J'ai toujours dit à ma fille que je me fichais de ce qu'elle faisait pour autant que lorsqu'elle se levait le matin pour aller travailler, ce n'était pas avec les pieds lourds. Comme nous passons au moins 40 ans à travailler, il faut que ce soit quelque chose que l'on ait envie de faire.

Le problème maintenant, c'est qu'ils lui rendent la tâche tellement difficile qu'elle ne peut pas faire son travail d'aide soignante. Ce qui pour elle est vraiment une vocation. Il n'y a pas assez de personnes employées, donc ils souffrent tous.Elle avait voulu suivre une formation d'infirmière, mais tant que personne ne sait s'ils vont rendre l'injection obligatoire, elle est bloquée.