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Soutenez les petits éditeurs, la culture a besoin de vous !

Lorsque j’ai arrêté de travailler, j’ai décidé de vivre ma grande passion (je n’ai pas dit d’en vivre ^^) : l’écriture. Je suis publié depuis 2008 dans de petites structures, j’ai même fini par créer avec trois amis une maison d’édition indépendante, qui ma foi fonctionne vaille que vaille depuis 2012. Mais voilà, le Covid est arrivé et les salons s’annulent les uns après les autres, privant les éditeurs et leurs auteurs de leurs revenus. Seuls les plus forts survivront, comprenez les grosses maisons qui vous vendent un bouquin à 20 ou 25 euros,  et des Ebook au prix d’un libre de poche, c’est tout dire ! Alors j’ai décidé de donner un coup de pouce à mon éditeur actuel. Séma Edition est une petite maison d’édition basée à Namur, le boss, Michael, est un homme charmant, marié et papa d’une petite fille. C’est aussi un passionné de littérature, tous genre confondu, mais il publie avant tout de l’imaginaire. C’est enfin un combattant, qui se donne à mille pour cent pour ses auteurs, en période normale,  il est présent sur une trentaine (parfois plus) de salons ou évènements liés aux livres, tant en Belgique qu’en France. Alors on est nombreux ici, et je me dis que ça vaut peut-être le coup de tenter ma chance. Que vous soyez papier ou numérique, vous pourriez trouver de quoi meubler un peu votre temps libre. Alors s’il vous plait, je vous en prie, soutenez les petits éditeurs et leurs auteurs, achetez des livres ! http://www.sema-editions.com/fr/88-solde?fbclid=IwAR2JrChtRARAEtVhKIBGh2mjF1siCIIQyCOZ-gI2IM0o1R0rdH8C1FRvtcc

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Réponses (62)
    • Désolé, mais il est vraiment important de réaliser que seules les mesures anti-covid sont responsables, on ne peut pas dire qu'on a pas, ici,  alerté sur les conséquences qu'elles auraient, c'est ce que l'on a pas cesser de faire ici, alors que pourtant ce n'est pas l'objectif d'un site de rencontre. 

      Le problème c'est qu'il faudrait soutenir beaucoup de choses, dont notre site par exemple, je n'ai encore rien dit à ce sujet, mais les inscriptions se sont écroulées jusqu'à parfois zéro certains jours, elles étaient de 15 à 25 avant, du coup, l' "éditeur" du programme qui sert à fabriquer notre site et d'autres le sent passer également. J'ai écrit éditeur, pour qu'on comprenne la similitude avec les livres.

      Si il n'y avait que les livres et les sites de rencontre... mais oui, c'est toute la culture, tous les artistes et tant de choses qu'ils ont assassiné. Et pas que... Avez-vous songé à tous les gens qui faisaient principalement recette le 15 Août ? Et les forains ?

      Et le pire c'est que ça continue, encore et encore, alors que ça devrait être terminé depuis longtemps... J'ai dit que c'était démentiel et suicidaire, j'ai dit qu'après on compterait les morts, suite aux mesures, pas suite au virus. Tu parles de passions, tu as bien raison, ils ont tué la passion et l'envie d'entreprendre. Le problème c'est qu'un passionné quand tu lui enlèves sa passion il se sent très mal.

      Lancer des appels à soutenir, c'est bien beau, mais nous n'en sortirons pas ainsi ! Il y a beaucoup, beaucoup trop de dégâts. Et nous n'avons pas fini de le découvrir.

      Le mal est fait ? Non, pas encore entièrement, puisque ça continue encore et encore. Nous continuons à creuser notre tombe, chaque jour qui passe, de plus en plus profondément. Personnellement je ne peux rien faire de plus, j'ai épuisé toutes mes idées je crois. Je ne sais plus comment faire  pour convaincre, il n'y a plus qu'un virus, il est dans la tête. Celui-là contrairement à l'autre, nous allons le payer extrêmement cher.

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      • Et c'est vrai tu as raison, seuls les gros survivrons, et c'est valable aussi dans le livre, ceux-là éditent de plus en plus souvent n'importe quoi, du commercial. C'est business man ce n'est plus éditeur...

        • En fait, c'est la culture elle même qui se désagrège. On limite les entrées (ou on interdit carrément l’événement) dans les musées, les concerts, les cinémas, les salons littéraires, les médiévales, dans le même temps, on assassine les forains, les cafetiers, les restaurateurs, mais on permet l'entrée de plusieurs millier de personnes dans les parcs d'attraction ! Les premiers cités sont quand même plus facilement gérables il me semble !

          • Mon frère est libraire, c'est pour ça que je connais un peu. Il fait des rencontres littéraires  avec les auteurs environ tous les 15 jours en temps normal. Et des soirées "jeux, il vend des jeux qu'on ne trouve pas en grande surface, anciens, en bois, originaux... même chose.

            Fini depuis les mesures, en tant normal il y a 250 à 300 personnes, salle pleine chaque fois. Et ça aussi ça aide les "petits" auteurs à faire connaître leur travail... Oui incohérence totale depuis le début. Hier, a Paris, masques obligatoire partout y compris dans le bois de Boulogne, y compris pour ceux qui y font du sport, mais en salle pas besoin de masques. Qu'est-ce que c'est que ce délire...?

            Et puis il y a l'envie. Même si tu peux aller au resto sous conditions, rien à faire, tu as 50 % au moins des gens qui n'ont pas envie d'y aller à cause de ces conditions..., on est pas fait pour vivre ainsi. Merde quand tu sors c'est pour voir des gens, échanger. Là les gens ont tous la même non-expression sur le visage.

            Pour les petits commerces, petits entrepreneurs etc, ce n'était déjà pourtant pas simple avant... et justement ils avaient impérativement besoin de l’événementiel. Le pire c'est qu'il y a "ceux-là", mais aussi tout "ceux qui vivent de ceux-là" ...

            C'est pour ça que quand ils ont parler d'empêcher la planète de tourner, l'image qui m'est venue en tête, c'était ça:

            Quand un restaurant ferme, tous ses fournisseurs prennent une claque, comme son boucher, le fournisseur du boucher aussi etc... jusqu'à l'éleveur et ceux qui le fournissent, les vétérinaires, on peut remonter loin comme ça, et même de pays en pays.

          • Je ne sais pas comment nous allons nous en sortir, le monde ne sera plus jamais comme avant.

            • D'après toi, qu'aurait-il fallut faire pour éviter de se retrouver dans cette situation catastrophique ?

              Parce que je ne sais pas si tu as remarqué, mais tout ceux qui ont critiqué une autre façon de faire, n'ont jamais critiqué celle que l'on à mis en place et pire, n'ont jamais proposé une autre alternative.

              Ils ont tous défendu la méthode made in Belgique qui en plus d'avoir été complètement inefficace point de vue santé, nous a mené dans une situation économique qui te pousse à lancer des appels à l'aide, et qui à mon avis, ne rencontreront aucun écho.

              Les pays qui ont fait de même ont les mêmes résultats, les autres ne s'en portent pas plus mal voir nettement mieux. Je ne comprends pas ton obstination à dire que ceux qui auraient voulu faire autrement sont bêtes.

              • Pour faire simple et pour clore le débat sur Raoult, j'ai tendance à faire confiance au plus grand nombre (de la communauté scientifique s'entend, et non de ce que nous racontent les politiques). Je suis un sceptique, et tout en moi me crie que cet individu n'est pas crédible (ou alors, ce sont (presque) tous ceux qui exercent le même métier que lui qui sont à la masse. https://fr.wikipedia.org/wiki/Didier_Raoult  Je te suggère de porter une attention particulière aux points 5 à 6.3.1.

                • Je n'ai pas de solution ^^. Au passage, le seul que j'ai traité de "bête" , est Raoult, maintenant on croit ce qu'on veut, à l'instar de la religion, c'est le genre de discussions dans lesquelles j'évite de rentrer, tôt ou tard ça dégénère.

                  • Je ne m'intéresse pas tellement aux commérages.  J'ai lu et retenu ce qui m'intéresse, à savoir tout ce qu'il à fait jusqu'ici. Il serait vraiment tant que tu tiennes compte du fait que ta communauté scientifique à subit le même sort que les politiciens, elle est en grande partie corrompue.

                    Mais je crois que tu ne veux pas voir comment fonctionne réellement le système aujourd'hui. Je dirais que c'est ton choix, mais le seul problème, c'est que nous allons tous le payer extrêmement cher en terme de vies, en terme de malheurs, y compris ceux qui n'étaient pas d'accord. C'est ça qui est malheureux.

                    • Dans les faits, mon choix est d'être prudent, donc je mets un masque lorsque je suis dans un magasin, mais pas en rue, j'essaie de respecter au mieux les consignes de sécurité, non parce que je suis -comme diraient certains- un mouton, mais parce qu’attraper cette maladie pourrait m'être fatal : je suis cardiaque et j'ai un traitement assez lourd (un AVC et deux infarctus en dix ans), je suis également diabétique et ai un long passé de fumeur (j'ai arrêté il y a environ quatre ans). Ceci dit, je ne me suis pas arrêté de vivre, je fais juste attention à moi. Si le système flanche, je ne pense pas que ce sera la faute des anti-masques ou des pro-masques, mais bien à cause de ceux qui nous gouvernent.

                      • Enfin, pour en terminer avec Raoult, j'ai fait mon choix, un seul homme ne peut avoir raison contre tous ou presque. C'est mon avis, ma conviction.

                        • Je peux comprendre que tu sois prudent, mais je suis a peu près certaine que tu n'as jamais mis un masque pour la grippe et certaine que tu n'aurais pas mis un masque pour le corona si le le système politico médiatique n'avait pas fait d'une histoire banale un problème de santé mondiale. Je m'étonne que tu parles de ta conviction, ton opinion, ton choix, quand il correspond point pour point à celui du système politico médiatique.

                          Un seul homme peut avoir raison, il y en a eu assez par le passé, mais on est pas dans ce cas de figure ici, tu as l'impression que Raoult est seul à tenir les positions qu'il défend parce que c'est ce que l'on cherche à te faire croire. C'est ça la propagande, et tu en es victime.

                          Il n'y a pas un homme contre tous, il y a deux camps qui s'affrontent, l'un des deux camps ne vit pas dans le même monde que toi et "invente" une réalité qui n'existe pas. 

                          maintenant on croit ce qu'on veut, à l'instar de la religion

                          Alors là, je te rejoins, c'est devenu une religion, il faudrait croire sans voir. Ce qui est toujours dangereux et aléatoire, essaye de faire 1 km sur l'autoroute en fermant les yeux.

                          Définition de la religion en philosophie:  croyance en une chose dont l'existence n'est pas prouvée.

                          C'est là tout le problème, mais que je sache, la religion c'est tout le contraire de la science, or, dans le camp  "Raoult" on ne croit pas justement on observe. On ne prie pas, on soigne. On ne lit pas la bible, on pratique. On ne devrait même plus parler de camp Raoult, tant il s'élargit. Philosophes, anthropologues, etc... ce qui est bien la preuve qu'on est bien au delà d'un problème de santé.

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                          • C'est fort rare mais je suis fort de ton avis, le bourrage de crane à toujours été un fléau.Le gros problème et ce quel que soit le domaine c'est qu'un grand nombre d'être humain ont besoin de repères et manque de discernement. Beaucoup ont besoin de repères que l'on a créé ou que l'on craie afin de les tenir d'une façon ou d'une autre.D'autres non aucun repère ce qui peu créer des conflit avec les premiers.Il faut reconnaître que nous somme dans une situation ou c'est le flou le plus absolu.Je pense que dans la situation actuel il faut faire confiance aux gens qui sont guidé par la raison et le bon sens.Bon sens que nos élu manque cruellement, ou plutôt la peur...Et ils sont parti prenante. Les parcs d’attractions sont ouvert et à mon avis il y a peu de contrôle quand au port du masque et la présence des force de l'ordre pour le faire respecter y est inexistante, pourquoi les parcs ont-ils droit à un passe droit. Pour une foi je suis d'accord avec un grand nombre, qu'on arrête de faire chier les petits, qu'on les laisse un peu vivre, respirer.

                            • Pourquoi dégénérer.. absolument pas ! Nous sommes entre adultes normalement responsables et savons discuter dans le calme. Justement, il est facile pour beaucoup de dire "je n'en discute pas car ça va mal tourner".. il faut avouer qu'il est plus facile d'accepter, de se soumettre et d'acquiescer plutôt que de chercher la vérité et de la voir en face. C'est bien dommage car tu dis bien plus bas que tu remets en cause les décisions de ceux qui nous gouvernent ! 

                              • Cela dégénère rarement lorsque je débats -comme ici- sainement. E n ce qui  concerne la, ou plutôt les religions, c'est un sujet que je me refuse d'aborder ici (ou ailleurs).

                              • Depuis quand est-il encore possible de vivre de sa plume, et chez nous particulièrement? Sans parler des pratiques de plagiat? Je ne suis pas non plus auteur de fantastique, mais il m'est arrivé d'écrire des articles et des fascicules de formation pour autodidactes avides de conseils, sans en avoir aucun droit, quand le texte ne se retrouve pas miraculeusement ailleurs sans aucune citation. Je pourrais parler aussi des montages didactiques et pédagogiques faits sur fonds propres, qui n'étaient "pas intéressants" mais quand l'auteur change, ils le deviennent... Mais là, je digresse. 

                                Alors quoi? Rédiger un texte, ce sont déjà des heures de boulot et de boulot, et si on veut être lu, pas d'autres choix que de publier en "libre de droits" (pour ce que ça vaut cette license...). Les éditeurs vont mal, mais ceux qui ont envie d'écrire sont déjà aussi mis à mal par ce milieu d'entrée de jeu, il faut arrêter. 

                                Et avec cette mentalité actuelle du "panem et circenses" , on n'est pas prêts d'en voir le bout, virus ou pas...

                                • J’ai fait le choix d’être publié par de petits éditeurs parce qu’ils sont –pour la plupart- bien plus sérieux dans leur façon de travailler que ceux ayant pignon sur rue (moins de fautes et de coquilles, par exemple), tant ils ont à cœur d’offrir le meilleur service possible, à la fois à l’auteur et au lecteur. Les droits d’auteurs que je perçois (10 % sur les versions brochées et 45 sur me numérique)  suffisent, dans le meilleurs des cas, à faire les courses pour trois semaines, un mois au maximum. Non, je ne vis pas de ma plume, je n’écris pas pour gagner de l’argent, mais par passion, le peu que cela me rapporte n’est rien en  regard du plaisir que je ressens lorsque j’ai le fruit de mon travail entre les mains. Des nouvelles parues dans une douzaine d’anthologies, deux livres, dont un a reçu le Bob Morane 2017, un roman en cours, une anthologie sur la littérature pulp qui doit sortir dans les mois à venir, et plein d’autres choses encore en préparation. Oui la culture va mal, mais je continue à écrire, j’en ai besoin.

                                  • Le besoin d'écrire, je peux comprendre, pareil pour moi, même si ce n'est pas le même domaine, mais on reste dans l'écriture/la rédaction. Mais tu le dis toi même, ça ne suffit pas à nourrir son homme. Comme toujours, il y a un choix à faire entre aimer ce qu'on fait et galérer, ou faire ce qu'on aime pas et en devenir dépressif. Ecrire et être publié est, et a toujours été, un privilège pour ceux qui peuvent se le permettre.

                                    Dans le monde de l'édition, c'est une vraie mafia aussi, des vrais requins. Et virus ou pas. Donc personnellement, je ne me sens pas responsable de leurs problèmes. Je ne vais pas prendre des bouquins qui ne m'intéressent pas vraiment pour soutenir l'édition. Ca fait très "carte de soutien" pour une association ou l'autre. Autant prendre un bic ou un billet de tombola de fancy-fair pour soutenir l'école du coin...

                                    Autant publier en libre de droits, ce qui revient au même. Un éditeur reste un vendeur, il ne faut pas se leurrer. Les prix, c'est très bien, c'est une valorisation, une reconnaissance, mais qu'est-ce que ça change pour l'auteur? Ca fait bien de mettre une jaquette "Prix ceci-cela de telle année" sur un livre, mais ça ne reste qu'un argument de vente... 

                                    Le jour où ton inspiration se tarit, où le texte ne te vient pas, tu fais quoi? Ecrire des niaiseries pour survivre, et là ce sont tes lecteurs qui vont être déçus... S'ils te laissent tomber, que fera ton éditeur? Ton nom ne fera plus office d'étiquette de qualité, et vlan... Vuilnisbak. L'édition n'échappe pas à la loi de l'offre et de la demande, malheureusement. Comme pour tout.

                                    Ecrire, c'est génial, être publié, tant mieux, être lu et apprécié, bonheur suprême, mais le reste... "Siouplé, achetez les livres pour faire marcher l'édition",... Non, je ne marche pas. 

                                    • Si un éditeur vend,  l'auteur touche des droits sur ses livres, c'est du win-win. Maintenant, faut pas non plus oublier qu'un éditeur (je parle d'un vrai, pas d'un prestataire de service qui te fera payer souvent entre 1500 et 2000 euros  pour te publier, ou qui t'impose l'achat d'un nombre X de ton propre livre, ou chez qui le contrat stipule, souvent écrit tout petit, que les droits d'auteurs ne sont dus qu'à partir de 500 exemplaires) investit de sa poche parce qu'il croit en ce qu'il publie, parfois ça donne bien,  parfois, c'est le flop. J'imagine que tu as tenté d'être publié, alors soit ton ou tes manuscrits ont été refusés (la raison importe  peu), soit tu as eu affaire à l'un des prestataires cités plus haut. Mon éditeur (mais ça vaut pour pas mal d'autres que je connais, est (en temps normal)) présent dans une flopée de salons littéraires ou événement dédiés, en Belgique comme en France, on retrouve nos livre en librairie et à la Fnac. On peut choisir de publier en Licence Common, mais ça donne peu de visibilité, j'ai choisi l'édition, après tout, le but d'un auteur n'est-il pas d'être lu ? Et si argent à la clef il y a, c'est le petit plus. Pour en revenir aux prix, ce sont effectivement des arguments de vente, argument qui impactent fortement (quoi que temporairement) les chiffres de vente d'un auteur. 

                                      • Je ne me fais aucune illusion et sur aucun éditeur. Ca deviendra et ça devient comme les fermiers dont on a parlé dans un autre forum. Les gros boufferont les petits, et quand bien même un petit veut survivre, soit il produit de la m... soit il s'étouffe. En licence libre, évidemment, tu ne peux pas savoir si tu es lu. Mais mes coordonnées de contact figurent dans ma prose. J'ai eu quelques rares retours, mais il faut malheureusement s'en contenter. La différence aussi, c'est que je cible les autodidactes qui ont besoin de tuyaux (et comme je passe beaucoup par ces chemins-là, ce ne sont pas des tuyaux dont on a besoin par moment, mais des grandes orgues complètes :D). L'argent, il ne faut pas cracher dessus, ça va et ça vient, parfois c'est bon et parfois c'est galère, mais de là à soutenir des éditeurs.... Je persiste et je signe. Rien n'encouragera plus la conception et la rédaction d'ouvrages de qualité. Et comme dans tout système qui s'époumone et dont le pouvoir veut garder le contrôle, c'est d'abord et avant tout dans ce secteur qu'on tapera. Il est plus facile de garder des moutons, intellectuellement parlant, que des sangliers...

                                        • Peut-être qu'il y a une solution entre les deux, elle est applicable à beaucoup de domaines.

                                          "Mon travail vous à plu, alors s'il vous plaît soutenez-le." Beaucoup arrivent à vivre ainsi maintenant et je trouve que c'est un virage important car là personne ne vient se sucrer sur le dos de ton travail.

                                          Imaginons une pièce de théâtre où l'on payerait la pièce, je ne dis pas le théâtre, non pas à l'entrée, mais à la sortie et seulement si l'on  a vraiment apprécié. est-ce que cela ne pousserait pas tout le monde à se surpasser pour un spectacle de qualité ?

                                          Autant publier en libre de droits, ce qui revient au même.

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                                          • Je crois que ça s'appelle une "participation libre et consciente". Perso, je n'y crois pas trop, mais je demande à voir, je n'ai jamais testé.

                                          • Je n'essayais pas de te faire changer de point de vue, mais de te donner le mien. Tu as tes idées, j'ai les miennes.

                                            • Merci pour cette réaction, mais plus moyen de retrouver le texte auquel ta réponse se rapporte. Comme je ne retiens pas par coeur tout ce que j'écris... Désolé.  

                                              • En effet, ce n'est pas toujours évident de s'y retrouver. Si tu vas dans tes notifications (petite cloche en haut à droite sur la page où est ta photo de profil) tu retrouveras plus facilement ce que tu as écrit et à quoi j'ai répondu. Si ce n'est pas clair, Baloo t'expliquera certainement plus simplement que moi ?

                                                • Merci pour ce conseil. Je ne me suis jamais demandé à quoi la cloche pourrait bien servir. Il est vrai que je ne suis pas sur le site pour faire de l'informatique. Mon commentaire doit être fort ancien. Je n'ai pas eu le courage de reculer plus loin que le début du mois d'août sans rien trouver jusque là. 

                                                  Je suppose que mon commentaire n'est pas d'une importance capitale.

                                                  Ce que tu écris peut s'appliquer à la vie de manière générale, il me semble, erreurs de porte ou portes mal connues comprises. 

                                                  • Mais je t'en prie, ravie d'avoir pu te renseigner

                                                    Non, je t'ai répondu suite à un commentaire que tu adressais à Emma il y a 20H ;-)

                                                    Pas facile si on a le malheur d'être entouré de personnes bornées, que ce soit en famille, au travail, dans le voisinage etc.

                                                    • Et sur cette page-ci il n'apparaît nulle part. Mais je m'en souviens vaguement, c'est déjà ça. Elle défendait une vision assez optimiste. Mais son commentaire est également introuvable (du moins pour moi). Ah, les énigmes de l'informatique m'étonneront toujours. 

                                                      • - il suffit de dérouler la partie concernée pour faire apparaître tous les posts. Ensuite surligner une partie de la phrase recherchée et appuyer simultanément sur les touches CTRL + F, cela ouvre la zone de recherche du navigateur et si tu la surlignes avant ça t'évite d'y faire un copié/collé. C'est toujours utile de savoir ça,  ça permet de retrouver un mot sans avoir à lire tout l'article sur n'importe quelle page web.

                                                        • Merci pour l'astuce. Cependant :

                                                          1. La réponse de Café ne contenait pas de citation de mon post. Elle ne l'a donné que par la suite. Je ne pouvais donc pas encore faire la recherche à l'aide de l'astuce.

                                                          2. Comme devrait le montrer la capture d'écran si j'ai réussi à la joindre, le texte n'intervient qu'une seule fois sur la page. Impossible donc de l'y trouver une seconde fois. D'ailleurs, en développant (plusieurs fois) j'aurais finalement du le trouver sans l'astuce.

                                                          3. Se pourrait-il que la réponse se rapporte à un texte d'un autre sujet de discussion ?

                                                          4. Sinon, que les réponses ne puissent pas toujours suivre directement le texte auquel elles se rapportent, est techniquement inévitable. Si ce texte ne se trouve pas dans les environs directs, un lien (automatique) dans la réponse serait sans doute utile. 

                                                          Bon dimanche ? 

                                                          • 1. Oui je comprends 3. Non 4. En fait, ce lien existe déjà.

                                                             

                                                            Voir la petite vidéo en pièce jointe. Peut-être que je devrais changer la légende "Voir la réponse de Marcus" serait plus correct.

                                                            • Quand j'essaie de faire la même chose que sur la vidéo, il ne se passe rien.

                                                              • Je pense que c'est parce que tu n'as pas déroulé la conversation. Si la réponse de référence est masquée il ne peut pas sauter. 

                                                              Connectez-vous ou Inscrivez-vous pour pouvoir commenter.