Moi non plus, je ne partage pas le point de vue d'Albert Jacquard.  La concurrence est une source d'émulation, de connaissance et de progrès, aussi bien économique que social. Qu'aurait été le commerce international sans la compétition entre les nations dominantes essentiellement aux XVème et XVIème siècles pour découvrir d'autres contrées ?  Qu'aurait été la conquête spatiale sans la concurrence entre l'U.R.S.S. et les Etats-Unis d'Amérique ?  Plus récemment, les progrès réalisés en moins de dix ans seulement dans l'augmentation importante de l'autonomie des véhicules électriques et de la diminution du temps de chargement des batteries résultent d'une compétition entre les différents constructeurs mondiaux.  Pour arriver à des résultats efficaces, il faut engager les meilleurs chercheurs, les meilleurs scientifiques, les meilleurs ingénieurs, les meilleurs techniciens.  De l'élitisme ?  Oui, n'ayons pas peur des mots.  Il faut mettre les moyens pour obtenir des résultats probants.  En même temps, je coupe les ailes au discours populiste et poujadiste de la kakistocratie destiné à plaire au plus grand nombre et à satisfaire les frustrations d'employés s'estimant tyrannisés par de "petits chefs" de bureau.  Non, il n'y a pas que des idiots aux postes de commandement des entreprises et des organisations !

N'importe quel compétition, du moment que c'est pas du genre péter plus haut que son cul.Quand je dis le meilleur, c'est par rapport aux autres participants.A l'école j'étais toujours le meilleur en basket car j'étais chaque fois j'étais le seul à avoir vraiment pratiquer ce sport et lors des rares matchs qu'on a fait, je m'amusait pas beaucoup alors que quand on faisait des match de foot, c'est à dire à un cours sur deux ben je m'amusait vraiment bien alors que c'est le sport que j'aime et estime le moins, par ce que la moitié des mes camarades en avait fait ou le pratiquais toujours en club, en les affrontant j'ai dû vraiment me casser le cul pour arriver à les dribler et marquer de temps en temps, je les ai observer et demander des conseils, grâce a ça j'ai appris à mieux contrôler la balle et à lui donner un effet lors des tires, ça m'a d'ailleurs aidé à résoudre en grande partie mes problèmes d'équilibre avec à la dextérité que j'ai acquis en me dépassant (je me casse quasi plus jamais la gueule pour rien).Ttout ça ne serait pas arrivé si j'étais avec des gens plus mauvais que moi ou du même niveau.Pour ton argument pros contre néophyte je pense que ça dépend surtout de la volonté de ce dernier. par exemple avec moi ça va pas du tout me déranger de me faire défoncer et je vais continuer jusqu'à ce que je marque un point, puis la prochaine fois deux, puis 3 et ainsi de suite.Je vais te donner un exemple concret, j'ai commencer à jouer à un jeu vidéo de combat avec un ami, je lui ai demander de me faire aucun cadeaux et avec ses 15 ans d'expérience il m'a mis raclée sur raclée. Pendant plus ou moins un mois je l'ai affronté 15 à 20 fois par jour jusqu'à ce que les rôles s'inverse et que ce soit lui qui en touche plus une. Résultat j'étais fier de ma progression ainque que de ma persévérance et en bonus ça a gonfler l'estime de mon ami (qui en plus en avait peu) car il m'a aidé a améliorer et qu'il était fier de moi comme un maitre serait fier d'un apprentis qui le surpasse. Comme le dit PussyMagnet la concurrence est source d'émulation.Je suis entièrement d'accord avec toi sur l'intelligence si par multidimensionnelle tu veux dire multidisciplinaire, cependant je trouve qu'il a un point dominant aux intelligences, c'est la capacité à faire des liens entre les choses.Ha oui un peu rien avoir mais il est plus intéressant d'être sage qu'intelligent car le sage sera éviter le problème que l'intelligent devra résoudreSinon si je suis vraiment nul et que malgré tout mes efforts j'y arrive pas je sais aussi abandonné avant et/ou sans me rendre malade.Je trouve qu'on fonctionne pas si différemment que ça au final, on cherche surtout tout les 2 à atteindre un niveau suffisant pour nous même, je n'ai pas non plus besoin qu'on me dise ou j'en suis, du moment que je suis satisfait mon évolution je suis content de moi :)Pour finir, je trouve que l'intelligence c'est comme la culture, moins t'en a plus tu l'étales, à moins bien sur, d'avoir un problème d'ego comme un manque de confiance en soit ou un certain égocentrisme.