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  • Justement, c'est bien pour ça que je ne croirai jamais une seconde que l'on a stoppé l'économie, dans la plupart des pays de la planète pour une maladie si peu mortelle. Surtout que cette économie était déjà gravement malade avant de le faire. C'est un peu comme si on voulait l'achever définitivement et mon de départ qui consistait à penser qu'elle était déjà malade au point qu'il soit prévisible qu'elle s'écroule de toute manière, puis de tout remettre sur le dos d'un virus qui passait par là reste plausible.

    • C'est marrant, il y a quelques mois encore les Européistes ne voulaient pas entendre parler de fermeture des frontières, quelques mois plus tard, ils n'arrêtent plus d'en mettre partout. 

      Intéressant ! La décision du gouvernement grec n’est pas arbitraire. Elle obéit à à une directive de l'EASA

      L'Agence européenne de la sécurité aérienne est une agence de l'Union européenne, UE qui a, faut-il s'en rappeler, coulé la Grèce en la mettant sous tutelle et qui a fait des Grecs des esclaves avec des salaires divisés par deux et des pensions  ou des allocations de chômage divisées par 3.

      Maintenant la voilà privée de tourisme, et bien ça ne vas pas arranger leurs affaires. Ce n'est pas grave, on imprimera quelques centaines de milliards de plus et on les "sauvera" une fois de plus et  l'Allemagne et quelques banques privées viendront se servir encore un peu plus en intérêts.

      L’Allemagne s’avère être l’un des principaux bénéficiaires de la crise de la Grèce : le pays a gagné 2,9 milliards d’euros d’intérêts entre 2010 et 2017. C’est ce qui ressort d’une réponse du ministère des Finances à Berlin à une demande parlementaire des Verts.

      https://www.euractiv.fr/section/economie/news/germany-earned-2-9-billion-euros-from-greeces-debt-crisis/

      Et ça dure depuis si longtemps....

      Il faudrait peut-être arrêter de les "aider" non ? Tu as raison de parler de guerre, "Ce que nous avons fait à la Grèce est pire qu'une guerre !", estime Joseph Stiglitz, Prix Nobel d'économie 2001. 

      Comment lui donner tort ?

      269,5 milliards d’euros. C’est, selon un rapport du Parlement grec de 2015, la somme que doit payer l’Allemagne à la Grèce au titre des réparations de guerre pour l’occupation du pays par les nazis entre 1941 et 1944. Le remboursement de cette somme, qui représente plus de deux-tiers de la dette grecque (320 milliards d’euros), équivaudrait quasiment à son effacement. Le fait que ces réparations demeurent aujourd’hui impayées rappelle qu’il n’y a pas si longtemps, l’Allemagne était au bord de la faillite, et que c’est précisément l’annulation et/ou le report de ses dettes – de guerre mais aussi hors-guerre – qui ont permis au pays de se redresser et d’être la puissance qu’elle est de nos jours. Un élément dont les instances européennes feraient bien de se souvenir…

      https://lvsl.fr/reparations-de-guerre-la-dette-impayee-de-lallemagne-envers-les-grecs/

      Le problème c'est que dans quelques mois nous seront au même niveau que la Grèce et que madame Vondermachin et ses amis envisagent le même type de "solution" même si c'est de façon encore un peu plus déguisée. Et donc, on en revient à mon de départ, on collera tout ça sur le dos du virus et donc du hasard et personne ne sera coupable.

      Présentez un tel scénario à un producteur de film, il vous dira que ce n'est pas crédible, mais eux, ils le font ! ( C. Alévêque)

      Le hasard fait ici le contraire de ce qu'il est chargé de faire, il produit toujours les mêmes gagnants. Jusqu'ici.

      Parce que chez les Allemands il y en a de plus en plus qui songent à quitter ce jeu malsain qui ne peut que mal se terminer.

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      • C'est clair, sauf si il existe une vie après la mort :-) Par contre, les proches et les autres,  feraient bien de se soucier de ce qu'on leur raconte parce que sinon on est pas sorti de l'auberge et pas de chez nous non plus.

        Je voulais surtout mettre en avant le fait qu'on exagère largement les choses pour en faire une histoire bien plus terrible qu'elle ne l'est réellement, en témoignent la situation maîtrisée rapidement et efficacement dans un nombre impressionnant de pays, dont un à 100 km de chez nous et le faible taux de mortalité global qui serait encore bien plus faible si on avait pris  la peine de soigner les gens et de faire ce qu'il faut.

        Et que mon de départ où je disais qu'il fallait impérativement que ça soit suffisamment grave que pour pouvoir mettre sur le dos de ce virus des décennies de politique de libre échange,libre circulation de bien et de capitaux et de politique monétaire désastreuse et nuisibles et la récession monumentale et fatale qui en découlent directement, avec ou sans virus est plus plausible que jamais.

        Les palabres actuelles de l'UE et des banques centrales en général ressemblent d'avantage à de l'acharnement thérapeutique et je me demande si ils  ne sont pas en train de gagner du temps en attendant un certain nombre de morts pour pouvoir annoncer au prétexte de,   le décès du système qu'ils ont créé et qu'ils ne maîtrisent plus du tout. Sinon pourquoi cette situation volontairement stagnante?

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