Commentaire pour 'Pourquoi y a t il encore des tabous en amour ?'
Commentaire pour Pourquoi y a t il encore des tabous en amour ?

  • Bonjour à toutes et tous,

    Mes propos n'engagent que moi.

    La différence d’âge soi-disant acceptable (qu'est-ce qui est acceptable ?), la taille de la (du) partenaire, la couleur de peau, la pilosité, la couleur et/ou la coupe de cheveux, les piercings, les tatouages, la sculpture du corps, la santé, … Ce sont des préférences, des choix strictement personnels !

    Un tabou en amour, c’est un sujet, un comportement ou une pratique qui est considéré comme interdit, délicat ou gênant à aborder ou à vivre dans une relation, souvent à cause de normes culturelles, religieuses, morales ou personnelles.

    Exemples de tabous : parler d’ex partenaires (comparaisons, souvenirs intimes, etc.) ; les fantasmes jugés « non acceptables » ; les préférences sexuelles non traditionnelles & LGBTQIA+ ; les relations à distance ou polyamoureuses ; les écarts d’âge soi-disant importants ; l'argent dans le couple ; les relations entre personnes de religions/cultures très différentes.

    Pourquoi est-ce tabou ? Parce que ces sujets remettent en question des valeurs ou des attentes traditionnelles, et peuvent susciter malaises, jugements ou conflits s’ils ne sont pas partagés ou compris dans le couple.

    Quand vous allez au restaurant et que votre partenaire commande un repas que vous n’appréciez absolument pas, vous n’en faites pas tout un plat… Alors, regardez dans votre assiette et dégustez ce que vous avez choisi selon vos critères… Les goûts changent avec le temps et les critères aussi😉

    Un critère pour une personne peut tout à fait être un tabou pour une autre. Où est la limite, l'acceptable ? C'est selon chacun.

    Au sens strict, les critères sont des œillères qui occultent notre vue et notre esprit. Il en faut, certes, mais trop de critères ferment des portes derrières lesquelles sont parfois cachées de très belles personnes et un réel bonheur. Ne dit-on pas que choisir c’est renoncer…

    Facilitons-nous la vie, un critère n’est pas une obligation ou une interdiction, c’est un souhait que nous pouvons adapter…

    En totale ouverture d’esprit et sans avoir pour autant « collectionné » les partenaires (je préfère la qualité à la quantité et le long terme aux relations éphémères), je peux affirmer avoir rencontré de très belles personnes d’origines sociales et ethniques différentes, plus jeunes et plus âgées, de religions différentes, de conditions physiques différentes (santé dégradée, chaise roulante, …), avec et sans tatouage, avec et sans piercing, refaites ou non, ….

    Mais j’ai aussi fait la connaissance de personnes qui ne me convenaient pas ou que je ne recommanderais pas (selon mes critères).

    Nous avons tous des critères bloquants et ils sont propres à chaque personne. Soit ils sont insupportables (frivolité, alcoolisme, drogue, violence physique et/ou verbale, …), soit ils sont incompatibles avec la sécurité de l’emploi ou ce sont des interdictions contractuelles et/ou légales.

    C'est dans le couple et dans ses prémisses qu'il faut mettre des limites. Mais pour cela, il faut dialoguer, oser en parler et savoir l'entendre...

    Qui cela dérange-t-il finalement ? Là est la question ! Principalement les personnes qui ne sont pas directement concernées ou impliquées, et les personnes qui ne savent pas ou n'osent pas en débattre.

    Celles que cela ne dérange pas, vivent sereinement leurs différences, nos tabous. Il faut arrêter de stigmatiser les différences.🤔

    • B

      Le problème, c'est qu'un couple, c'est bien plus qu'une affaire de goûts. Quelle est la principale fonction et raison d'être de tout être vivant ? C'est la reproduction, et pas de reproduction sans accouplement.

      Du plus élémentaire, comme le virus, la bactérie, au plus évolué, l'homme. Enfin du moins, sensé l'être.

      Et si ca n'était pas le cas, personne ne serait ici pour en parler, il y a belle lurette que toute forme de vie seraint éteinte.

      Penser que tout est une question de choix, de critères, le tout bien conscients, c'est ignorer la science et l'histoire. C'est ignorer le sens même de la vie.

      Ce pourquoi nous sommes attiré par une telle personne ou une autre est extrêmement complexe faits de choix, certes, mais la plupart inconscients, la encore notre cerveau nous enfume, bien aidé il faut bien le reconnaître, par l'idéologie gauchiste qui s'est emparé de tous les pouvoirs occidentaux, médias compris.

      Je ne sais d'ailleurs pas pourquoi on parle de tabous ici, on a jamais dans l'histoire autant promu les minorités insignifiantes. Ne me dites pas que vous n'êtes pas au courant que le président de la première puissance européenne est en couple avec une espèce de travelo de 24 ans plus age couple lui même entouré d'un tas d'homosexuels.

      Que je sache ce n'est même pas ça qu'on lui reproche.

      Les goûts changent avec le temps et les critères aussi😉

      • B

        Je me demande si il ne faudrait pas plutôt arrêter de faire croire qu'il y a des stigmatisations...

        Qui excele dans ce domaine d'apres toi ?

        Il faut arrêter de stigmatiser les différences.🤔

        • Malheureusement, la stigmatisation est bien réelle. Prétendre le contraire c’est se fourvoyer.

          La stigmatisation peut être pratiquée ou alimentée par divers acteurs sociaux, institutionnels ou médiatiques, souvent sans intention explicite de nuire, mais avec des conséquences bien réelles.

          Qui excelle en la matière ?

          1. Certains médias : En utilisant des raccourcis, des généralisations ou des titres sensationnalistes, ils peuvent renforcer des stéréotypes sur des groupes (ex. : immigrés, minorités, chômeurs…).
          2. Institutions ou lois inégalitaires : Certaines politiques publiques ou pratiques administratives peuvent stigmatiser indirectement (ex. : traitements discriminatoires selon l’origine, l’orientation sexuelle, ou la religion).
          3. L’opinion publique ou certains groupes sociaux : La stigmatisation peut venir de normes sociales rigides, d’ignorance ou de préjugés bien ancrés (ex. : envers les personnes handicapées, obèses, ou atteintes de maladies mentales).
          4. Réseaux sociaux :  Les plateformes peuvent devenir des amplificateurs de stigmatisation, à travers les commentaires, les mèmes ou le cyberharcèlement.

          • B

            Tu cites 4 points, bon d'accord. Mais pour bien comprendre, permets moi de te demander un cas concret pour chaque s'il te plait, genre que je pourrais vérifier, dans le sens visualiser.

            Et question subsidiaire, si tu permets, et si c'est un problème, comment faudrait-il y remédier ?

            • B

              PS: Pour le chômage c'est de la discrimination, mais ce n'est pas la même, c'est une discrimination sociale, qui là je suis d'accord, s'observe en permanence et de plus en plus gravement. => Le summum fut atteint lors de la pseudo pandémie du  Peut-on imaginer pire ? ... Oui, les , deux exemples, terribles, dont pourtant personne ne parle...

              • B

                1 mois plus tard @JeMaL , jattends toujours la réponse... Tu vois le problème quand on utilise l'IA, dans un forum c'est qu'il est très difficile de poursuivre une discussion.

                Mais c'est très intéressant. Ça montre bien deux choses, d'abord ses propres limites, mais surtout ça démontre bien ce que je disais. L'idée d'une soit-disant à grande échelle, tel que l'on veut nous le faire croire est une idée complètement artificielle. Et cette idée est bien promue par ceux qui maîtrisent l'information, ce que quelque part tu as parfaitement démontré en te laissant influencer sans te questionner.

                L'  c'est bien beau, mais il faut terriblement s'en méfier. C'est une manière extrêmement efficace de perfectionner la pensée unique afin de servir les intérêts de ceux qui les détiennent. Les médias en beaucoup plus efficace, donc particulièrement sur les sujets politiques.

                Ne jamais oublier d'avoir des doutes sur ce que l'on pense être juste, d'ailleurs les premiers qui ont oublié d'en avoir sont morts il y a plus ou moins 200.000 ans...