MarcusAntonius Une partie de la réponse se trouve ici : Ils ne peuvent pas s'en prendre aux gens qui les ont "fabriqué", ils leur sont redevable. Et ceci n'est que la partie immergée de l'iceberg. En plus d'être fabriqués, ils sont aussi sous emprise. 

L'affaire Jeffrey Epstein démontre bien comment ça fonctionne, pas la version Netflix, mais celle qui ressort de l'enquête de journalistes Turcs si ma mémoire est bonne. Comme chacun le sait Epstein était un pédocriminel qui a fini pendu dans sa cellule.

Ce qu'on sait moins, c'est qu'il était en réalité un agent du Mossad, qui possédait une ligne de crédit illimitée, qu'il avait des immeubles de luxe partout dans le monde où il organisait des "réceptions". Il possédait aussi une île dédiée.

Et bien sûr c'est là qu'il présentait des gamines à ses invités de marque. Toutes les pièces de ses immeubles étaient équipées de caméras. Ce qui lui permettait par la suite de faire chanter à peu près n'importe qui, donc d'obtenir n'importe quoi.

Sa compagne, Ghislaine Maxwell, qui lui servait de "rabatteuse" est actuellement jugée pour ses actes. Bien entendu, comme toujours dans ces affaires, on aborde pas le fond du problème, il s'agit toujours de criminels isolés, jamais de réseaux.

Qui a récupérer son carnet d'adresses, quels sont les noms qui y figuraient, combien d’Epstein dans le monde ?

Il ne s'agit probablement pas toujours d'affaires aussi graves, mais immanquablement un excès d'argent, de pouvoir, c'est la même chose, fait sombrer les gens dans la folie et/ou la déraison, c'est un monde sans plus aucune limite. Il y a sans doute des exceptions, mais il faut probablement être sacrément costaud.

Regardez simplement le milieu artistique, c'est le même processus en moins pire, parce qu'il n'y a pas le pouvoir au sens politique du terme, mais quand même. 

Bref, cela explique à quel point ces gens sont facilement contrôlables.