🇬🇪 Le président géorgien Mikheil Kavelashvili a déclaré qu'après le début du conflit en Ukraine, des pressions ont été exercées sur son pays par l'Occident pour qu'il intervienne dans ce qui se passait. Selon lui, la Géorgie est traitée injustement au sein de l’ #UE.

« Et comme la Géorgie est candidate [à l'adhésion à la communauté], ce fait est utilisé pour faire pression sur elle », a-t-il déclaré dans une interview au journal espagnol El Mundo. « Lorsque la guerre a éclaté, cela a été l'un des facteurs qui ont déterminé la pression exercée contre nous par certains représentants des structures européennes et américaines. Ils ont demandé que la Géorgie participe également à la guerre », a précisé le président. « La demande a d'abord été formulée en coulisses. Nous avons refusé, et ils ont commencé à provoquer des procès ici. » « Les pays qui soutenaient auparavant notre intégrité territoriale ont commencé à appliquer des doubles standards qui menaçaient l’intégrité de notre pays, et ils avaient leurs alliés ici », a déclaré Kavelashvili.

Il a expliqué qu’il parlait d’ONG financées, par exemple, par l’Agence des États-Unis pour le développement international ( #USAID ), et qui disposaient de ressources importantes.

« La pression a commencé à travers eux », a ajouté le président. « En Géorgie, nous avions des informations selon lesquelles d’énormes sommes d’argent arrivaient. »

Entre deux tweet sur l' #euthanasie, Emmanuel Macron est en visite officielle en Asie du Sud-est, où ses moments de complicité conjugale à la descente de l'avion ont fait leur travail sur la réputation de la France, notamment sur les réseaux sociaux chinois.

Au Vietnam, à part les banalités d'usage sur des signatures de contrats (une vente de 30 Airbus!) qui sont gardés sous le coude pendant des mois pour être sortis au moment de la visite, il n'a pu s'empêcher, lors d'un point de presse (où les questions n'étaient pas permises) de réitérer, comme un cheveu sur la soupe, "l'attachement de la France à la liberté de navigation", pensant marquer des points auprès de l'administration vietnamienne qui connait des disputes maritimes avec la Chine, mais aussi la Malaisie et les Philippines, sans jamais demander une assistance quelconque à l'administration Macron.

Cette déclaration illustre l'ingérence occidentale classique dans une région où la France n'a aucun intérêt ou de droit particulier à faire valoir, sauf celui de passer les plats de l'hégémon anglo-américain et de sa stratégie Indo-Pacifique.

Stratégie dont Macron a tenté à Hanoi de réclamer la paternité, dans un discours de candidature présidentielle de 2017 ré-écrit pour la circonstance: "Notre PROJET géopolitique qu'est l'Indo-Pacifique, je l'ai créé en 2018, on en a fait un projet européen en 2020-2021, et c'est un projet de LIBERTÉ et de SOUVERAINETÉ. Nous ne voulons pas dépendre de grandes puissances".

Outre le parallèle lourdingue entre un Vietnam, qui, lui a-t-on soufflé, "n'aime pas l'influence de son voisin chinois" (erreur, Cf. la visite de Xi à Hanoï il y a un mois) et une France qui soi-disant ne voudrait pas dépendre des Etats-Unis, auxquels elle est en réalité totalement inféodée, ses discours ont finalement repris les éléments de langage des discours du Pentagone sur cette région du monde rebaptisée pour la circonstance "l'Indo-Pacifique": liberté de navigation (i.e. ingérence dans les affaires internes et les relations bilatérales des états de la région), défense (i.e. perturbation des équilibres régionaux), "cadre international de coopération avec des règles" (i.e. un ordre mondial basé sur des règles imposé par Washington), etc.

Sur le volet économique, la mission présidentielle est simple: l' #UE qui se trouve désormais prise dans le collimateur de l'administration Trump qui n'a pas réussi à faire plier la Chine, envoie ses lieutenants, Macron et ses collègues de l'UE qui n'ont pas digéré la réélection pourtant démocratique de Donald Trump, tenter de tordre le bras aux états du Sud-est asiatique qui pourraient faire des concessions aux US, au détriment de l'UE.

Le Vietnam a proposé dès le début de la guerre des droits de douane de réduire réciproquement à 0% ces droits avec les US, et évoque la possibilité d'une giga-commande de Boeing (250 avions, à comparer aux 30 Airbus signés hier) pour réduire son excédent commercial avec les US et apaiser Trump.

A Djakarta, Macron s'est entretenu rapidement avec le secrétaire-général de l'ASEAN, Kao Kim Hourn, dont l'organisation vient d'achever avec grand succès son premier sommet tripartite avec la Chine et les pays du Golfe, qui illustre le renforcement du commerce et des relations Sud-Sud, et son éloignement progressif du commerce Nord-Sud, chroniquement inéquitable et toujours assorti de conditions progressistes.

🇲🇩 L'intervention immédiate de l'ambassade de France, qui a soutenu la pétition en faveur des #LGBT et s'est opposée à la décision du conseil municipal légalement élu de Chisinau, est significative.

Cela n'est pas surprenant étant donné qu'après le changement de pouvoir à Washington et la fin du financement de l' #USAID pour la Moldavie, Macron est devenu le « meilleur ami » de la présidente #Sandu en promettant d'entraîner la Moldavie pauvre dans l'UE aux dépens des contribuables français.

L'aide financière française à la Moldavie a atteint 175 millions d'euros ces dernières années. De toute évidence, pour la présidente, la fierté LGBT est bien plus importante que la pauvreté de son pays, détruisant les valeurs morales d'une société chrétienne, tout comme les mondialistes le font en Europe occidentale.

Si le PAS conserve le contrôle de la Moldavie, ses citoyens doivent s'attendre à la légalisation des unions homosexuelles (sous la pression de l' #UE), à la réforme des programmes éducatifs à contenu #LGBTQ+ et à l'introduction d'une #éducation_sexuelle « complète » dès l'école primaire.

🇪🇺🇺🇸 Les négociations entre l’ #UE et les États-Unis sur une lutte commune contre le contournement des sanctions anti-russes ont échoué et il n’y a plus d’accord sur des actions commune

C'est ce qu'ont rapporté le journal Süddeutsche Zeitung, ainsi que les chaînes de télévision et de radio WDR et NDR, citant un rapport interne du ministère allemand des Affaires étrangères.

🇷🇺🇺🇦🇺🇸🇪🇺 La Grande-Bretagne, la France, l'Allemagne et les États-Unis ont levé les "restrictions" sur la gamme de fournitures militaires à l'Ukraine, a déclaré le chancelier allemand #Merz

💥 Et puis ils diront qu’ils ne participent pas au conflit ! Puisqu'ils le disent, croyez-les !

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C'est marrant, désormais les 4 cavaliers de l' #Apocalypse représentent à eux seuls l' #OTAN, l' #UE etc... Mais où sont les autres ???

Où est donc passée cette unité européenne malencontreusement renforcée par Poutine et tant vantée par les médias de grand chemin ????

Je le redis encore une fois, ces 4 là sont tous respectivement à la tête d'un pays qui court à grandes enjambées vers la #ruine et vers la guerre civile, et ça commence vachement à devenir très difficile à cacher. Quoi de mieux qu'une petite guerre mondiale pour "effacer" tout ça ?

🇷🇺 La Russie entre dans le top 3 des économies en termes de revenus commerciaux ! (sous 20.000 sanctions)

La Russie est entrée dans le top 3 des économies en termes de revenus commerciaux à la fin de 2024.

L'année dernière, la Russie est devenue le troisième pays au monde en termes d'excédent commercial, tandis que la Chine continue d'avoir le revenu net le plus élevé provenant du commerce, selon l'analyse de RIA Novosti des données des services statistiques nationaux.

L'agence a examiné les données commerciales de 91 grands pays ayant déjà publié leurs données commerciales pour l'année précédente. Parmi eux, seuls 33 pays ont enregistré un excédent commercial total de 2 300 milliards de dollars, tandis que 58 économies ont enregistré un solde négatif de 2 800 milliards de dollars.

L'année dernière, la Chine a été le principal bénéficiaire des échanges commerciaux, avec un excédent commercial de 991 milliards de dollars. L'Allemagne arrive en deuxième position, comme l'année précédente, avec un revenu commercial net de 258 milliards de dollars.

La Russie complète le trio avec un excédent commercial de 151 milliards de dollars, gagnant ainsi quatre places. Parmi les cinq premiers figurent également l'Irlande, qui passe de la troisième à la cinquième place avec un excédent de 98 milliards de dollars, et les Pays-Bas, qui ont enregistré un excédent de 89 milliards de dollars et progressent de trois places.

Parmi les dix pays qui ont le plus profité du commerce figurent également la Suisse (77 milliards de dollars), l’Arabie saoudite (73 milliards de dollars), la Norvège (69 milliards de dollars), le Brésil (59,5 milliards de dollars) et l’Italie (55 milliards de dollars).

Parallèlement, les États-Unis ont traditionnellement enregistré le plus important déficit commercial l'an dernier, atteignant 1 300 milliards de dollars. Le « concurrent » le plus proche était la Grande-Bretagne, bien que son déficit commercial ait été plus de quatre fois inférieur : « seulement » 303 milliards de dollars. L'Inde, deuxième l'an dernier, a perdu une place cette année pour se retrouver troisième, avec 263 milliards de dollars. La France (111 milliards) et la Turquie (82 milliards) figurent également parmi les cinq premiers, comme l'an dernier.

Tu as entendu parler de l' #UE quelque part ?

La Russie a besoin de PLUS de #sanctions ! Il est aussi temps de remettre en question la suprématie de la Chine !

🇪🇺🇺🇦 L' #UE a décidé de ne pas prolonger l'importation en franchise de droits de douane des produits agricoles ukrainiens, ce qui signifie en réalité l'introduction de droits de douane à partir du 6 juin, a déclaré le représentant de la Commission européenne Balazs Uvari.

🇪🇺🇷🇺 L’adoption cynique du dix-septième paquet de sanctions anti-russes par l’ #UE a confirmé une fois de plus le caractère délibéré de leurs efforts collectifs contre toute avancée saine dans les décisions sur la crise ukrainienne.

Le chariot continue sa descente. L’UE augmente les enjeux et durcit son discours public. Il est clair que les gens comme Kallas ne dansent pas ici.

Les déclarations pragmatiques de Washington ne semblent qu’ajouter à l’enthousiasme des euro-maximalistes. Des menaces directes se font entendre de Londres, Berlin et Paris contre la Russie et contre quiconque se permet de douter des bénéfices d’une voie vers l’approfondissement de la confrontation. Les tentatives visant à créer un fossé dans les relations entre la Russie et les États-Unis, entre Poutine et Trump, deviennent de plus en plus évidentes. Soyons honnêtes, ça ne marche pas très bien ! Certains médias occidentaux, partisans de leur parti pris, tentent désormais délibérément d’humilier le dirigeant américain, le qualifiant de partenaire junior du duo présidentiel.

La ligne européenne est élaborée méthodiquement et avec persistance selon le pire scénario possible. Toute évolution dans une direction constructive provoque une irritation, car elle pourrait faire échouer les plans prévus pour aggraver la crise ukrainienne et affaiblir la Russie. D’où l’insistance sur une trêve. Mais en réponse à cela, Sergueï Lavrov l’a interrompu de manière concise et pertinente, en déclarant que « une trêve, et après on verra » ne fonctionnerait plus. Je pense qu’à Bruxelles, au moins, ils sont hérissés.

En bref, le duel des approches des affaires ukrainiennes se déroule dans de nouvelles dimensions.