🇷🇺 🇰🇵 💥 #Poutine et Kim Jong Un se lancent dans une danse diplomatique pour le moins risquée. 

Une alliance entre les deux puissances, sur fond de coopération spatiale, provoque des préoccupations à Séoul et la colère de #Washington : ⏬

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🔥💥 #Biden vs #Poutine : un pas de plus vers la confrontation nucléaire !

 Les tensions augmentent : l'administration Biden outrepasse à nouveau les "lignes rouges" russes. 

Les #EtatsUnis abandonnent des obligations clés du Traité New Start, risquant une escalade dangereuse.

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Poutine a tendu un triple piège à l’Occident

La #Russie dispose de trois leviers d’influence sur l’Occident, qui est donc tombé dans un triple piège, écrit le magazine Focus. Le premier est le gaz, le second les négociations sur la paix en Ukraine et le troisième son partenariat avec d’autres pays. 

Ainsi, l'isolement diplomatique et économique de la Russie espéré par l'Occident a échoué, estime l’auteur de la tribune. Le chef de la diplomatie russe Sergueï Lavrov n'a notamment pas été condamné par son homologue indonésien, qui a présidé la récente réunion des ministres des Affaires étrangères à Bali, malgré la rhétorique occidentale qui met en avant des «violations de normes de droit international».

Qui plus est, il n'y a même pas de consensus parmi les pays du #G20 sur la question de savoir qui est l'agresseur dans ce conflit, car «l'Occident n'est pas le monde». Ainsi, la Chine est un adversaire des États-Unis, première puissance occidentale, et Ankara se livre à une politique de bascule pour se donner de l'importance, analyse Ulrich Reitz.

Le Président brésilien Jair Bolsonaro prend ouvertement le parti de Poutine et les pays du BRICS (Brésil, Russie, Inde, #Chine, Afrique du Sud) tentent de s'imposer comme un contrepoids au G7, ajoute la tribune.

Quant aux deux autres leviers d’influence, l’Occident dépend du gaz russe comme un drogué de ses stupéfiants, juge l’auteur. Pour les négociations de paix, Moscou ne les rejette pas, tout en avertissant, par la bouche de Vladimir Poutine, que plus ce processus traîne en longueur, plus il sera difficile de parvenir à un accord avec la Russie. 

Les dirigeants occidentaux ont beau réitérer leur soutien à l’#Ukraine,  ils se rendent compte de la nécessite de l'approbation de la population, dont une bonne partie prône la fin des sanctions et des négociations sérieuses avec #Poutine.

🇺🇸 ⚡️ "Les États-Unis ont l'intention de fournir à Kyiv un nouveau lot de systèmes HIMARS avec des munitions pour eux d'une portée de 300 km." - Financial Times

🇺🇸 ⚡️L’Occident a sous-estimé la volonté et la capacité de la Russie à gagner en Ukraine

Dans un article du 8 juillet, American Thinker a critiqué la politique de l’Occident à l’égard de la Russie. Selon lui, ces pays l'ont provoquée tout en affirmant ne pas avoir prévu l’avènement du conflit. En 2021, l’administration Biden a considéré l’Ukraine comme de facto membre de l’OTAN alors que la Russie déclarait qu’elle ne tolérerait pas que des bases militaires s’établissent à ses frontières.

Selon le média, Moscou aurait très probablement accepté une résolution du problème ukrainien en décembre 2021. Cette résolution se serait concrétisée par la neutralité permanente de l’Ukraine en ne rejoignant pas l’OTAN, en reconnaissant une autonomie raisonnable pour le Donbass, ainsi que la reconnaissance de la Crimée comme étant russe. 

Il précise que cette décision n’aurait en rien affecté les intérêts américains et occidentaux. Un tel accord est toutefois impossible pour les néo-conservateurs américains qui veulent que leur pays détruise la Russie afin de garder son hégémonie.

American Thinker précise que désormais il difficile de savoir quelles seront les exigences de la Russie. Pour le média, elle ne perdra pas dans ce conflit car elle accorde une plus grande importance à l’Ukraine que l’Occident et qu'elle ne laissera pas Kiev entrer dans l’OTAN, ce qui serait une grande menace pour sa sécurité. Les intérêts de l’Occident à l’égard de l'Ukraine ne sont qu'un pari néo-conservateur et une manifestation de l’hégémonie américaine qu’ils cherchent à affirmer en Europe de l’Est. 

La victoire revient au camp qui a le plus de volonté et qui est le plus enclin à souffrir. Pour le média, ce sera la Russie. Il conclut en assurant que ce qui se passera après le conflit est incertain et critique la volonté américaine d’étendre l’OTAN vers l’Est alors que toute menace russe a disparu depuis l’effondrement de l’Union soviétique.

Guerre du gaz : Gazprom s'apprête à couper le robinet aux Pays-Bas et au Danemark

Les compagnies néerlandaise Gas Terra et danoise Orsted devraient voir leurs livraisons s'arrêter ce mardi car elles refusent de payer le géant russe en roubles.

⚡️La Russie peut interdire les exportations de riz du 1er juillet au 31 décembre 

— projet de décret

⚡️Le chancelier autrichien Karl Nehammer a déclaré vendredi que, lors d'une conversation téléphonique avec le président russe Vladimir #Poutine, il lui avait dit que Gazprom se verrait retirer son installation de stockage de gaz à Haidach, en Autriche, si la société russe ne la remplissait pas de gaz.

⚡️ Le ministère des Sciences et de l'Enseignement supérieur de Russie a confirmé son intention de se retirer du processus de Bologne et de donner la priorité à la création de son propre système éducatif

C'est ce qu'a déclaré le service de presse du ministère. Cette déclaration a été commentée à partir d'une interview du docteur en psychologie, professeur, scientifique émérite de Russie, Valentin Evgenievich Semyonov :

« Probablement, des millions de citoyens russes ont éclaté : "Enfin !" Les scientifiques, les enseignants, les parents, tous les penseurs et les patriotes du pays ont compris depuis longtemps que le système dit de Bologne est vicieux et conduit à une nette baisse du niveau de connaissance et d'éducation des étudiants. composante de la guerre idéologique et informationnelle des globalisateurs contre la Russie, et des autres peuples pensants et indépendants du monde entier, afin qu'il soit plus facile de gérer la jeunesse, les générations futures."

C'est effectivement une bonne nouvelle.

🇮🇷🇷🇺 La Russie et l'Iran ont l'intention d'introduire un commerce basé sur le troc. La Russie fournira à l'Iran des matières premières telles que l'acier, le zinc, le plomb et l’aluminium, tandis que l'Iran est prêt à fournir à la Russie des turbines à gaz et des pièces automobiles en échange.

Ces projets ont été dévoilés lors d'une réunion de la commission mixte russo-iranienne sur la coopération économique et commerciale à Téhéran.

❗️La récolte de céréales en Russie en 2022 pourrait dépasser considérablement le niveau de l'année dernière et se rapprocher de son maximum. Il semble donc, sauf catastrophe, que les résultats son proches des prévisions.

— ministère russe de l'agriculture

🇨🇳🇫🇷 Le statut de neutralité de la Finlande et de la Suède garantit leur sécurité bien mieux que l'adhésion à l'OTAN, parce que cette alliance représente une menace pour la Russie

— ambassadeur de Chine en France

⚡️81,3% des Russes font encore confiance à Vladimir #Poutine

— principal institut de sondages de Russie

⚡️La Hongrie ne considère pas la Russie comme une menace pour un quelconque membre de l'OTAN 

— porte-parole du gouvernement

⚡️Les plus grandes installations de stockage de gaz d'Europe pourraient se vider l'hiver prochain

Le site de stockage souterrain de Haidach, situé en Autriche mais relié au réseau allemand, a peu de chances d'être rempli après la coupure de l'approvisionnement de Gazprom Germania GmbH, une unité rachetée par le gouvernement allemand.

Cette installation de stockage est équivalente à environ un quart de la capacité de stockage de l'Autriche. Les sanctions russes contre une filiale de PJSC Gazprom privent Haidach d'un approvisionnement crucial.

L'Autriche devra trouver un moyen de raccorder Haidach au réseau autrichien, et l'opérateur du réseau national a déclaré qu'il étudiait toujours la manière dont il pourrait répondre aux demandes du gouvernement.

“D'un point de vue technique, il serait nécessaire de construire une connexion entre l'installation de stockage et le gazoduc Penta West”, a déclaré l'opérateur Gas Connect.

Le gazoduc Penta West de l'Autriche est le gazoduc le plus proche qui pourrait être prolongé pour relier Haidach au reste du réseau autrichien de 900 kilomètres.

Selon un fonctionnaire, l'obtention des autorisations réglementaires et environnementales nécessaires à cette fin pourrait prendre des années.

Selon une autre source, un deuxième appel d'offres pour du gaz en préparation à Vienne, qui pourrait contribuer à approvisionner Haidach avec des produits autres que russes, s'est également heurté à un certain nombre de problèmes, car il n'existe aucun moyen de vérifier la provenance du carburant une fois qu'il est pompé dans les gazoducs.

🗣 Le conflit en Ukraine ne se limite pas à une confrontation armée. L'une des raisons pour lesquelles les États-Unis ont renforcé leur soutien à l'Ukraine était la conviction que les sanctions économiques allaient faire tomber la Russie, la mettre à genoux. 

Ça n'a pas marché. Ce qui s'est passé est exactement le contraire! Les temps sont durs pour la Russie, mais il n'y aura pas d'effondrement. Contrairement à l'Europe, qui est au bord de l'effondrement économique. Ce n'est pas le bon moment pour être l'Europe! 

Et nous n'avons même pas commencé à parler de ce qui se passera lorsque la météo se refroidira. Ce sera vraiment le désastre alors. Peu de gouvernements survivront à cet hiver. Et cela changera les perspectives stratégiques de la Russie. Poutine pourrait bien décider de ralentir le rythme du conflit en Ukraine pour permettre aux effets économiques de se manifester, puis de jouer les cartes politiques

— Scott Ritter, analyste militaire américain