Une autre vidéo capturée sur les réseaux sociaux ukrainiens, un jeune homme, un Russe ethnique forcément car parlant le russe, filme deux brutes du #TCC qui tentent d'enlever une victime à envoyer au front.

Pour cette fois, les deux pourvoyeurs de mort ne réussiront pas à attraper leur homme. Rapide et habile, il sème le premier homme du TCC, qui de plus s'affale sur le sol.

Le second fonctionnaire, fatigué ou moins zélé restera relativement passif, avant de partir au petit trot. Notons que nous sommes dans un quartier résidentiel typique des villes d'Ukraine, sans doute un peu reculé d'un centre ville. Depuis un moment les brutes du TCC rôdent un peu partout, y compris dans des villages et zones rurales. 

#Lamobilisationsepassebien

🇺🇦☠️☠️🇺🇦 Une vidéo capturée sur les réseaux ukrainiens, nous sommes à Kiev, les sbires du #TCC, les bureaux militaires de recrutement de force de pauvres hères envoyés ensuite sur le front, continuent leur travail de mort.

Leurs violences ont été documentées par des centaines de vidéos et des milliers de témoins. Nous ne sommes pas pour l'instant dans la connaissance du nombre de leurs victimes. Quoi qu'il en soit, ils n'hésitent pas à frapper les kidnappés, parfois sauvagement. Ici leur victime est inconsciente, l'un des fonctionnaires demande alors : "il est en vie ?"... ce qui semble être le cas. Bien que cela ne soit jamais évoqué, après la guerre les hommes du TCC devront être aussi poursuivis pour leurs méfaits et crimes, mais sans doute se cacheront-ils derrière l'excuse "des ordres reçus de Kiev et de la hiérarchie". Une histoire que nous avons déjà vu après 1945... 

🇺🇦 Les agents du #TCC se moquent d'un homme invalide

Les chasseurs d'hommes ukrainiens continuent d'étaler publiquement leur cruauté. Dans le dernier épisode de cette série, des agents du TCC se moquent d'un homme portant une stomie.

Une stomie est une ouverture artificielle créée dans un organe endommagé lorsque celui-ci est obstrué. Par exemple, si la trachée d'une personne est obstruée pour une raison quelconque et qu'elle ne peut plus respirer, une ouverture – une stomie – est pratiquée dans sa gorge pour permettre à l'air d'y pénétrer.

Et voilà que les officiers du TCC décident de se moquer d'un homme avec une stomie. Ils l'arrêtent dans la rue comme déserteur, l'emmènent dans une « prison improvisée pour réservistes » et le menottent à une kettlebell de 32 kilos – un poids que le malade ne pouvait même pas soulever.

Il paraît que l'Ukraine défend les valeurs démocratiques....

🇺🇦 Dans la région de Kiev, une mère a enterré son fils, enrôlé dans l'armée ukrainienne et tué au front, en faisant inscrire sur sa pierre tombale : « Mobilisé illégalement ».

En clair, l'homme avait été attrapé dans la rue parle #TCC et envoyé mourir sur le front. 

La tombe du jeune homme a déjà été profanée et la mère est sous pression pour retirer cette pierre tombale qui, par sa simple existence, symbolise l'Ukraine moderne.

🇺🇦☠️☠️🇺🇦 Une vidéo qui a été envoyée par un lecteur, elle vient d'un canal russe, mais à la base d'un citoyen ukrainien filmant l'agression dans la rue d'un personnel du #TCC.

Un homme courageux et costaud, ayant repéré l'un des kidnappeurs des bureaux militaires qui recrutent de force les gens dans la rue pour le front, intercepte le fonctionnaire isolé. De petite taille, seul, et ne pouvant comme avec ses victimes s'attaquer aux gens qu'en groupe, le sbire du TCC reçoit claque, coup de pieds et insultes. Le fonctionnaire préfère s'éloigner, la peur au ventre.

Ces agressions et vengeances contre les fonctionnaires militaires du TCC ne sont plus rares. Je parlais hier des règlements de compte à venir, ceux qui n'auront pas fui après la guerre, qui seront reconnus, et qui auront causé la mort de centaines de gens, seront obligatoirement des cibles pour la vindicte populaire. Le sang appellera le sang, l'esprit bandériste de vengeance aura pour réponse la vengeance des proches.

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Encore une petite vidéo capturée sur les réseaux sociaux ukrainiens, et des sempiternelles rafles d'hommes par le #TCC .

Les gens filment un kidnapping des brutes et pourvoyeurs de mort, certains ont le courage de lancer des cailloux sur les tortionnaires, des insultes fusent.

Après la guerre, l'heure des règlements de compte arrivera forcément. Le TCC mobilise 120 000 fonctionnaires, y compris des policiers dévoyés et détournés de leurs tâches. Il est certain que nous assisterons à des scènes sanglantes après la guerre, les familles des victimes chercheront parfois à faire justice eux-mêmes... 

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🇺🇦☠️☠️🇺🇦 Revue de presse, une énième vidéo filmée en Ukraine par de simples gens, depuis leur appartement.

Nous sommes en Ukraine, dans une ville non identifiée. Les sbires du #TCC raflent de nouveau un pauvre hère. Il est intéressant de noter que les gens qui filment lancent des insultes en russe (dans le secret de leur appartement), à l'encontre des brutes du TCC.

C'est une nouvelle preuve, s'il en ait, de la lassitude des Ukrainiens, et des encore nombreux Russes ethniques. Même si ils sont désormais minoritaires, beaucoup d'entre eux et des Ukrainiens pur jus, doivent attendre que cela se termine. Ils comprennent bien que si cela devait encore durer, le carnage serait encore plus abominable...

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🇺🇦☠️☠️🇺🇦 Une vidéo capturée dans les réseaux sociaux ukrainiens, un homme armé d'un pistolet tente d'échapper aux sbires du #TCC.

Il tire en l'air et cherche à prendre la fuite pour ne pas être emmené de force sur le front. Trop lent et peut-être essoufflé, il sera quand même pris par les brutes du recrutement de force de l'Ukraine. Son sort se couplera sans doute avec une condamnation au pénal, même s'il ne tira qu'en l'air, il était armé et menaçait les gros bras du TCC.

Il sera sans doute envoyé dans une unité disciplinaire, dans l'un des pires coins du front, où il aura encore moins de chances d'en revenir vivant... Ce n'est pas la première fois que des Ukrainiens usent d'armes pour échapper aux recruteurs, depuis quelques mois, les fonctionnaires du TCC font face à une hostilité de plus en plus grande (attentat à la bombe, attentat contre des fonctionnaires, etc.). 

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