-
En, principe, l'AFSCA n'avait pas tort. Mais la logique voudrait que de telles mesures soient imposées aux nouveaux qui s'installent, tandis qu'on laisse en paix ceux qui étaient déjà là avant la nouvelle réglementation, sauf s'ils exagèrent évidemment, par exemple la présence d'animaux de compagnie dans le magasin ou le bébé qui est déposé sur le comptoir etc. choses que j'ai déjà vues, de même qu'une vendeuse voyant que la grosse tranche de pâté qu'un client a demandé, tombe en morceaux, réajuste celle-ci, se léchant plusieurs fois les doigts...
-
Là, d'accord. Mais pas quand on recharge l'étalage avec des marchandises qui traversent le privé dans des bacs en plastique filmés... Faut pas pousser non plus. Comme dit Baloo, il fut un temps où la viande arrivait sur pied sur le marché, et couic, à la vue de tout le monde le goret. La viande découpée sur place, vendue, ébouillantée avant d'être frite ou grillée, et personne n'en est mort. Un boucher qui intoxiquait ses clients risquait de toute façon gros au Moyen-Age...
-