toujours est-il qu'ils ont fait une campagne de pub avec de petits gosses dont les accessoires étaient typé BDSM. Toute la presse a traité l'affaire de la même façon, en publiant la photo la moins "trash" en petit, en expliquant que les réseaux sociaux s'étaient emballés pour rien, une autre façon de dire que c'était encore du complotisme en clair.
En attendant, quelques jours plus tard, ils ont été bien plus prompt à publier les excuses du patron de la boite. Force est de constater, que l'excuse est la même, c'était de l'art.
« Je veux m’excuser personnellement pour le mauvais choix artistique (…) et j’assume ma responsabilité », a écrit vendredi soir sur Instagram le styliste géorgien, qui a récemment laissé tomber son nom de famille Gvasalia pour l’univers de la mode.
« Si j’ai voulu parfois provoquer à travers mon travail, je n’ai jamais eu l’intention de le faire avec un sujet aussi horrible que la maltraitance des enfants, que je condamne », poursuit-il.
Il faut croire qu'on peut tout faire en s'excusant après... enfin ça dépend de qui... c'est "normal".