J'ai justement vu dernièrement un documentaire, et je ne me doutais pas de ça, mais il y a des pandémies qui ont eu lieu par le passé, mais ce sont des pandémies supposées dont on ne sait rien. On les suppose justement par rapport à l'augmentation subite et passagère de l'activité des notaires par exemple, de là, on en déduit que...

Et du coup je me demandais justement ce qu'il resterait de cette histoire dans 300 ou 1000 ans. A mon avis pas grand chose, il est probable qu'un jour des chercheurs se demanderont pourquoi les humains ont subitement changé leur mode vie, je ne pense pas qu'ils trouveront la réponse en analysant les livres de comptes des notaires ou des services funéraires.

J'ai toujours aussi trouvé étrange que l'on nous parle de tant de morts, d'engorgement d’hôpitaux, mais jamais je n'ai entendu dire que les services funéraires étaient engorgés, je n'ai jamais entendu qu'on leur donnait la parole non plus. Donc, ce témoignage ne m'étonne pas du tout et au moins il est cohérent avec la faible surmortalité de 2020, 5ème année la moins mortelle, toute cause confondue, sur les dix dernières années. Ce témoignage est aussi cohérent avec ce qu'à vu mal belle-fille, aide-soignante, qui pendant la prétendue pire période, s'est retrouvée en chômage technique pour la première fois de sa vie, tant il n'y avait personne à l’hôpital. Par la suite, elle n'a pas vu passer non plus les fameuses vagues.

Et puis finalement, c'est cohérent avec le nombre impressionnant d'incohérences de la gestion de cette "crise". Quand on réfléchit bien, à quoi reconnait-on les menteurs ? Et bien justement, ils ne sont jamais cohérents...

Et point de vues incohérences on a été gâté et ça continue encore et encore, voici maintenant venu le temps du pass et l'abandon de toute mesures pour les vaccinés, alors que sur le même temps Israël pays le plus vacciné au monde et qu'on a tant pris comme exemple à suivre se retrouve dans la pire des situations.

Le directeur général du ministère de la Santé, Nachman Ash, a déclaré mardi que la vague actuelle d'infections à coronavirus surpassait tout ce qui avait été observé lors des épidémies précédentes et qu'il était déçu qu'une récente tendance à la baisse semble s'inverser.

Les remarques d'Ash par appel vidéo à la commission de la Constitution, du droit et de la justice de la Knesset sont intervenues alors que les chiffres du ministère de la Santé montraient que plus de 10 000 nouveaux cas de COVID-19 avaient été diagnostiqués la veille et que le taux de tests positifs augmentait.

Soulignant qu'il y a en moyenne 8 000 nouvelles infections chaque jour, avec des pics occasionnels de plus de 10 000, il a déclaré: "C'est un record qui n'existait pas lors des vagues précédentes", y compris la troisième vague massive à la fin de l'année dernière.

https://translate.google.com/translate?sl=auto&tl=fr&u=https://www.timesofisrael.com/health-ministry-chief-says-coronavirus-spread-reaching-record-heights/

Encore une fois, comparons l'Inde sans vaccins, et Israël : Que ça soit en termes de "cas"...

Ou en terme de décès...

Il faut vraiment être vendeurs de vaccins pour s'entêter à ce point à prétendre l'inverse de la réalité.

Exactement, et donc dans ce cas, il faut le faire au forcing, avec énormément de pression, de la propagande et des menaces. Et beaucoup n'ont fait que céder à un chantage inédit, la plupart, pensant être "tranquilles" une fois pour toute avec cette histoire et retrouver enfin un semblant de vie d'avant puisque c'est ce qu'on leur avait promis. Beaucoup se rendent compte maintenant que cette voie est sans issue.

En France pour la première fois, un sondage montre que le nombre des pro-passe est en baisse, et pas qu'un peu, 6%, ça représente tout de même plus de 4 millions de Français. Logique, puisqu'il est maintenant question de prolonger tout ça jusqu'en été et qu'en même temps un rapport officiel leur apprend qu'on a supprimé 5887 lits et 12 hôpitaux en 2020 et pas moins de 1800 lits au premier semestre 2021 et pour finir suspendu tous les médecins et personnels non vaccinés, ne parlons même pas des pompiers. Les gens commencent peut-être à comprendre que quand ils en auront terminé il ne restera strictement plus rien pour les soigner, ni personnel, ni infrastructures.