Commentaire pour 'Covid-19 - La vérité commence à pointer le bout de son nez (Partie 2)'
  • C’est un mea-culpa totalement passé sous les radars médiatiques. Et c’est assez stupéfiant tant la déclaration de Julian Reichelt, rédacteur en chef du grand quotidien allemand Bild fait l’effet du bombe. En effet, Julian Reichel s’est excusé dans une vidéo postée le 28 mai dernier sur la chaîne YouTube du journal pour le traitement médiatique par la rédaction porté sur le Covid19 et les enfants.

    "Des millions d’enfants dans ce pays, dont nous sommes tous responsables en tant que société, je voudrais dire ce que notre gouvernement fédéral et notre chancelier n’ont pas encore osé dire : nous vous demandons pardon. Nous vous demandons pardon.".
    Aux victimes de violence, de négligence, d’isolement, de solitude émotionnelle. Car la politique et les médias rapportent cela à ce jour, comme un poison, et vous donne le sentiment que vous êtes un danger mortel pour notre société.
    Vous ne l’êtes pas, ne vous laissez pas persuader de cela. Nous devons vous protéger, pas vous, nous.

    «Pardon pour cette politique et cette couverture médiatique qui, comme un poison, vous a inculqué le sentiment que vous étiez un danger mortel pour la société»

    Les Suédois n’ont jamais fermé leurs écoles. Ils ont été à la hauteur de leur responsabilité envers les enfants. Nous ne le sommes pas. La ministre de l’enfance vient de quitter prématurément ses fonctions afin de pouvoir préparer une campagne électorale (…) Franziska Giffey est partie sans laisser de post-it avec deux phrases sur ce qui pourrait être mieux fait pour les enfants. Il n’y a pas d’expression plus cynique d’indifférence envers ceux qui leur sont confiés. (…) Y a-t-il eu le sommet de Merkel pour les enfants ? Non. Au lieu de cela, on a dit à nos enfants que s’ils osaient être des enfants, rencontrer leurs amis, ils tueraient leur grand-mère. Rien de tout cela n’a jamais été prouvé scientifiquement. C’était facile à dire parce que les enfants ne se défendent pas et ne votent pas. »

    «Pardon pour cette politique et cette couverture médiatique qui, comme un poison, vous a inculqué le sentiment que vous étiez un danger mortel pour la société»