Commentaire pour 'Contre la Covid, on dispose désormais d’un nombre extravagant de traitements qui marchent !'
  • Une large part de l’épidémie aurait pu être évitée si on avait conseillé :

    • D’utiliser tous les jours un simple spray nasal, disponible pour quelques euros en pharmacie ;
    • De faire matin et soir un bain de bouche antiseptique, avec de la bétadine.

    Cela paraît fou, encore une fois, mais c’est ce que montrent les études scientifiques.

    Commençons par le spray nasal.

    On sait depuis au moins 10 ans qu’un extrait d’algue rouge, appelé carraghénane (ou iota-carraghénane), a une efficacité contre les infections respiratoires, en spray nasal.

    Avant même d’avoir la moindre étude, il aurait été malin de le donner aux personnes à risque, en prévention de la Covid-19. Risque : 0. Bénéfice : prometteur.

    Puis, quand les études sont tombées, il n’y avait plus de doute possible.

    A l’été 2020, des chercheurs ont confirmé que cette molécule toute simple était efficace contre le coronavirus, in vitro [9].

    Tout récemment, une étude argentine randomisée, contre placebo, menée sur 400 personnes a prouvé son efficacité in vivo : en prévention, un simple spray nasal à base de iota-carraghénane a réduit de 80 % le risque d’infection [10] !

    Ce n’est pas un une étude « accidentelle » ou une « coïncidence ».

    Car plusieurs études ont trouvé des résultats exceptionnels, en associant un spray nasal à des bains de bouche.

    C’est logique, car le coronavirus commence par se multiplier dans le nez et la gorge avant de descendre dans les poumons.

    Si on le neutralise dès le début, on évite les cas graves – on pouvait s’en douter, mais cela a été prouvé.

    Dans une étude indienne, une simple solution saline en spray et bain de bouche a suffi à obtenir d’excellents effets [11].

    D’autres études ont obtenu d’excellents résultats des sprays et bains de bouche à base de bétadine, un antiseptique. 

    Dans une étude randomisée sur plus de 1 000 patients, ces gestes simples ont permis une réduction de 84 % du risque d’hospitalisation, et de 88 % du risque de décès

    • On peut résumer tout ce que tu viens de dire en une seule phrase, laisser les médecins soigner, on a fait l'inverse. Je l'ai dit plusieurs fois au cours du temps, c'était eux "la première ligne", en attribuant cette place à l’hôpital, on les écartait déjà du circuit.

      Il y a assez de témoignages de médecins qui ont soigné, ils disent tous la même chose, pas de décès chez leurs patients, un ou deux dans le pire des cas. De toute façon il y a au minimum l'effet placebo et celui là il fonctionne.

      D'après ce que j'en sais, c'est un médecin allemand qui a découvert la puissance de l'effet placebo, parce qu'il était à court de morphine face à des amputés. Donc il a eu l'idée de leur injecter un produit non actif avec de très bon résultats. Il n'a pas dit lui à ses malades, désolé les gars, j'ai plus de morphine vous allez terriblement souffrir et qu'ils allaient tous mourir !

      Il y a comme un problème ! Cela se voit encore très bien ici, une baisse de 13% avec des hôpitaux saturés, dépassés, submergés ? Il faudrait savoir, soit ils n'étaient pas si saturés que ça, soit ils ont été plus efficaces que jamais. Je pencherais pour la première hypothèse,  c'est précisément là que ma belle fille (aide-soignante) était pour la première fois de sa vie en chômage technique, aussi, ça correspond bien au "reste chez toi et prends du Paracétamol, rappel dès que tu sens que tu es près à mourir".

      Ça correspond bien aussi au fait que tous malades d'autres causes n'ont pas été non plus se faire soigner. Il faut quand même se souvenir qu'un moment donné il était punissable d'aller voir son médecin ! C'était précisément à ce moment là.