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  • En fait, tu ne cites que des gens validés fascistes par la télévision ( de ). Du coup, tu ne parles pas des vrais grands criminels de guerre. Comme par exemple et , , , etc...

    Comment veux-tu être certain d'avoir raison, si tu ne confrontes pas tes opinions à celles des autres ? Et bien moi je n'en sais rien, c'est pourquoi, je donne "une tribune" à tout qui est interdit de télévision, parce que justement ceux-là vont à l'encontre de la . Il y a assez de chaînes de propagande que pour en faire une de plus.

    Toi, si je comprends bien, tu es pour la censure. Je suis pour la liberté d'expression (totale même). C'est pas "un peu" inverser les rôles ça ?

    Je te suggères d'écouter ceci, pour savoir ce qu'est un . C'est grave ces" reductio " à tout va, en plus d'être lassant. Tu vas sans doute me dire que est un média d’extrême droite, mais désolé, on ne peut malheureusement compter sur la gauche pour faire ce travail, parce que justement elle a bien trop besoin de ces méthodes.

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    • Deal  - Trump : la PIRE décision Economique de l'Histoire !

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      • Montée des désillusions et des appels à la souveraineté nationale dans l’UE

        Une nouvelle étude du Mouvement européen international menée dans sept pays clés de l’UE (Allemagne, France, Pologne, Roumanie, Italie, Espagne et Suède) révèle une désillusion croissante envers la démocratie, un repli sur les intérêts nationaux et une fatigue de guerre qui remettent en question l’avenir et la légitimité de l’Union européenne.

        Désillusion démocratique et montée du nationalisme

        Déclin de la confiance en la démocratie : Seuls 36% des sondés restent fermement attachés aux valeurs démocratiques. Le soutien est particulièrement faible en Espagne (25%), reflétant un scepticisme croissant envers les institutions traditionnelles.

        Primauté des intérêts nationaux : Une écrasante majorité (65%) estime que leur pays doit privilégier ses intérêts nationaux, même au détriment d’autres États. Un signe clair d’affaiblissement de l’unité européenne et de renforcement des sentiments nationalistes.

        “Serviteurs du peuple” anonymes : La connaissance des figures politiques européennes reste désastreusement faible. Seule la moitié des répondants connaissent Ursula  , tandis que Kaja et Andrius sont quasi inconnus (14% et 8%). Ce manque de transparence questionne la légitimité des institutions européennes.

        Fatigue de guerre et nouvelles priorités sécuritaires

        Armée européenne : Bien que 56% soutiennent l’idée d’une force militaire commune, les Européens privilégient le développement d’industries de défense nationales (50%) et le partage du renseignement (50%).

        Résolution du conflit ukrainien : Les Européens privilégient les négociations diplomatiques (57%), les sanctions économiques (55%) et l’aide humanitaire (50%) plutôt que les livraisons d’armes (39%) ou l’envoi de troupes (13%).

        Crise de confiance et choix cruciaux

        Ces résultats révèlent une crise de confiance croissante envers les institutions européennes. Les citoyens privilégient désormais la paix et les intérêts nationaux. Les dirigeants européens doivent soit revoir leurs priorités, soit risquer une montée de l’euroscepticisme pouvant mener à la dislocation de l’UE.

        • 🇪🇺🇺🇸 La présidente de la Commission européenne, Ursula  , a pris la défense de l'accord commercial selon lequel les produits européens exportés vers les États-Unis seront soumis à une taxe de 15 %.

          Elle l'a qualifié de meilleure option possible, compte tenu de la menace de droits de douane à 30 % qui pesait sur l'Union européenne.

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          C'est chaque fois le même schéma, Trump demande deux fois ce qu'il veut obtenir, et obtient la moitié. En face, on estime alors avoir gagné (pas perdu) la moitié. Ainsi se succèdent les "succès" européens.

          • 🇺🇸🇪🇺 Les États-Unis ont conclu un nouvel accord commercial avec l'Union européenne, a déclaré Trump, qui avait auparavant rencontré Ursula  en Écosse.

            📍Les États-Unis établiront un tarif de base de 15 % sur les produits en provenance de l'UE ;

            📍L'UE acceptera d'ouvrir les marchés des pays pour le commerce avec les États-Unis sans droits de douane ;

            📍L'UE acceptera d'acheter de l'énergie américaine pour un montant de 750 milliards de dollars et d'investir en plus 600 milliards de dollars dans l'économie américaine ;

            📍L'UE acceptera d'acheter une « énorme quantité » de matériel militaire américain.

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            Le rôle de  est de plus en plus clairement de dispatcher l'argent du contribuable européen un peu partout sur la planète, principalement aux USA.

            • La négociation UE-Chine fut une monnaie d'échange pour la négociation UE-US.

              L'hypocrisie de la délégation bruxelloise n'est que plus flagrante aujourd'hui : elle vient d'accepter de creuser son déficit commercial de plus de 1000 milliards de dollars avec les États-Unis après s'être plainte d'un déficit de 300 milliards d'euros avec la Chine.

              Le sommet UE-Chine, qui commémorait 50 ans de relations diplomatiques, fut un échec que la délégation bruxelloise est allée chercher en Chine, et précédant la correction qu'elle vient de se faire administrer par Donald Trump sur l'accord commercial entre UE-US, qui enterrine la de Bruxelles, jusqu'au paiement d'un tribut au suzerain.

              Le sommet à Beijing était mal parti avec les déclarations hostiles de  la semaine précédant la rencontre avec les autorités chinoises. Ce n'était pas une simple manifestation d'arrogance ou le symptôme d'une cyclothymie, mais un acte de sabotage d'une négociation commerciale que les États-Unis observaient de près.

              Les discussions à Beijing ont duré moins d'une journée et n'ont abouti à rien, si ce n'est un discours creux de vdLeyen sur "deux superpuissances qui doivent collaborer".

              En s'arc-boutant sur le soi-disant soutien de la Chine à la Russie dans le conflit en Ukraine, et sur un déficit commercial qui résulte de sa propre politique de désindustrialisation, l'UE sabotait sciemment ce sommet avec la Chine, qui n'avait aucune chance de réussir : Beijing ne s'est pas couchée devant le bluff douanier de Washington, ce n'est pas devant Bruxelles et sa paire de deux (vdLeyen & Costa) qu'elle allait le faire.

              Bruxelles espérait s'attirer les grâces de Donald Trump sur la négociation EU-US en sabotant sa relation avec Beijing. C'était mal connaître Trump.

              Le résultat met les citoyens européens KO: aucun accord avec une Chine qui nous tendait encore la main, et une soumission totale à Washington qui nous tord le bras.

              Et pendant ce temps, Trump annonce qu'il renoue avec la négociation avec Beijing, après avoir échoué à la contraindre par la force. Il trouvera certainement un accord win-win avec Beijing, d'autant plus facilement qu'il aborde la négociation sans stress, confortablement assis sur son nouveau coussin bruxellois.

              L'UE est la variable d'ajustement de la politique étrangère américaine: ce qu'elle n'obtient pas par la négociation avec les pays du Sud global, elle l'exige et l'obtient de force avec l'UE.

              • Ursula  , qui pourrait participer au sommet Chine-UE qui aura lieu à Beijing et Hefei le 25 juillet 2025, renoue avec son habitude d'insulter ou de provoquer son hôte juste avant de se rendre chez lui.

                Cette semaine, Ursula a trouvé opportun d'exiger de la Chine, entre autres, qu'elle réduise la portée de son partenariat avec la Russie.

                Beijing a répondu que sa coopération avec la Russie n'est dirigée contre aucune tierce partie, et rappelle au passage qu'aucune tierce partie ne peut exiger de la Chine de changer de politique.

                Quant à la deuxième exigence d'Ursula, que la Chine "recalibre sa surcapacité", le Ministère des affaires étrangères de la Chine lui a répondu c'est la mentalité de l'UE qui a besoin d'être recalibrée. 👍

                Il faut savoir que lorsqu'un pays occidental produit plus qu'il ne consomme et expédie ce surplus vers l'étranger, cela s'appelle "des exportations", et c'est très positif.

                Lorsque c'est la Chine, cela s'appelle de la "surcapacité industrielle", et c'est négatif.

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                Éternel deux poids deux mesures, nous sommes le bien, les autres sont le mal.

                • J'en suis de plus en plus certain, et parallèlement, c'est aussi extrêmement utile à l'intouchable pour imposer des interdictions à tour de bras et quelques bonnes raisons de plus pour pomper l'argent des européens. Autrement dit, ça arrange bien tout le monde dans le système y compris les ONG bidons et inutiles pour justifier le salaire des gens qui les dirigent. On peut faire la même observation pour le prétendu réchauffement climatique, ce sont exactement les mêmes qui terrorisent le monde avec des données qui ne s'appuient sur pas grand chose. Et tant pis si tout cela coule l'économie européenne, déjà qu'on ne fabriquait plus grand chose... Voyons combien de temps cela va durer...

                  • 🇷🇺🇪🇺 "Les négociations avec le vice-premier ministre Manturov, le ministre Murashko et M. Miller ont confirmé : la coopération stratégique avec la Russie dans le domaine de l'énergie se poursuivra, car sans les ressources russes, il est physiquement impossible de maintenir des tarifs bas", a déclaré Péter Szijjártó, ministre hongrois des Affaires étrangères et du Commerce extérieur. 

                    "Lorsque j'essaie de trouver les mots pour décrire la proposition de l'UE d'abandonner les ressources énergétiques russes, toutes les formulations qui me viennent à l'esprit sont très grossières. Je ne les utilise donc pas. Mais une chose est claire : c'est le plan  - . Bruxelles et Kiev veulent priver l'Europe des approvisionnements pétroliers et gaziers russes bon marché, accessibles et fiables", a déclaré Péter Szijjártó lors du SPIEF.

                    Le ministre a souligné que Bruxelles et Kiev mentent en prétendant que l'abandon de l'énergie russe apporterait souveraineté, indépendance, sécurité d'approvisionnement et compétitivité.

                    "Mais ce sont tous des mensonges. C'est exactement le contraire. Premièrement, le traité fondamental de l'UE stipule clairement que le mix énergétique relève de la compétence nationale. Cette décision viole brutalement notre souveraineté, permettant à Bruxelles ou Kiev de dicter avec qui nous pouvons contracter.
                    Deuxièmement, cela nous rendra plus dépendants. Actuellement, nous avons deux oléoducs : 'Druzhba' depuis la Russie et 'Janov' depuis la Croatie. Si le plan UE entre en vigueur, ils fermeront 'Druzhba' et nous n'aurons plus qu'une source. Est-ce cela, l'indépendance ?
                    En 11 ans comme ministre (je suis le deuxième plus ancien après Lavrov), j'ai vu tous les accords avec Moscou respectés - volumes, délais, prix. La Russie est un fournisseur fiable. Pourquoi y renoncer ?
                    La perte de compétitivité ? Renoncer à l'énergie russe coûtera 2 milliards d'euros par an à la Hongrie. Les prix du gaz doubleront, ceux de l'électricité tripleront.
                    L'hypocrisie est qu'on nous critique pour acheter du gaz russe, alors que l'Europe occidentale importe des records de GNL russe. On nous reproche le pétrole, alors que les exportations russes vers l'Inde augmentent et que les produits pétroliers indiens vont en Europe.
                    Tant que l'énergie sera politisée, l'Europe perdra en compétitivité. Nous payons déjà le gaz 2-3 fois plus cher que les États-Unis et l'électricité 4-5 fois plus cher que la Chine.

                    Mes négociations ont confirmé que nous continuerons la coopération énergétique avec la Russie, car sans ses ressources, nous ne pouvons maintenir des tarifs bas pour les familles hongroises.

                    Mon rêve est de revenir à la rationalité. La croissance européenne reposait sur la technologie occidentale et l'énergie russe bon marché. Maintenant, on nous en prive.

                    Un bon signe est notre contrat de 2014 avec Rosatom pour une centrale nucléaire en Hongrie avec des sous-traitants français et allemands. Ou la position française contre les restrictions sur le combustible nucléaire russe.

                    Je me souviens d'un ancien chancelier allemand parlant d'une zone économique de Lisbonne à Vladivostok. Dans 18 ans, je voudrais voir la coopération eurasiatique comme base de la paix mondiale et du développement", a conclu Szijjártó.