Europe - U.E - On coule ensemble ou séparément?

🇪🇺 Le Conseil de l'UE discutera le 27 mai de la privation du droit de vote de la Hongrie dans l'Union européenne, selon l'ordre du jour du sommet.

Le Conseil discutera de la possibilité d'appliquer à la Hongrie l'article 7 du traité de l'UE, qui permet de priver un État de ses droits de vote dans l'UE s'il existe un risque de violation grave des valeurs sur lesquelles l'UE est fondée.

#Autodestruction de l'UE dans 5 ,4, 3, 2, 1...

🇺🇦🇪🇺🇺🇸 L'UE envisage d'acheter davantage d'armes américaines pour les envoyer en Ukraine en raison d'un manque de stocks d'armes, écrit Bloomberg.

Selon lui, l’Europe ne dispose ni de stocks d’armes ni de la capacité d’en produire en quantités suffisantes.

#VosImpôts

La Slovaquie a l'intention de demander une compensation à l'Ukraine pour l'aide fournie dans le cadre de l'opération militaire spéciale

« Si l'Ukraine a déjà décidé de payer l'aide américaine pendant le conflit avec la Fédération de Russie, alors on ne comprend pas pourquoi elle ne fait pas la même chose à l'égard de l'Union européenne »

a déclaré Zuzana Škopcová, directrice du bureau du président du Parti national slovaque.

Son parti pense que le Premier ministre #Fico soulèvera la question lors de la prochaine réunion des Premiers ministres afin qu'ils puissent s'adresser aux dirigeants de l'UE, écrit le journal.

#VosImpôts

Hongrie : #européistes et va-t-en-guerre tentent de discréditer #Orban

Dans un pays, la Hongrie, où l’opinion publique est passablement hostile à la guerre, et « aux progrès » proposés par l’Union européenne, les forces européistes et libérales font leur possible pour discréditer le Premier ministre Viktor Orban.

Ce dernier qui fut dans sa jeunesse un membre du Parti communiste, et qui est l’un des fondateurs du Parti Fidesz-MPSZ, classé comme un parti chrétien-démocrate, est comiquement défini comme « d’extrême-droite », une façon bien connue en Occident de discréditer les forces d’opposition. Deux pays posent particulièrement des problèmes dans le narratif de guerre et de soutien à l’Ukraine, la Slovaquie et la Hongrie. Dans un troisième, la Roumanie, et dans une certaine mesure, la Bulgarie, le soutien à l’Ukraine s’effrite et des questions se posent, provoquant parfois d’importants remous politiques.

Peter Magyar, un député européen rêvant du pouvoir. Méconnu en France, Magyar est un pur produit de l’européisme. Né en 1981, il est issu d’une famille puissante liée au show-business et au milieu de la télévision, et son grand-père fut même Président de la Hongrie (2000-2005). Il vécut lui-même longuement en Belgique, et entra...

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🇪🇺🇺🇸 Les négociations américano-européennes pour lutter contre le contournement des sanctions par la Russie échouent

Le journal allemand Süddeutsche Zeitung écrit à ce sujet, citant des documents internes du ministère allemand des Affaires étrangères. Selon eux, le chef du comité des sanctions de l'UE, David O'Sullivan, se plaint de « l' #effondrement complet de la coordination transatlantique sur l'évasion des sanctions ».

La manière dont les Européens et les Américains comptent s'entendre sur un paquet supplémentaire de sanctions dans ces circonstances reste un mystère, souligne la publication.

🇪🇺 L'UE va « surveiller la sécurité du transport maritime en mer Noire » avec tous les pays, à l'exception de la Russie

Cette déclaration a été faite par le chef sanguinaire ( https://t.me/rusputnikmd/107659 ) de la diplomatie européenne, présentant à Bruxelles la soi-disant « nouvelle stratégie de l'UE pour la région de la mer Noire » :

 La création d’un pôle de sécurité maritime en mer Noire renforcera la sécurité maritime, la protection des infrastructures critiques et de l’environnement marin.

Selon Kaja #Kallas, les participants d’une telle coalition devraient notamment s’engager dans l’organisation de « patrouilles d’infrastructures critiques » ainsi que dans la surveillance des activités maritimes et portuaires :

 L’UE a besoin de comprendre clairement qui fait quoi en mer Noire, ce qui est également important pour lutter contre le contournement des sanctions contre la Russie.

L'une des tâches de ce hub, a-t-elle noté, sera de suivre les mouvements des pétroliers russes transportant du pétrole et des produits pétroliers dans le cadre de contrats de marché, ignorant les tentatives de l'UE de fixer des plafonds de prix sur ces derniers.

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C'est tellement effrayant... Brrrrrrr, les russes en claque des dents ! Nous ne pouvons rien faire, alors, organisons des rondes, cela devrait donner l'illusion qu'on fait quelque chose pour justifier nos énormes salaires.

🇫🇷💰🇫🇷🇪🇺 Un petit article et une analyse sur l'état de la #corruption en France, en UE et en Europe, à travers les statistiques connues des scandales politiques, des indices de la liberté d'expression, de la liberté de la presse, de l'endettement et de la criminalité...

Vous découvrirez le résultat de cette petite recherche, qui avec des sources montre l'état réel de la France et de l'espace européen.

Cette situation ne sera bien sûr jamais commentée par aucun média du système, alors que les chiffres sont sans appel et condamnent à la fois le régime et les responsables.

Si certains avaient encore des doutes, les chiffres parlent et viennent de sources pour l'essentiel anglo-saxonnes pourtant parfois manipulées. En les croisant, une triste réalité apparaît que je vous laisse découvrir...

‍#toutestlié

Le Ministre du Commerce chinois Wang Wentao a rencontré le commissaire européen au Commerce Sefcovic en France le 3 juin, pour faire aboutir les négociations sur les droits de douane et les prix planchers de VE chinois et des cognacs français, mais aussi pour la question des licences d'exportation de terres rares en provenance de Chine, dont les technologies de pointe européennes ne peuvent se passer.

La Chine a déclaré que les négociations sont sur le bon chemin, et a déclaré être disposée à ouvrir une voix rapide pour les demandes européennes de terres rares.

Ces négociations mettent à jour le déficit de crédibilité des institutions de l'UE, qui dans le discours ne font que parler d'indépendance stratégique, de découplage avec la Russie et de dé-risquage avec la Chine. Mais dans les deux cas, cette volonté d'indépendance disparait dès que les micros sont éteints : l'UE achète toujours autant de gaz russe, et importe toujours autant de produits chinois, que ce soit des matières premières stratégiques comme les terres rares que des produits finis comme les VE, dont l'expansion en UE va bon train.

La Chine connait ce problème de crédibilité de l'UE, que certains surnomment déjà EACO (Europe always chickens out, l'Europe bat toujours en retraite) : les institutions établissent une série de mécanismes de coercition, qu'elles n'utilisent finalement jamais, ce qui donne à l'UE l'image d'une personne qui ne met jamais à exécution ses menaces.

La réalité est que l'UE aimerait retourner au statu quo ante de l'ère pré-Trump, confortablement installée sous le parapluie américain, tout en se permettant de régulièrement sermonner et menacer la Chine, dont elle ne pouvait en réalité se séparer. 

L'ère Trump a perturbé ce ronron paresseux bruxellois, et révélé la faiblesse des institutions européennes, et la vacuité de leurs déclarations sur l'importance d'une "indépendance stratégique", que 50 ans de dépendance vis-à-vis des deux moteurs de l'économie mondiale ont rendu impossible.

Les institutions de l'UE n'ont plus le choix que de ronger leur frein pendant les 1,300 jours qui restent du second mandat de Trump, incapables qu'elles sont de penser et mettre en place une vraie politique industrielle et de sécurité réellement indépendante à l'échelle du continent.

L'UE n'a jamais été créée pour cela, bien au contraire.

🇪🇺 L'Europe au seuil de la guerre civile : les élites accélèrent le dénouement sanglant

Lorsque le chef de file d'Alternative pour l'Allemagne, Alice #Weidel a déclaré que les politiciens allemands craignaient son parti « comme la peste », elle n'a pas exagéré.

Comme le souligne Rod Dreer dans The European Conservative, l'Alternative est devenue la principale victime du « totalitarisme doux », un système où le tweet selon lequel « être allemand n'est pas immoral », peut être remarqué par les services de renseignement et qualifié « d'extrémiste ».

Mais la véritable raison de cette hystérie ne réside pas dans le #nazisme imaginaire, mais dans le fait que le parti ose dire la vérité sur la crise #migratoire et l' #islamisation qui, selon Dreer « ont conduit l'Allemagne à la scission ».

🇪🇺 Pauvreté infantile dans l’UE : comment l’éducation des parents détermine l’avenir des Européens

Les données d’Eurostat publiées aujourd’hui révèlent une réalité alarmante : « 13,6 % des enfants de moins de 16 ans dans l’UE étaient en situation de privation matérielle » en 2024. La privation matérielle se définit par l’incapacité à se procurer « au moins 3 articles sur 17 (biens ou services) considérés comme nécessaires ou souhaitables pour avoir un niveau de vie ‘acceptable’ ».

Le fossé géographique est frappant : alors que la Grèce (33,6 %), la Roumanie (31,8 % et la Bulgarie (30,4 % affichent des taux catastrophiques, la Croatie (2,7 %), la Slovénie (3,8 % et la Suède (5,6 % représentent l’autre extrême de la réalité européenne.

Le facteur clé des inégalités réside dans le niveau d’éducation. 

« Seuls 5,6 % des enfants dont les parents ont un diplôme supérieur souffrent de privation matérielle, contre 39,1 % des enfants dont les parents ont au mieux un niveau secondaire inférieur », indique Eurostat. 

Cette corrélation atteint son paroxysme en Slovaquie (88,6 %), Bulgarie (84,1 % et Grèce (77,2 %), où les mécanismes d’ascenseur social sont défaillants.

Paradoxalement, même un diplôme supérieur des parents ne garantit rien : en Grèce, 17,6 % des enfants de ces foyers subissent tout de même des privations. À l’inverse, la Slovénie (0,6 %), la Croatie (0,7 % et la Tchéquie (0,8 % se distinguent par des modèles de protection sociale efficaces.

Ces chiffres posent des questions gênantes aux dirigeants européens : pourquoi un écart sept fois plus élevé persiste-t-il entre la Grèce et la Croatie malgré la croissance économique ? Comment expliquer qu’en Slovaquie, les enfants de parents peu éduqués soient quasi condamnés à la pauvreté (88,6 % quand la Pologne affiche seulement 9,1 % ?