Commentaire pour 'Covid-19 - Les chiffres officiels concernant les hospitalisations 2020 sont ridiculement bas'
  • Bonne question: " On se demande ce qu'il s'est passé au moment de l'affaire julie et mélissa pour que tant de monde se mobilise."

    C'était plus simple, il n'y avait qu'un seul et unique ennemi public, même si ça n'est sans doute pas la vérité. Là nous avons affaire à une véritable guerre psychologique, comme je pense il n'y en a jamais eu dans l'histoire, en tout cas pas à une échelle mondiale.

    Plus je réfléchis et plus je me dis que le but est de repérer et neutraliser les plus réfractaires. Mais rien à voir avec les injections, ça c'est juste le révélateur, les réfractaires à l'ensemble des idées qui nous mènent peu à peu dans le nouveau monde qu'ils nous ont prévu. Ceux-là, il faut s'en souvenir, étaient déjà debout et étaient déjà passé à l'action  AVANT le Covid. Il faut se souvenir que juste avant, en France, tu étais verbalisé pour avoir porté un gilet jaune, et même un masque, un comble, et que ces mouvements étaient en train de "contaminer" la planète entière.

    Il faut vraiment de se souvenir de ceci, ça date de décembre 2018 : Il y avait déjà des mots clé dans l'air, tel que "restrictions" et remarque à quel point les "méthodes" étaient déjà en place, les médias cherchaient déjà à dissimuler, tronquer la réalité, discréditer par le n'importe quoi et les polices avaient déjà sorti l’artillerie, il y avait déjà de nombreuses arrestations...

    Quand on relit cet article on se rend mieux compte de la panique que ce mouvement à provoqué dans le monde.

    Le Covid a stopper net, et comme par hasard, les réunions sont devenues illégales, mais au final ça n'aura duré qu'un temps, au bout duquel tout n'a fait qu'empirer. Regarde ce qui se passe actuellement en Guadeloupe. Quels médias en parlent et de quelle façon ? Allez, on va utiliser leurs termes, c'est l'épicentre actuel d'un combat généralisé qui a repris son cours et même si ce sont les "mesures" qui ont servi de détonateur,  comme le prix  à la pompe avait servi de détonateur au GJ, c'est encore et toujours un mal-être bien plus profond dans la réalité.

    Et si on réfléchi bien, ce qu'il ont mit en oeuvre pour contrer tout ça, n'a pas l'air d'avoir d'avoir enrayé leur panique, c'est bien dans la panique qu'on fait du grand n'importe quoi.

    Par curiosité, j'ai regardé quel pourcentage de résistants il y avait en 40-45, et bien j'ai été surpris de voir qu'on les estime entre 12 et 15%. C'est peu, très peu, mais ils ont changé le cours de l'histoire. Dans le pourcentage restant, il y avait des collabos bien sûr, des traîtres, des délateurs etc..., mais pas que, il y avait surtout des gens qui ne voulaient pas prendre de risques pour éviter les représailles.

    Est-ce que ça a réellement changé ? Je ne crois pas... j'y vois même beaucoup de similitudes, dans les différents comportement en tout cas, dans les proportions, les causes et mêmes dans certains faits bien sûr, malheureusement.

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    • Je pense que les diktats religieux fonctionnaient bel et bien comme des guerres psychologiques (sauf qu'on ne savait pas encore que ça s'appelait "psychologie"). Je pense à l'idée qu'il n'y a qu'une vérité et gare à ceux et celles qui n'y croyaient pas. En Europe, c'était la torture voire le bûcher. Autres pays, autres méthodes...

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      • Tu emplois exactement le terme qu'à employé un capitaine de gendarmerie à la retraite, il parlait aussi d'une guerre psychologique pour qualifier la situation actuelle. J'ai justement écouté son interview hier. A cela comme d'habitude, on nous dira que c'est exagéré, que ce n'est pas comparable. Sans doute oui, mais aucune guerre n'est comparable à une autre, les armes et/ou les causes, et/ou les conséquences ne sont jamais identiques.

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