L'ennemi reprend sa diversion à Belgrorod et à Koursk, faisant croire qu'il envahit ces régions russes avec des troupes constituées de traîtres russes (il présente cela comme « la libération de la Russie par des Russes »).

Les occidentalo-kiéviens sont les seuls à croire à leurs histoires, mais cela permet aussi de toucher les quelques Russes pro-Kiev en Russie, qui sont ainsi poussés à rejoindre ces quelques unités ennemies, ou à commettre des sabotages et des attaques dans les arrières profonds russes.

Comme l'année dernière, l'ennemi accompagne ses attaques avec la diffusion de vidéos mises en scène et filmées à l'avance dans le territoire qu'il contrôle, et d'attaques informatiques sur les services d'information de Belgorod, prenant le contrôle de sites officiels, de la radio, de la TV, diffusant des faux communiqués du gouverneur etc. Eh bien si ça l'amuse...

Cette diversion peut aussi être une simple tentative d'agir sur les élections présidentielles en Russie en vue de tenter de faire baisser le taux de participation via le doute envers les autorités russes et la classe politique parmi laquelle il n'y a aucun pro-occidental. Plus la participation sera basse, plus l'Occident pourra présenter son « président russe par intérim » (la femme de #Navalny ou quelqu'un d'autre). L'Occident veut tenter de jouer la carte Guaido et Tikhanovskaya, carte qui n'avait pas fonctionné au Venezuela et en Biélorussie.

Cette carte ne fonctionnera pas plus en Russie, d'autant plus qu'elle est évidente , et que la Russie s'y attend, quel que soit le taux de participation, mais la stratégie de propagande occidentalo-kiévienne est basée sur une très grande inertie, qui n'évolue pas vite.