Commentaire pour 'Contre la Covid, on dispose désormais d’un nombre extravagant de traitements qui marchent !'
  • le Pr Raoult, au printemps dernier :

    « Tout notre modèle scientifique et économique est basé sur le développement de nouvelles molécules. C’est une affaire financière et culturelle : l’idée qu’on va répondre à chaque fois avec une molécule extrêmement chère. » (BFM TV)

    « Si vous dites maintenant, alors qu’on dépense des centaines et des centaines de millions pour trouver des nouvelles molécules, qu’il suffit de recycler des molécules anciennes qui sont génériquées et qui ne coûtent rien, vous sciez toute une branche de la science qui s’est développée depuis 20 ans et donc vous avez les plus grandes difficultés à trouver des gens qui regardent cela avec un œil favorable ». (i24 News)

    C’est le modèle économique global de notre système de santé qui est en jeu : « Si, ce qui est possible, l’hydroxychloroquine est un médicament relativement général pour les infections virales respiratoires, cela veut dire qu’on avait quelque chose sous la main depuis 70 ans qu’on n’a pas testé. 

    Il est possible qu’il y en ait d’autres, de molécules aussi banales, qu’on n’a jamais testé, et qu’on n’a pas testé des molécules qui marchaient. » (i24 News)

    Si vous lisez Santé Corps Esprit, vous savez déjà que pour beaucoup de maladies, il existe des méthodes et traitements naturels qui marchent aussi bien, voire mieux que les médicaments.

    Leur seul « tort » est de ne pas avoir été testé dans des grandes études randomisées menées sur plus de 1 000 patients – parce que personne n’a intérêt à mettre de l’argent pour réaliser de telles études.

    Mais l’épidémie a conduit beaucoup de pays à mener des petites études sur des traitements de la Covid-19… et les résultats obtenus sont la preuve qu’on trouve des « petits miracles » quand on cherche dans les vieilles molécules, notamment naturelles.

    Problème : si cela vient à se savoir, ce sont les profits de Big Pharma, mais aussi des milliards d’euros donnés aux chercheurs chaque année qui pourraient être remis en cause.

    Car d’immenses progrès de la médecine sont à portée de main, en repositionnant des molécules anciennes.

    Exemple : saviez-vous que l’hydroxychloroquine est un anticancéreux très prometteur ?

    De même, l’ivermectine a probablement bien d’autres propriétés que son effet anti-parasitaire et anti-viral… une étude récente a montré son intérêt contre le cancer du sein!

    Et je ne parle pas de la vitamine D, qui remplace avantageusement le vaccin contre la grippe chez les seniors [35] (vaccin qui représente 2 milliards de chiffre d’affaires pour Sanofi chaque année)…

    … et dont une étude récente a montré qu’elle réduit de 17 % le risque de cancers mortels .

    Des myriades de molécules déjà connues, qui ne coûtent rien, pourraient faire progresser la médecine et les soins de façon spectaculaire.

    Mais cela signifierait la fin des méga-profits de Big Pharma.

    Alors on ne les teste pas. On refuse de les mentionner. On va jusqu’à censurer ceux qui en parlent.

    Ma dernière lettre sur l’ivermectine a été rapidement bloquée sur Facebook… et certains d’entre vous se sont même fait suspendre leur compte pendant 24 heures pour avoir osé la partager !

    Il faut ouvrir les yeux.