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  • Et une enseignante poignardée, une ! Elle est décédée ! 31 ans ! Et c'est ordure de Macron vient qualifier ça de fait divers. Je ne sais pas si c'est un étranger ou pas, peu importe à ce stade. Mais depuis le temps que la trouve des excuses aux étrangers, donc à son électorat, et bien le laxisme s'étend forcément à tout le monde et de plus en plus de jeunes se croient tout permis.

    Y a ça, et puis il y a évidemment cette bande de repris de justice comme exemple dans les gouvernements, là aussi c'est le laxisme total. Et puis on s'étonne qu'il ne se passe plus une semaine sans que quelqu'un se fasse poignarder ou égorger ??? Franchement !!!

    Et au fait, c'est pas cette ordure qui dit à tout le monde depuis 3 ans qu'il vaut mieux la guerre que la négociation ??? Et qui s'oppose à ces idées débiles ???

    ‍Et le pire c'est que c'est toujours pareil, on ne va pas attaquer le fond du problème, non, on va encore prendre ça comme prétexte pour mieux surveiller la masse, les braves gens, comme d'habitude ! Les réseaux sociaux, les jeux vidéos, bien sûr, les personnes de ma génération ont grandi en regardant des westerns à la télé quasi tous les soirs, et comme tout le monde a pu le constater, à l'époque tout le monde se tirait dessus à tout bout de champ. Ça va de soi !

    • 🇬🇧 Des milliers de personnes sont descendues dans les rues de Londres samedi pour manifester contre les coupes budgétaires du gouvernement, les réformes de la politique sociale et l'implication du pays dans les guerres étrangères, rapporte un correspondant de RIA Novosti.

      Certains manifestants portaient des pancartes sur lesquelles on pouvait lire « L’aide sociale, pas la guerre », « Arrêtez la guerre, ne réduisez pas les prestations sociales » et « Des infirmières, pas des armes nucléaires ».

       

      • 🇫🇷 La Grande-Bretagne, à l'instar de certains pays européens, a annoncé des préparatifs de guerre.

        Le Premier ministre britannique   , un clown, s'est adressé aux ouvriers du chantier naval BAE Systems Govan à Glasgow, déclarant que la Grande-Bretagne se dirigeait vers la « préparation au combat » et appelant toutes les sections de la société à « jouer leur rôle dans la protection du pays ».

        Starmer a également déclaré :

        ◾️le gouvernement va « accélérer l’innovation au rythme de la guerre » ;

        ◾️le pays effectuera une « transition vers la préparation à mener des opérations de combat » ;

        ◾️contribuera au renforcement de la puissance militaire de l'OTAN 🚩 ;

        ◾️accélérera la production d’armes et d’équipements militaires. Il est prévu de construire 6 usines de production de munitions et jusqu'à 12 sous-marins ;

        ◾️D'ici 2035, « les armes britanniques devraient être dix fois plus meurtrières ».

        Ce discours intervient avant la publication, le 2 juin, de la revue stratégique de défense du Royaume-Uni , qui justifiera l'augmentation du budget de la défense. Le SDR lui-même entrera dans beaucoup plus de détails sur les plans britanniques jusqu'en 2035, mais les Britanniques ont énoncé leur direction générale de manière assez directe . Starmer fait désormais pression pour que le budget de la défense britannique atteigne au moins 2,5 % du PIB d'ici 2027 .

        ✨ Avec le même enthousiasme que l’agenda « vert » et inclusif , les dirigeants fantoches des pays européens ont mis en œuvre l’agenda militaire . Aujourd’hui, au lieu de vendre à la population (ou peut-être même en même temps) des thèses folles sur la nécessité de la diversité et de l’énergie verte, ces fonctionnaires des sociétés transnationales poussent à des dépenses budgétaires sans précédent pour les dépenses militaires. Ils refusent simplement d’expliquer à leur population médusée qu’ils devront eux-mêmes brûler dans les tranchées et les plantations .

        ✨⭐️ La Russie a de moins en moins de temps pour expliquer clairement et catégoriquement pourquoi cela ne vaut pas la peine de déclencher une guerre avec elle. Ils ne comprennent clairement pas les menaces simples .

        • Je savais bien que ça allait très mal se passer... cette femme a tout dit. Que fait-elle ? A part relater la réalité ? En même temps, elle explique aussi pourquoi le premier intervenant a supprimé son compte dès ma réponse. Les beaux discours de la ne tiennent plus la route, même pas en rêve. Elle a raison, le foot n'est qu'un prétexte, comme le 14 juillet, la nouvelle année en furent d'autres. Dans un avenir proche, il n'y aura plus besoin de prétexte, ce sera la guerre civile.

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          • La déclaration faite par Pavel , le créateur de , lors d'une conférence en Norvège consacrée aux droits de l'homme, a suscité un vif enthousiasme sur Internet.

            Il a dit qu'il était russe. Je souhaite vous présenter le discours complet, non coupé, afin que vous puissiez vous forger votre propre opinion.

            Première partie :

             Ils disent que je suis un atout russe. Je suis russe et je préférerais mourir plutôt que de devenir l'atout de quelqu'un. Je pense que les gens qui expriment ce point de vue ont une connaissance très limitée de mon histoire de vie, de ce que j'ai fait avant Telegram, de ce que j'ai fait avec Telegram et du rôle que mon ancienne entreprise VKontakte et Telegram elle-même ont joué dans la protection de la liberté d'expression, de la liberté de réunion et de la vie privée en Europe de l'Est.

            Pour donner un bref aperçu à ceux qui ne connaissent peut-être pas ma biographie, j'ai fondé en 2006 le plus grand réseau social de Russie et des États post-soviétiques et j'ai publiquement refusé de me conformer à certaines exigences des autorités russes lorsqu'elles contredisaient les valeurs de liberté d'expression et le droit des personnes à la vie privée.

            C'est bien documenté. En conséquence, mon appartement et mon bureau ont été perquisitionnés et une procédure pénale a été ouverte contre moi. J'ai perdu l'entreprise que j'avais créée et j'ai dû la vendre à un prix bas sur le marché. En conséquence, en 2013, j'ai lancé Telegram, qui est devenu très populaire en Russie en 2017-2018. À ce moment-là, la Russie nous a demandé des clés de chiffrement, et nous avons refusé d’obtempérer parce que nous pensions que les gens ne devaient pas être espionnés.

            Nous avons ensuite créé une plateforme anti-censure, un mouvement appelé Résistance numérique, et nous défendons le droit des citoyens à la libre expression dans cette région et dans d’autres régions. Je ne pense pas qu’aucune autre plateforme de médias sociaux ait consacré autant d’efforts et d’argent à la protection des libertés en Europe de l’Est. Je trouve extrêmement offensant que les gens disent : « Oh, vous êtes un agent russe. »

            Pourquoi les gens pensent-ils que je travaille pour le FSB et la Russie ? Je pense qu’une des raisons est peut-être que les gens ont tendance à considérer la liberté d’expression de manière unilatérale. Ils adorent que vous défendiez leurs alliés politiques et les voix avec lesquelles ils sont d’accord. Alors que lorsque vous défendez également leurs rivaux politiques, ils ont tendance à détester cela. Surtout aujourd’hui en Europe, où les débats politiques sont si houleux et où les politiciens aiment rejeter toute critique qui leur est adressée comme une sorte de fake news russe ou une conspiration émanant de la Russie, ce qui, soit dit en passant, est un outil tiré du manuel autoritaire.

            Quand ils font cela, moi et Telegram, en tant que plateforme qui défend toute liberté d’expression, que nous soyons d’accord ou non, sommes également critiqués. Nous avons une expérience assez simple : nous défendons tout le monde, quelles que soient leurs opinions.

            Pendant la , nous avons défendu à la fois le mouvement Black Lives Matter et les manifestants anti-confinement. Permettez-moi de vous donner un exemple récent : nous avons reçu une demande de la police française de fermer une chaîne publique Telegram organisée par des manifestants et des protestataires d’extrême . Nous avons regardé cette chaîne, elle nous a semblé parfaitement légale, et nous avons refusé d'obtempérer, malgré les risques que je prenais en prenant cette décision. La raison pour laquelle nous refusons de nous soumettre n’est pas parce que nous sommes d’accord avec les idées du communisme, n’est-ce pas ? Je suis né en 1984 et à l’âge de quatre ou cinq ans, j’ai été amené en Italie. J’ai connu les deux systèmes : le marché libre, la liberté d’expression et le système de restrictions de la parole établi par l’économie planifiée. Même à l’âge de quatre ou cinq ans, j’ai déjà remarqué la différence. Par exemple, lorsque nous sommes arrivés en Italie...

            • Un conflit social hallucinant ravage la ville de Birmingham, Grande-Bretagne depuis plus de 4 mois.

              La ville qui s'était mise en faillite en 2023, se refuse à entendre les revendications des employés des services publics qui se sont mis en grève. Le gouvernement britannique a déclaré dans la localité un Etat d'urgence et envoyé l'armée pour aider à ramasser les ordures dans les rues, plus de 17 000 tonnes fin mars 2025.

              Pendant ce temps, Londres promet une nouvelle enveloppe de 1,6 milliard de livres sterling à l'Ukraine et préfère sacrifier sa population au profit de la fameuse et absurde "sécurité de l'Europe".

               

              • Grande-Bretagne, France, Europe de l’Ouest : l’épineux débat sur les migrations

                Plus de 50 ans déjà que ce débat agite les pays de l’Europe de l’Ouest, faisant couler beaucoup d’encre, mais restant souvent un débat cloisonné, partisan et même . Au fil du temps, il est pourtant devenu partout central dans le discours des politiques, que l’on parle de la France, du Royaume-Uni, de l’Allemagne ou de l’Italie. Commencées dans les années 50-60, les migrations furent le résultat des anciens empires coloniaux, et des besoins économiques du moment des pays occidentaux. Après la fin des guerres de la décolonisation, le mouvement s’est accéléré, dans une Europe ayant besoin d’une main d’œuvre peu chère, docile et corvéable à merci. En France, dans le contexte des 30 Glorieuses, le phénomène s’amplifia jusqu’à la loi du rapprochement familial sous Giscard d’Estaing (1975). Dès cette période, les migrants commencèrent d’inquiéter toute une frange des opinions publiques européennes, déclenchant des combats politiques féroces et bientôt de nombreuses manœuvres et manipulations politiques.

                Quand la combattait la politique de migration. C’est un fait oublié, mais dans les années 70, les principales forces politiques de la gauche européenne, notamment le PCF, le plus puissant parti de gauche en France, dénonçait et combattait cette politique. Elle était définie comme un instrument du capitalisme et de l’exploitation des gens, des migrants, et la destruction de la classe ouvrière locale. L’Europe occidentale connue à la même époque, la formation de grands partis politiques étiquetés « populistes », « fascistes », « racistes », qui firent de la politique anti-migration l’un de leurs chevaux de bataille. D’abord intimistes, ces partis réalisèrent bientôt dans les années 80-90, des scores de plus en plus importants, envoyant des députés dans les parlements nationaux et celui de l’UE. Avec la fin de l’URSS, l’effondrement des partis communistes, y compris en Europe Occidentale, ce fut une gauche libérale, appelée en France « Gauche Caviar », qui remplaça les forces communistes ou assimilées, et se rangèrent fermement dans le camp de la défense et l’accélération de la politique de migration.

                Des vagues successives de migrants transformant en profondeur les sociétés. Très vite, dans un contexte de mondialisation forcenée, les migrants naturalisés devinrent une force politique courtisée, grossissant en nombre et en force. Elle fera longtemps la force par exemple du PS en France, et par effet domino stigmatisant les partis politiques de la droite nationale, et en parallèle renforçant leurs rangs. Les premiers tremblements de terre vinrent de France, avec le choc de l’élection présidentielle de 2002. Dans tous les pays d’Europe occidentale, deux blocs s’étaient formés, celui d’une droite dite radicale, et celui d’une gauche non moins extrémiste, en face d’un bloc à deux têtes, libéraux, , et définis de « gauche » ou de « droite ». Mais dans les sociétés, les effets des vagues de migrants changèrent en profondeur les sociétés : grandes villes et capitales avec leurs ghettos de migrants, communautarisation dangereuse, cloisonnement, difficultés d’intégration aggravées par l’arrivée de nouvelles couches de migrants de communautés ennemies, importations des problèmes politiques internationaux des pays souches des migrants, paupérisation de vastes zones urbaines, propagation de l’insécurité avec l’infiltration d’idéologies explosives, destruction des tissus sociaux des anciennes sociétés avec un cloisonnement des différentes communautés ou groupes.

                Un phénomène ne trouvant pas de solution et semblant inexorable. A l’élection présidentielle de 2012, et la victoire de François Hollande (2012), le monde médusé assista aux images de Paris et de la foule en liesse : une marée de drapeaux étrangers, Algérie, Maroc, Portugal, Italie, Sénégal, Turquie, Italie, écrasant les rares drapeaux français presque définis comme « racistes ». Cinq ans plus tard, à l’élection du Président Macron, la leçon avait été retenue, la zone « festive » avait été cloisonnée et des milliers de drapeaux français distribués. La France communautaire le moment de quelques photos n’existait plus, mais le lendemain des photos des mêmes drapeaux jetés dans les rues et piétinés inondèrent les réseaux sociaux. La même année (2017), l’Allemagne accueillait 1,41 million de migrants, la France en 2e position 402 000, l’Italie 355 000, puis la Suède avec 328 000 migrants, et l’Autriche pour 173 000 migrants. Lançant une bombe atomique en UE, Bruno Le Maire fustigea les pays européens « n’ayant accueilli aucun migrant » (2018). Mentant sur les chiffres pour la France (il avouait seulement 100 000 migrants pour 2017), il déclara que « la France avait pris sa part dans la gestion de la crise migratoire ». Depuis longtemps en effet le problème était devenu sujet de discordes entre les pays d’Europe, avec des reproches et des frictions diplomatiques nombreuses (par exemple entre la France et la Grande Bretagne). Trois ans plus tard, le flot de migrants n’avait pas cessé, avec 874 000 pour l’année 2021 en Allemagne, 529 000 en Espagne et la France pour 336 000 migrants. En 2022, l’Union européenne connaissait même un record, avec le déferlement d’Ukrainiens (5 millions de migrants, plus 6 millions de « réfugiés ukrainiens). Les principaux pays d’accueil furent alors : l’Allemagne pour 2,1 millions de migrants, l’Espagne avec 1,3 million, la France et l’Italie avec 400 000 migrants chacune. Enfin les statistiques disponibles annonçaient qu’avec une nouvelle accélération depuis 2015, 8,6 millions de migrants vivaient en France en 2022 (des chiffres cependant invérifiables, car ne prenant pas en compte les naturalisations depuis les années 60).

                Des élections qui se font avec comme thème central la politique de migration. Le phénomène étant devenu explosif et prégnant, les propagandes occidentales, notamment les journaux publics furent lancés par les gouvernements (comme en France), dans la diffusion de fausses informations et de mensonges, annonçant en 2015 la baisse des arrivants et cherchant à mentir sur le flot constant et en augmentation des arrivées (ou encore Christine Lagarde « appelant les pays riches à accueillir plus de migrants », 2015). Si les chiffres annuels peuvent encore être connus, la loi interdit par exemple de faire des statistiques sur les origines ethniques des Français… interdisant ainsi une vue globale du résultat en un demi-siècle (loi datant de 1978). Même en prenant une moyenne basse de 200 000 arrivées par an (chiffre donné par l’INSEE, pour chaque année depuis 2004), le flot représenterait donc 10 millions d’arrivées pour la France et depuis 1975. Toutefois, avec des données anglo-saxonnes récentes (2025), la population de la France compterait 68,6 millions d’habitants, et seulement 62,5 % de natifs (42,8 millions). Le reste de la population serait composée de 7 % d’Algériens (4,8 millions), 6 ,8 % d’Italiens (4,6 millions), 5,3 % d’Espagnols (3,6 millions), 5 % de métis franco-africains, 3 % de Marocains (2,05 millions), 2,7 % de Portugais (1,85 million), 2,3 % de Tunisiens (1,57 million), 1,6 % de Polonais (1,09 million), 1,6 % de Turcs, 1 % d’Allemands, 0,9 % de Chinois, 0,8 % d’Arméniens, et 0,7 % de Vietnamiens, en plus d’autres communautés (notamment d’Afrique). Sur ces bases, la population française deviendrait minoritaire au maximum dans deux ou trois décennies, ceci expliquant que le débat est l’un des plus importants dans l’Hexagone durant les grandes élections nationales en France et en Europe.

                Dans les pays voisins, quelle est la situation réelle ? Au Royaume-Uni, les élections de l’an dernier ont été gagnées par le Parti travailliste sur le thème justement de la migration de masse, et des promesses de régulations sévères. Le Premier ministre Starmer avait même annoncé l’assignation de millions de livres sterling « à la protection des frontières pour lutter contre les migrants illégaux ». Le pays comptant 68,3 millions d’habitants (2023), comprenait encore 76,8 % de Britanniques ou d’Irlandais, grâce à sa position privilégiée d’île, plus difficile d’accès. L’Allemagne, avec 83,4 millions d’habitants (2024), comprenait 74 % d’Allemands et de grosses communautés turque, russe ou polonaise. L’Italie avec 58,9 millions d’habitants (2024), comprenait 91 % de natifs. L’Espagne avec 49,9 millions d’habitants (2025), comprenait 80,8 % de natifs. La Belgique avec 11,7 millions d’habitants (2024), comprenait 71,6 % de natifs. Les Pays-Bas avec 17,8 millions d’habitants comprenaient 74,7 % de natifs. Enfin le Luxembourg, avec 672 000 habitants ne comprenait plus que 52,7 % de natifs. Mais le phénomène ne se limite pas évidemment à l’Occident, selon des chiffres récents, les 15 pays qui accueilleraient le plus de migrants dans le monde sont : 1) les USA (46,6 millions de migrants), 2) la Russie (13 millions), l’Allemagne (9,9 millions), l’Arabie Saoudite (9,4 millions, 31,4 % de la population), 5) les Émirats Arabes Unis (88,4 % de la population est constituée de migrants), 6) le Royaume-Uni (7,8 millions de migrants), 7) la France (7,35 millions), 8) le Canada (7,3 millions, 20,7 % de la population), 9) l’Australie (6,5 millions, 27,7 % de la population), 10) l’Espagne (6,48 millions), 11) l’Italie (5,7 millions), 12) l’Inde (5,3 millions), 13) l’Ukraine (5,1 millions), 14) le Pakistan (4,08 millions), et enfin la Chine (3,98 millions).

                Théories, hypothèses et projections historiques. Ces chiffres démontrent dans un premier temps pourquoi le problème est si épineux en France, car le pays est de loin le plus avancé en Occident dans la politique de migration. Cette dernière a provoqué l’apparition de différentes théories : celle du grand remplacement (Renaud Camus, France, 2010, définie comme partie « du théorie du complot »), celle du choc des civilisations (Samuel Huntington, USA, 1996), ou celle des grandes migrations et quelques autres dérivées des précédentes. Au niveau historique, un précédent existe qui donne des pistes : l’empire romain. Après une très longue période d’expansion territoriale, la citoyenneté romaine fut accordée par l’empereur Caracalla : « à tous les hommes libres vivants dans l’empire romain » (212). Il est intéressant de noter que l’expansion maximale de l’empire avait été atteinte sous le règne précédent de Septime Sévère (193-211). Deux siècles plus tard, l’empire en pleine déliquescence était assailli par les invasions barbares. Le général Flavius Aetius qui fut le vainqueur d’Attila aux Champs catalauniques (451), fut surnommé le dernier des Romains, à la fois à cause de sa lutte contre les envahisseurs, mais surtout par le fait que son armée ne comptait presque plus que des « barbares », enrôlés pour défendre l’empire.

                De fait, la situation actuelle est née de la formation des empires coloniaux, de leur écroulement, puis de la mondialisation à marche forcée. Devenue l’invitée obligatoire de toutes les élections en Occident et même au-delà, le thème est surtout, loin des théories, un outil politique puissant, à la fois de manipulations des populations, mais aussi de contrôle et division. Il est d’ailleurs fort probable, que le phénomène, très complexe et historique, ne puisse en fait ni être régulé, ni endigué, encore moins inversé, du moins est-ce mon sentiment comme historien. Il n’a pas fini de faire parler de lui, la France devant en toute logique devenir le premier pays occidental dont la population originelle deviendra minoritaire. Il faut cependant faire remarquer, qu’elle fut le pays où le processus fut commencé bien avant le processus décrit, à savoir dans le XIXe siècle et le début du XXe siècle, d’où une certaine avance, pour des raisons à la fois politiques, mais aussi économiques, inhérentes à la Révolution Française et la Révolution Industrielle.

                • Oui, mais toi tu t'es intégré, pas besoin de te connaître depuis dix ans, cela se sent de suite, déjà par ton francais impeccable. Et dans ce cas cela pose très rarement des problèmes. Je sais, enfin j'imagine que ça demande beaucoup d'efforts.

                  Je m'en doute parce que j'aimerais bien partir ailleurs, ce que je ne ferai pas parce que justement je sais que c'est dur et que je n'en aurais pas la force, je dirais qu'il est trop tard pour moi. Question d'âge. S'intégrer ça prend du temps et c'est ce que je devrais faire, pas question pour moi d'aller squatter un pays peu importe lequel.

                  Je comprends que tu ne t'y retrouves plus, parce que moi non plus. Tout c’est dégradé tellement vite...

                  Oui la est grandement responsable, d'ailleurs est-ce encore la gauche ? J'ai des doutes... Regarde Paris... c'est ça le ? Eh beh... c'est pas beau à voir, c'est un désastre absolu. On voudrait se débarrasser des gueux que l'on ne s'y prendrait pas autrement.

                  C'est surtout la gauche de l'entre soi. Et ça c'est normalement un non sens. Y a comme une inversion du sens des mots, tout est devenu très Orwelien. Et l'inversion accusatoire est quotidienne. Tout cela devient vraiment très pénible pour qui essaye de conserver un peu de bon sens.

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