Commentaire pour 'Notre-Dame - Sacrés dégâts'
  • Comment faire pire? Si j'ai bien compris la maçonnerie est  relativement peu endommagée, balancer des tonnes d'eau d'un seul coup avec un canadair  aurait déjà de un été peu précis car lorsqu'il balance leur eau il le font en mouvement, de deux vu la masse d'eau ça aurait probablement fait des dégât aux murs, à la maçonnerie et touché ce qui ne l'était pas et qui a été préservé. Je n'affirme pas mais j'envisage...Quand a hélicoptère lui peu rester statique au-dessus d'un point mais il y a toujours cette masse d'eau, plus l'accélération de cette masse...Si je me rappelle bien c'est cette formule qui s’applique je pense E=mc² sans certitude je n'ai jamais eu des cours de physiques. 

    • Comment peut-on savoir que les murs n'ont rien? Comment peut-on savoir ceci ou cela. Le problème quand survient un drame comme celui-là, c'est la couverture immédiate en continu, ce qui représente un temps long qu'il faut bien meubler avec on le voit souvent des "experts", en tout cas présentés comme tels, qui fabulent et spéculent à tort et à travers, quitte à dire n'importe quoi. A ce sujet, j'ai lu ceci que je trouve fort intéressant:

      Commenter le vide

      C’est un point central rencontré dans d’autres éditions spéciales, comme celles consacrées aux attentats terroristes : alors que l’on dispose de très peu d’informations factuelles, a contrario, il y a un long temps d’antenne à mobiliser.

      Les chaînes vont user alors de quatre stratégies :

      1. Le recours au fast-thinkers, comme le théorisait Pierre Bourdieu dans ses cours sur la télévision. Il s’agit de personnes réputées expertes sachant déployer une pensée rapide, prêt à l’emploi en télévision. Se sont succédés ainsi hier toute une série de témoins, d’hommes d’Eglise, d’anciens commandants de pompiers en tout genre qui avaient comme point commun celui de n’avoir aucune nouvelle information à donner. Ils expliquent leur tristesse, racontent leur expérience avec la cathédrale Notre-Dame, en attendant d’en savoir plus sur l’incendie.

      2. La parole du témoin. Alors que le fast-thinker apporte un discours de positionnement, le témoin, lui, raconte sa tristesse face à l’incendie. Si l’expert s’adresse à la tête en décryptant, le témoin lui parle aux tripes, parfois il pleure lui-même ce qu’un fast-thinker ne fera jamais.

      3. Le duplex en direct qui consiste à donner la parole à un envoyé spécial sur place pour donner les dernières informations. Souvent, cela consiste à énoncer une formule convenue telle que « pour le moment, on n’en sait toujours pas plus ». C’est à ce moment que le reporter sur place interviewe des témoins pour combler le vide informatif.

      4. Le résumé des faits, il s’agit de remontrer les images marquantes de l’événement. C’est ici que vont s’enraciner les moments forts du récit comme celui où la flèche de Notre-Dame s’est effondrée, épisode central du clima émotionnel présent dans le récit. Cette vidéo de BFM TV d’une trentaine de minutes, diffusée à 21h25 hier soir, permet de se faire une idée de ces principales stratégies de mobilisation médiatique.

      http://theconversation.com/mediatiser-lapocalypse-retour-critique-sur-la-couverture-de-lincendie-de-notre-dame-de-paris-115600

      On a déjà tellement vu ça que je me méfie de ce qu'on raconte dans les premiers instants.  Quand j'entends que des canadairs auraient abîmé l'édifice, en particulier les charpentes, tout en précisant leur imprécision, mon détecteur d'incohérence se met à klaxonner.  Soit c'est précis, dans ce cas, la pression au cm2 est importante, soit c'est imprécis, dans ce cas c'est dispersé et donc la pression au cm2 est faible, mais les deux non. Pourtant c'est ce qui était dit hier soir.

      J'ai souvent vu des canadairs en actions dans les forets, je n'ai jamais vu un arbre s'effondrer après leur passage.

      Je m'étonne et je m'inquiète qu'en 2019 on ne puisse pas maîtriser l'incendie sous prétexte de sa hauteur, parce que dans ce cas, y a un paquet de monde qui a du souci à se faire. A mon avis, d'ici quelques jours y en a qui devrait prendre cher pour leur responsabilité.

      Autre question que je me pose également et qui n'a pas encore été abordée par les "experts"... pas d'assurance incendie pour un bâtiment de cette valeur qu'il faut immédiatement faire des collectes?

      • Je n'ai fais que d'envisager des raisons....Sans prendre en compte d'éventuels dommages collatéraux qu'aurait pu subir les bâtiments environnent et éventuellement faire des victimes ...De plus il aurait peut-être fallu faire évacuer la zone ce qui veut dire écarter les services de secours étant sur place  et tout miser sure seul et unique moyen.

        Quand aux assurances je me suis posé la même question que toi...D'autre part quand on voit la richesse du Vatican...Va-t-il faire un don ce qui me semblerait des plus normal ????