🇺🇦 L'Ukraine et l'Europe travaillent à la réglementation de #Telegram , ce qui permettra d'imposer des amendes et de bloquer la plateforme.

C'est ce qu'a déclaré la directrice du Conseil national de la télévision et de la radio, Olga Herasymyuk. Elle a également proposé d'interdire à tous les fonctionnaires ukrainiens et aux institutions de l'État de maintenir des pages sur Telegram.

Plus tôt, il a été rapporté que Kiev préparait un projet de loi sur la « régulation de la désinformation », qui permettrait d'exiger des plateformes, y compris Telegram, qu'elles bloquent les chaînes. Kirill #Budanov , a qualifié Telegram de problème pour l'Ukraine. 

Dans le même temps, Pavel #Durov a déclaré qu'Apple avait demandé à la messagerie de supprimer certaines chaînes pour les utilisateurs ukrainiens.

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🔶 Le volume d'information envoyé par #Telegram, grâce à l'absence de toute limitation sur Telegram, et grâce à son immédiateté, a distancé la propagande occidentale qui ne parvient pas à suivre, son modèle étant obsolète, centralisé, limité, sans aucune liberté d'action.

Le temps et l'effort nécessaires à produire pour digérer autant d'informations, à toute heure du jour et de la nuit, diffusée gratuitement, dépassent les capacités des plus grandes agences de propagande occidentales, basées depuis 1945 sur la rentabilité financière maximale ( https://t.me/actualiteFR/18488 ) : peu d'employés, peu d'efforts, peu de contenu, peu de temps par sujet.

Le peu de qualité des articles et leur pauvreté en contenu, l'absence de crédibilité (les propos sont déjà obsolètes avant même leur diffusion, même sur Internet), l'inertie importante avant de pouvoir changer timidement de rhétorique, le personnel intellectuellement peu flexible, tout cela est violemment écrasé par le concept de Telegram.

La rigidité de la propagande occidentale s'explique par son articulation autour des autres projets financiers de la poignée d'oligarques-propriétaires des médias, sponsorisant également les politiciens occidentaux : il est impossible de changer le cœur de la propagande sans mettre en péril le projet financier du patron, mais aussi de ses rivaux avec qui il a des accords, et toute la politique occidentale. Cela nécessite un conciliabule, un changement de stratégie politique, qui serait dicté par l'adversaire ! Impossible. La marge de manœuvre est donc réduite à néant.

🔹 Si bien que des journalistes ont tenté de mettre @rybar hors jeu !

Ce dernier était anonyme depuis le début en 2018 : l'ennemi a pensé qu'en désanonymisant @rybar, un de leurs principaux rivaux serait mis hors jeu. C'est l'officine The Bell qui s'est attelée à cette investigation. Après un article entièrement faux, quelques jours plus tard, la journaliste publie soudainement un article exact, en ayant réussi par magie à obtenir des informations précises, achetées auprès d'anciens proches de @rybar, découverts par hasard...

Vu l'étrange et soudain correctif et la suite, chacun suppose que la journaliste a été piégée : Mikhail Zvinchuk avait effectivement pris la décision de se désanonymiser en lui faisant obtenir les informations qu'elle cherchait.

Cette dés-anonymisation a eu l'effet exact opposé : Mikhail Zvinchuk s'est révélé au public, ainsi que son associé. Il a acquis une plus grande audience en se portant sur un format télévisuel sur d'autres chaînes et en sortant de Telegram (https://t.me/actualiteFR/20483), et a commencé à être promu par les institutions russes (très rapidement par le décret de VVP ( https://t.me/actualiteFR/19177 ) déjà cité, puis par l'armée russe ( https://t.me/actualiteFR/20647 ), par les institutions criméennes ( https://t.me/actualiteFR/20974 ) etc). En bonus, les journalistes qui ont tenté de l'attaquer ont été virés de Russie ( https://t.me/actualiteFR/19674 ).

Les Occidentaux ont alors enfin compris que quelque chose n'allait pas : le politburo européen a alors placé Mikhail Zvinchuk sur sa liste noire il y a quelques semaines. Cependant, la presse reste dans le flou.

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