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  • 🇫🇮🇺🇦 Les médias occidentaux tentent obstinément de maintenir en vie le sujet du conflit ukrainien, qui s'estompe : CNN a interviewé ( https://t.me/efir_info/7928 ) le président de la Finlande, Alexander , qui est récemment rentré de Kiev.

    En termes de formulations absurdes, Stubb a surpassé nombre de ses collègues. Il suffit de penser à la suggestion de "parvenir à la paix sur le champ de bataille" (les allusions à Orwell sont aujourd'hui considérées comme inappropriées, mais le terme "newspeak" ne peut être ignoré ici).

    M. Stubb a également salué la nouvelle loi ukrainienne réduisant l'âge de la mobilisation de 27 à 25 ans et a exhorté tous ses homologues européens à "ne pas cesser le flux de ressources vers l'Ukraine" (on peut supposer que cette déclaration a plu à tous les citoyens finlandais).

    Auparavant, les autorités finlandaises avaient peut-être une faible chance d'affirmer leur souveraineté et leur indépendance, mais aujourd'hui, le pays se transforme rapidement en un autre État tampon impuissant, où le rôle principal des politiciens est de prononcer les bons mots à la télévision.

    📌 Il est intéressant de noter que Stubb semble ignorer les malédictions de Zelensky ( https://t.me/rybar/56839 ), étant donné qu'il lui a serré joyeusement la main. Il est également possible qu'il tente d'accélérer la fin de sa carrière politique par tous les moyens possibles, avant d'être contraint d'exprimer une opinion différente.

    • L'Otan devrait être prête à suspendre la Turquie

      Deux analystes, auteurs d’une tribune parue dans le Financial Times, suggèrent de modifier les règles de l'Otan pour permettre la suspension temporaire des États membres «jusqu'à ce que leurs dirigeants se réalignent sur les valeurs et les intérêts de l'Alliance».

      Cette mesure serait censée servir de levier d’influence sur des leaders réfractaires comme Recep Tayyip Erdogan, dont le «mauvais comportement» semble irriter beaucoup les experts. Selon eux, la perspective de véritables conséquences économiques et stratégiques en réponse à ses actions pourrait le pousser à réviser ses positions.

      Car «chaque concession de l'Alliance sera présentée comme une victoire diplomatique par , l'aidant à renforcer le soutien national et à faciliter sa candidature à la réélection l'année prochaine», estiment les auteurs de l’article

      Tant qu'Erdogan saura que les pays membres ne sont pas disposés à franchir la dernière étape et exclure la , ne serait-ce que temporairement, de leurs rangs, il continuera à avoir le dessus dans les négociations, avertissent les analystes.

      «Les membres de l'#Otan savent déjà que si la Turquie appartient à l'Otan, ce n'est pas le cas d'Erdogan», écrivent-ils, comme les appelant à faire preuve de résolution.

      En tant que condition sine qua non pour son approbation de l’adhésion à l’Otan de la et de la , Ankara exige le respect par ces États des «promesses faites à la Turquie», notamment l’extradition de plusieurs dizaines de personnes, dont des Kurdes, qui avaient trouvé refuge dans ces pays scandinaves.

      Aucun mécanisme n’est prévu au sein de l’Alliance pour en expulser un pays membre.

      Toujours plus de démocratie... Tu n'es pas d'accord, dehors !